J'avais envoyé un message à Elisa, ou plutôt Loumie, à 18h et elle n'avait pas répondu. Mais parfois le jeudi soir elle sortait, alors peut-être était-elle occupée.

C'était mieux pour elle, qu'elle passe à autre chose, mais je m'ennuyais, en fin de compte. Mais j'avais un chapitre à finir. Il me restait une problématique, sachant que je l'écrivais pour moi, mais surtout pour Elisa, je voulais éviter une double pénétration, qui aurait trop fait référence au passage de l'histoire qu'elle m'avait écrit. Et puis je ne voulais pas non plus que Marie, suce Damien ou Thomas jusqu'à leur éjaculation. Même si comme beaucoup d'homme, j'adorais les pipes gloutonnes. J'avais envie d'une scène érotique, mais pas pornographique. Un juste dosage très excitant avec le « ce qu'il faut » de réalisme pour qu'il en soit encore plus excitant.

Ma dernière phrase était « Ce n'était plus des ronronnements, mais des rugissements qui sortaient de sa bouche ».

Je retournais cette phrase encore et encore dans ma tête, pour trouver où elle voulait m'emmener et soudain j'eu enfin l'idée...

Thomas accéléra encore la cadence, ces coups de reins puissants faisaient gémir Marie qui était au bord de la jouissance. Mais il se concentrait pour retenir encore un peu son éjaculation quand il sentit une main venir caresser ses couilles. Quand il vit que cette main était celle de Damien, il ne put plus se retenir plus longtemps et jouit immédiatement. Marie en ressentant l'excitation de Thomas l'accompagna dans l'orgasme en laissant échapper un cri de plaisir.

Damien avait pris plaisir à voir ses deux collègues prendre leur pied, mais ressentait une certaine frustration à ne pas avoir pu les accompagner lui aussi. Heureusement pour lui, Marie ne comptait pas laisser son préféré dans cet état-là.

- Installe-toi dans le fauteuil, bébé, lui dit-elle doucement.

Tout sourire Damien obéit. Elle vint s'asseoir sur lui en lui tournant le dos et se glissa sur sa queue en érection. Elle commença à rouler des hanches les jambes écartées. Damien vint placer ses mains sur ses seins généreux et transpirants de désir.

Thomas, qui avait pourtant déjà joui, ne put résister à ce clitoris qui s'offrait à lui aux saveurs de sa semence. Il présenta donc son visage devant le sexe de Marie et commença à lécher ce clitoris gonflé par le plaisir. Il dut se mettre au rythme des mouvements de la belle, ce qui lui pris quelques secondes. Régulièrement, sa langue léchait le sexe de Damien et de Marie simultanément, avec encore le goût de son sperme mélangé à la cyprine de Marie. Damien était un peu surpris par cette langue qu'il sentait parfois alors qu'il pénétrait Marie, mais trouvait ça absolument divin, en fin de compte.

Même si Thomas avait enchaîné les conquêtes ses derniers moi, il n'avait jamais eu le plaisir de lécher un sexe d'homme et encore moins une queue en train de pénétrer une femme.

Damien au fur et à mesure, avait glissé sur son fauteuil et maintenant, ses fesses étaient disponibles aux caresses de Thomas, ce qu'il réclama en prenant cette main d'homme et venant la poser sur ce cul ferme qui se contractait à chaque pénétration.

Thomas malaxait les deux fesses de Damien et petit à petit se dirigeait vers son anus. En le sentant se contracter et s'ouvrir, il ne put résister à y glisser un doigt en y imprégnant la cyprine de Marie.

Même si ce coït n'avait commencé qu'il n'y a que peu de temps, Damien ne put retenir son éjaculation. Elle monta du creux de ses entrailles et inonda ce sexe humide qui se contractait de plaisir. Thomas sur sa langue sentait les spasmes de plaisir de ses deux partenaires, mais aussi ce nouveau goût annonçant l'éjaculation de son aîné.

Je relisais ce chapitre, il était très chaud, mais était-il le juste dosé que je cherchais. N'étais-je pas allé trop loin dans leurs actes.

Clairement, on était loin d'une scène ultra réaliste, mais j'étais quand même content que la femme ne soit pas un rôle de femme objet.

Devais-je le publier maintenant ou attendre de le relire à tête reposée ?

Mon impatience prit le dessus et je décidais de l'envoyer. Je pris conscience, au même moment, qu'il était plus tard que je ne pensais. Mon téléphone affichait minuit et donc l'heure que j'aille me coucher. En arrivant dans mon lit, je vis que Loumie avait voté pour mon dernier chapitre.

Loumie : Votre dernier chapitre... Torride... Ça donne envie...

Jekyllandhyde : Merci j'étais très excité en l'écrivant aussi.

Loumie : Vous êtes encore debout ? Moi, je viens de rentrer d'un anniversaire.

Jekyllandhyde : J'allais justement me coucher, mais vous m'avez manqué, j'aurais bien eu besoin de votre aide.

Loumie : Et bien je ne trouve pas, j'ai le minou en feu.

Jekyllandhyde : C'est vrai ou dites-vous ça pour m'exciter ?

Loumie : Les deux... Je vais aller me coucher en vous imaginant à la place de Damien.

Jekyllandhyde : Alors je vais aussi aller me coucher en vous imaginant à la place de Marie.

Loumie : Bonne nuit...

Jekyllandhyde : Bonne nuit aussi...