Chapitre 42
Les périodes des fêtes s'était très bien passée. Nous étions allés voir nos familles respectives avec Louise et même si nous sortions ensemble depuis seulement six mois, tout le monde considérait déjà que nous deux c'était pour la vie.
Et pourtant, bien que convaincu aussi, que Louise était la femme de ma vie, j'entretenais une relation plus qu'ambiguë avec Elisa et Alexandre. Alexandre avait sûrement raison. Il fallait que j'aille au bout de cette histoire pour enfin pouvoir passer à autre chose.
Demain je devais reprendre le travail, Louise était rentrée sur Nancy il y a quelques minutes et j'étais seul chez-moi.
À cet instant, je fus submergée par une mélancolie étrange, que je mis sur le départ de Louise. Pourtant, en ouvrant mon téléphone pour envoyer un « tu me manques » à Louise. Mes doigts ouvrirent machinalement Wattpad et ma discussion avec Elisa. Ça faisait presque deux semaines que je ne lui avais pas écrit. Au-dessus de nos messages de bonne année, se trouvait son message qui me disait « J'ai adoré jouer avec vous, Dr Jekyll, mais je crois que je vais vous laisser maintenant. ».
Mes yeux se remplirent de larmes. Elle me manquait. Louise me manquait. Pourquoi étais-je incapable de me contenter de l'une ou de l'autre ?
Louise était celle qui me fallait et Elisa était... elle était...
Pourquoi étais-je incapable de savoir ce que représentait Elisa pour moi, pourquoi avais-je besoin d'elle ?
Jekyllandhyde : Avez-vous passé de bonnes fêtes ?
Loumie : Oui, mais vous m'avez manqué.
Jekyllandhyde : J'étais beaucoup occupé et j'ai profité de mes congés.
Loumie : Vous avez bien raison. Alors vous avez été gâté par le père Noël ?
Jekyllandhyde : Oui ma femme m'a offert un week-end en amoureux.
Loumie : Oh c'est marrant, Alexandre aussi m'a offert un week-end à la montagne. Il faut que je trouve une date d'ailleurs.
Jekyllandhyde : Et vous lui avez aussi fait un cadeau ?
Loumie : Oui, un livre de photos érotiques, mais artistiques.
Jekyllandhyde : C'est original et une très bonne idée.
Loumie : Mais j'aurais aimé aussi vous faire un cadeau.
Jekyllandhyde : C'est gentil mais ça va être compliqué.
Loumie : Sauf si il est virtuel ou immatériel.
Jekyllandhyde : À quoi pensez-vous ?
Loumie : En fait je ne sais pas encore. Je sais que j'ai envie de vous faire plaisir et de profiter de vous.
Jekyllandhyde : J'adorerais que vous profitiez de moi. Mais pourrais-je en faire de même ?
Loumie : Bien sûr.
Jekyllandhyde : Alors venez avec moi, je connais une plage déserte. Il y fait une température idéale pour la saison. Votre corps nu, allongé sur votre serviette, est caressé par le vent qui vient du large. Et le soleil réchauffe votre peau douce.
Loumie : D'habitude je n'aime pas la plage, mais avec vous c'est un pur délice. J'adore regarder votre corps nu lui aussi, qui frissonne sous mes caresses.
Jekyllandhyde : Dites-moi, mon désir est-il déjà visible ?
Loumie : Pour l'instant à peine, mais j'ai très envie de voir votre sexe grossir et durcir. Je passe ma main à l'intérieur de vos cuisses et remonte doucement vers vos fesses qui sont contre la serviette (vous êtes sur le dos). Je viens caresser la naissance de vos bourses près de votre anus. Ça vous plaît ?
Jekyllandhyde : Oui beaucoup. Mon sexe est déjà gonflé par l'excitation. Sentez-vous comme il est dur ?
Loumie : Oui, je le fais glisser dans ma main pour vous branler doucement et de la fente sort un liquide épais et transparent. J'ai très envie de le goûter.
Jekyllandhyde : Je suis impatient que vous léchiez le bout de mon gland. Vous savez tellement bien comment me faire du bien.
Loumie : J'adore mettre votre sexe dans ma bouche, il est si doux. Il est d'une taille généreuse, mais pas trop, pour que je puisse presque le mettre en totalité dans ma bouche. Je vous avale littéralement et je sens mon sexe s'humidifier. Vous êtes si excitant...
Jekyllandhyde : Approchez donc votre chatte de ma bouche que je puisse en profiter pendant que vous me sucez.
Loumie : C'est une excellente idée et sentir votre langue me pénétrer est si agréable.
Jekyllandhyde : Aimez-vous que je tète votre clitoris ?
Loumie : Oui énormément, je crois que si vous continuez vous pourriez me donner un premier orgasme.
Jekyllandhyde : Je ne peux rien vous refuser. Mais je ne veux pas jouir dans votre bouche, pour avoir la chance de vous faire encore jouir.
Loumie : Avec votre bouche vous me faites tellement de bien que mon corps tremble entièrement et je sens que sa monte... encore... et encore... je suis au nirvâna... et il explose en même temps qu'un cri que je ne peux retenir.
Jekyllandhyde : J'ai adoré entendre le joli son de votre voix, qui chantait votre plaisir. Mais je ne vais pas vous laisser tranquille tout de suite. Allongez-vous sur le dos et écartez-moi vos cuisses que je pénètre se sexe humide et raffermi par votre orgasme.
Loumie : J'adore le sentir entrer dans mes chairs, il est à moi, en moi. Il me semble si dur, encore plus que quand je l'avais dans ma bouche.
Jekyllandhyde : C'est que l'intérieur de votre vagin est l'endroit le plus érotique de l'univers. Rien ne pourrait me faire autant de bien.
Loumie : J'ai envie de vous sentir au plus profond de moi. Pénétrez-moi avec force.
Jekyllandhyde : Je crois que je vais bientôt jouir en vous, que mon sperme va inonder votre chatte.
Loumie : Je crois que je vais de nouveau jouir. Et je veux jouir en même temps que vous.
Jekyllandhyde : Enfin ma queue expulse par jet mon plaisir pendant que je sens les contractions de votre sexe sur le mien... Putain que c'est bon.
Loumie : Putain que c'est bon !
Jekyllandhyde : Sentez-vous, maintenant, le vent qui glisse sur votre peau.
Loumie : Oui. M'accorderiez-vous une petite éternité dans vos bras sur cette plage.
Jekyllandhyde : Oui
Oui...
Annotations
Versions