Chapitre 4

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Après avoir quitté l'île, le roi me convoqua de toute urgence. Il avait une mission à me confié. Enquêter sur chaque membre présent sur le navire. j'avais laissé ma femme à l'autre bout du monde et j'avais hâte de la retrouver. Mais plus le temps passais que je me demandai de quand j'allais enfin la retrouver.

26 Juin 1869, après une enquête aprofondit sur les soldats qui étaient sur la frégate, il ne me restai qu'une personne à interoger, mon ami J.Ferguson.

Je commença donc par le suivre. Ce qui me parru étrange est qu'il ne sortait que la nuit. Mais après avoir essayer de le pister à plusieur reprise, je perdai toujours sa trace.

Ce soir, je me suis bien préparé. Et il ne m'échappera pas!

Bien que le temps ne me soit pas propice, j'ai pu le voir quitter ses cartiers. Je l'ai suivis jusque la rue Pignon et puis, plus rien! Je m'apprétai donc à abbandonné quand, j'entendit des cris dans la rue adjacente de là où je me trouvai.

Comment avait-il pu se retrouver là bas en un rien de temps. Si à cette époque je ne pouvai pas l'expliquer, aujourd'hui, il en ai autrement.

J'assistai ensuite à une scene que jamais je n'aurai pensé voir de toute ma vie. Une scene d'horreur. Jasper était accroché au cou d'un jeune homme. Comme tout humain normalement constitué, j'ai pris la fuite. Mais dans mon élan, je ne passa pas innaperçu. Ce dernier me prit en chasse, et me ratrappa en un rien de temps.

Son visage était totallement différent, comme défiguré. Des crocs lui sortaient de sa bouche encore taché de sang.

À ce moment là je savais que j'étai perdu. La seule pensé qui me traversa, avait été Augustine. Je lui avait promis de revenir. Et même si cette chose en face de moi semblait être mon ami, je devai lui prendre sa vie. Il n'était plus humain.

Son visage reprit petit à petit sa forme originel. Mais j'avai déjà vu le demon qui était en lui.

" - Qu'est ce que tu as fais ?" La réponse qu'il m'avait donné n'était pas facile à entendre. Il a décrété que ce qu'il fesait été normal, qu'il devait se nourrir de la sorte pour rester eternelement jeune. Que c'était un don du ciel, et que Dieu de sa grâce, lui avait offert ce cadeau si précieu.

Mais quel Dieu nous permettrait de prendre une vie ? Je ne pouvais pas y croire. Il vît que ses excuse n'avait pas d'impotance à mes yeux, ses traîts changea à nouveau. Je m'éttai résolu à perdre la vie ce jour là. Quand il me prit au cou, ma vie se mît à défilé, comme un film auquel j'assistai.

Je l'entendait déglutir chaque gorgé de mon sang, tandis qu'il se déléctait d'en apprécier chaque gouttes.

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