Chapitre 9
4 Janvier 1870. Le soleil se lève à peine sur la côte de l'île et je vois depuis ma fenêtre les bateau quitter le port. Je n'ai pas pu dormir de toute la nuit. La seule pensée de Gloria morte au pied du roi me faisais froid dans le dos.
Cepandant, le devoir m'appelait, et je devait me rendre à Aleria.
La grande porte du presbitaire s'ouvrit immediatement dès mon arrivé, et je pû apperçevoir des gardes Français qui circulait dans les couloir. Le père Bastos se présenta à moi, il n'avait rien à voir avec l'image d'un prête catholique que je connaissais. Un homme plutôt bien battit, mesurant au moins 1m80, tatoué sur la nuque, ce même tatouage en tête de lion que possédait les chevalier. Il me conduisit jusqu'une salle sombre, et humide. Seule des torches éclairé l'étroit couloir.
- Si je n'en croi les rumeurs, vous êtes une legende.
- Si on en croi les rumeurs, oui.
- Alors, ce que je vais vous montrer ne vous sera pas anodin. Je vous laisse vous en occupé.
Il s'arreta devant une cellule qui semblait vide, mais en me repprochant, une voix grisante s'adressa à moi.
- Tu es donc l'élu. Le premier de notre espèce.
- Je ne suis pas de votre espèce.
- Tu es Patrice, ou, ce qu'il reste de Salomon.
- Qui es tu ?
- Je suis, je suis, votre serviteur. Mais, avant cher maître prenez garde à la malediction.
- Qu'est ce que tu veux dire ?
- Elle n'est pas totallement accomplit.
Il mattrapa et me serra contre les grilles. Un ricannement sortis de sa bouche qui dégageait une odeure putride. Je pû voir son visage grisonnant, ses crocs jaunis par le temps et son corps presque sans vie.
- Ce que je veux dire, c'est que tu te bas contre ta propre espèce. Tu es le roi des Démons, et je suis ton serviteur. Alors prends ce qui es à toi.
Au bout de ses doigts des griffes éguisé, il se lasséra la jugulaire et s'approcha de moi. J'avais de nouveau cette envis de tuer, cette chaleur qui envahissait mon corps tout entier. Que voulait-il que je fasse de lui ? J'éssayais tant bien que mal à lutter contre cette envie, un appel au sang qui me submergeai, et je me rendit compte que ce n'était pas la première fois.
- Je, je ne boirais jamais de ton sang.
- Alors pourquoi hésite tu encors ? L'envie est bien plus forte que la raison, n'est ce pas ? Mais laisse moi te raconter l'histoire, ton histoire. Il y a dix mille ans, quand le roi Salomon se transforma en cette bête. J'étais là. L'armée de demons qu'il avait monté, que tu avait monté, était légendaire. Mais, tu t'ai battu contre le monstre qui était en toi. L'amour que tu avais pour cette femme, à fais rennaitre l'homme qui se cachait au fond de toi. Tu peux retrouver ta vie d'avant, mais pour ça, tu dois rompre le sort.
- Comment ?
- Trouve-là.
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