Le peintre Libanais, pour Georges Fourest

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Tu as le joli teint d un doux chrysobéryl !

Ne pleure point j ai le fort laid gris d’argyrose,

C est insuffisant pour faire faner ta rose,

Toujours en quête d un homme par trop viril !

Tu caresses ta folie ton ennui l’ÉTOILE

Éteinte d un vieil amant perdu au Liban :

Il avait le charme troublant de Caliban ;

De ta nudité il fit cent dix mille toiles

Mais il les brûla toutes hurlant rien de rien !!

Tout cela ne vaut rien seul un Assyrien !!!

Saurait rendre tout l éclat de ta verte bouche !

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