CHAPITRE 72 bis bonus hot : « Imperia, palais impérial » « Salon privé de l’empereur Thomasss premier »
CHAPITRE 72 bis bonus hot : « Imperia, palais impérial » « Salon privé de l’empereur Thomasss premier »
Les lèvres connaissant parfaitement leurs chemins, rodées par des milliers de millénaires d’habitudes et c’est Antonin qui le premier décolle les siennes de celles de Thomas avec le regard brillant d’envie.
- Hum !! Sa Majesté ne devrait pas abuser de l’amant impérial comme elle le fait !!
- Tiens, c’est nouveau ça ?? Et pourquoi donc ??
- Sa Majesté ne craint donc pas la lassitude ?? … Aaah…
Le petit râle terminant la phrase d’Antonin a été déclenché quand la bouche de Thomas s’est posée sur sa gorge en le suçotant avec gourmandise.
Les mains et les lèvres du grand blond jouent alors une partition digne du meilleur maestro, tandis que les unes dénudent avec lenteur le corps de son amant, les autres embrassent sensuellement chaque portion de peau ainsi dégagée.
Antonin n’est bientôt plus qu’un pantin pris dans ses sensations, le corps vibrant sous les caresses lancinantes et particulièrement sensuelles de Thomas, qui semble comme à chaque fois redécouvrir complètement le corps de son chéri.
Une fois la tunique ôtée, il s’attaque au petit pagne de coton blanc qui lui sert de sous-vêtement, dénouant un à un les plis du tissu jusqu’à ce que ce dernier ne tienne plus que par la raideur de la hampe d’Antonin qui maintenant geint en continu tel un jeune chiot affamé.
- Aaah… Ouuiii… n’arrête pas… Ouuiii… !!
Thomas s’agenouille pour avoir ce dernier morceau de tissu recouvrant le sexe d’Antonin comme un linceul devant sa bouche qui le mordille sur toute sa longueur, toujours avec une lenteur calculée qui met à rude épreuve les nerfs du petit blond qui sent son corps commencer à échapper à son contrôle.
- Doucement « Thom », aaah… je vais… jouir sinon… !!
- Hum !!
Le grand blond ne s’arrête pas pour autant, connaissant les facultés de recharge rapide de son amant, ses deux mains viennent se plaquer sur ses deux belles fesses en les écartant légèrement de façon à laisser la place à ses deux majeurs qui investissent brusquement le petit anneau semblant palpiter de sa propre vie et qui n’attendait que ça.
Les lèvres de Thomas s’activent sur le membre tendu à l’excès, toujours recouvert de son bandeau de tissu maintenant complètement détremper par la salive impériale et elles viennent brusquement prendre le gland en bouche avec un fort effet de succion dans un ensemble parfait avec l’intromission de ses doigts qui maintenant poussent avec douceur sur la prostate d’Antonin.
Ce dernier tremble sous le tsunami de sensations soudaines qui lui traversent le corps et qui l’obligent à s’accrocher fermement des deux mains aux épaules de son empereur chéri, alors que son sexe déverse son orgasme en jets puissants qui inondent et traversent la pièce de coton, remplissant la bouche de Thomas qui le tète toujours goulûment.
Le grand blond le relâche enfin quand il le sent trop faible pour tenir seul debout, l’aidant à s’allonger sur le sofa en le regardant avec un tel amour qu’Antonin une fois encore s’en émeut, ses deux bras attirant son chéri pour qu’il s’allonge sur son corps.
À nouveau un long baiser les unit, jusqu’à ce que ce soit cette fois celui que tous au palais surnomment « l’amant impérial » qui s’y colle et qui à son tour prenne les choses en mains pour mener son Thomas chéri dans l’orgasme des sens.
Comme ce dernier lui a fait quelques minutes plus tôt, il l’effeuille avec une lenteur calculée jusqu’à ce qu’il se retrouve enfin nu sous le regard gourmand d’Antonin qui ne se lassera jamais de cette perfection qu’est le corps de son amant.
Lui par contre à l’encontre de Thomas qui s’est contenté de le faire jouir avec sa bouche et ses mains, s’attaque directement à l’envie qu’il a en tête de le prendre avec virilité.
D’un preste retournement, il se retrouve sur Thomas avec déjà ses deux mains plaquées à ses cuisses qu’il soulève pour les amener sur ses épaules, dévoilant ainsi l’anneau rose plissé qui s’entrouvre déjà maintenant qu’il n’y a plus de doute sur les intentions de se jeune mâle en rut.
Thomas sait qu’il va la prendre direct sans préparation, il connaît trop bien son partenaire pour ne pas avoir lu sur son visage qu’il en serait ainsi et qu’il n’aurait pas son mot à dire, si mot il avait l’intention de dire, ce qui n’est absolument pas le cas puisque le comportement de son amant met déjà Thomas dans un état difficile à tenir.
Avant même qu’il soit pénétré par le sexe tendu à son maximum d’Antonin, Thomas ressent déjà l’envie de jouir qui lui remonte des reins et il veut en avertir son chéri quand celui-ci le prend soudainement et s’enfonce jusqu’à la garde avec un « han » de bûcheron, qui déclenche chez Thomas l’inéluctable en lui faisant déverser sa gourme sur ses pectoraux en sueur.
Antonin sourit car c’était évidemment ce qu’il recherchait, pourtant il continue ses furieux coups de reins qu’il sait amener très vite son partenaire à un orgasme différent encore plus fort que le précédent, qui lui n’était dû qu’à l’excitation et il ne lui faut pas longtemps avant qu’une nouvelle série de râles rauques se fasse entendre dans le bureau impérial.
Thomas sent comme un brasier lui prendre l’intérieur du corps, commençant par l’anus écartelé jusqu’au plus profond de ses intestins.
La vague de chaleur remonte encore et encore jusqu’à l’orgasme foudroyant qui le tétanise en lui amenant une suée sur tout le corps, le laissant cette fois sans énergie après ses deux jouissances quasi simultanées.
Il sent l’ardeur de son amant se calmer pour reprendre un rythme plus doux jusqu’à ce qu’à son tour il se vide en gémissant son plaisir, remplissant de son sperme les parois anales de son homme.
Il repose les deux jambes maintenant douloureuses de Thomas, pour venir s’allonger de tout son long sur lui et une nouvelle fois souder ses lèvres aux siennes, ravivant bientôt le feu intérieur des deux garçons qui recommencent à se trémousser de plus belle, annonçant un second round imminent que réclament déjà leurs corps en pleine santé que les ravages des ans n’atteignent pas.
- Sa Majesté semble n’avoir pas été entièrement rassasiée ?? Voudrait-elle reprendre là où elle s’était arrêtée avant que je ne reprenne la main ??
- Viens donc t’asseoir sur le sceptre impérial ! Hi ! Hi !
- Cool !!! Yep!!!
Ni une ni deux, Antonin chevauche les reins de Thomas en s’emparant de son sexe qui n’a pas débandé et s’assoit dessus jusqu’à ce que ses fesses se posent sur les hanches du grand blond, en poussant un petit cri de pâmoison qui manque une fois de plus de faire partir Thomas bien contre son gré.
- Aaah… Putainnnn !!! Ouuiii !!
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