Dégénération

Une minute de lecture

Il m’a agressulté ce vieureux. Il a connécu une vistoire de contefée. Ses paraïeux possédaient de l’argentilhommière et des châtors en Espagnologne. Ils avaient aussi des obligactions dans des luxociétés. Ils déposaient leurs multiplidendes dans des pas radis fiscrocs.

Je peux pas blaimer les vieureux qui n’ont jamais trimavaillé.

Je me lève-lave à sixte et je parquitte la femmaison quand il fait encore nuinoire.

On dipense que les jeunes sont faits néant. Faudrait pas généranalyser. Parsouvent ils ont pas de job-bol. On souhaixige d'eux des annexpériences, des diplômoctorats, de la mobilasticité, et on leur propodonne un scéléralaire. Ils pleurmonnent un amer-ci mais deviennent des bosstars de toutous les jours.

Moi, je suis un pauvraté, sans trafession. Je suis encore chômendiant mais en faim d'oeufs droits. Je fais quelques traflics pour gars niais, ma vie… Je suis pas nickelqu'un de bien mais pas un mauvoyou.

Mais le vieillâcre sénilpotent, il m'a jetancé un noiregard, il a brandagité sa cannapluie, et il a tant pété, et vociférugi ! La gendarlice est armerivée sur laids lieux.

Le noblesieur m'a stigmaccusé de lui avoir raviolé son porte-fortune. Il est sourpot ! Il n'a pas comprentendu le tombruit de sa boursafric sur le passoir (il ne trotte plus, le fossilantik…).

Voilà depuis commensonge les privilévieux me dégoûquiquinent.


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