De bon matin, Jack le blaireau sort de sa tanière, en quête d’un repas pour assouvir ses pulsions boulimiques. Bientôt ils arrivent à l’orée d’une clairière et :

« - Hey toi… oui c’est à toi que je parle le narrateur, tu crois vraiment que c’est pour ça qu’on ta embauché, raconter des histoires de blaireaux, allez vas-y fait nous sourire, fait nous rêver.

-Heu...oui, oui ! Tout de suite mystérieuse voix, je change de décor. »

Bon vu que je suis le narrateur, je me propulse dans les nuages grâce à ma boite magique.

Voilà, nous pouvons reprendre maintenant.

De bon matin, nous sommes dans les Alpes, enfin juste au-dessus dans les nuages. L’hiver y est glacial, la neige tombe tous les jours à grand flocons. Alors qu’en bas règnent un calme olympien, tout en haut dans les nuages, la neige s’affairent à son travail quoti…

« -Non, non et encore non, l’idée est bonne mais la neige tombe tous les jours dans les Alpes, sa manque d’aventure. Tu trouves toujours le moyen de gâcher une histoire.

-Mais que voulez-vous que je fasse, rien ne vous plaît.

-Une dernière fois, garde ton idée et apporte de l’O-R-I-G-I-N-A-L-I-T-E. Faites nous rire, faites nous rêver, ou vous êtes virer »

Bon, très bien ! Je me propulse encore vers un autre lieu, nous voila arriver.

Nous sommes dans un pays ou il fait beau à longueur d’années, voila bien longtemps que le froid et la neige n’ont pas investi les lieux . Remontons un peu plus haut d ans les nuages, et rentrons à l’intérieur de l’un d’eux.

A l’intérieur c’est un véritable bâtiment, avec une dédale de salle et de pièce en tout genres. Mais pourtant rien ne semble bouger, sauf peut être dans la salle de surveillance thermométrique.

Sur son siège un flocon de neige barbu est train de dormir profondément, comme s’il il n’avait pas été réveillé depuis des années.

Quand tout à coup, un petit bip répétée retentit, notre flocon sort de sa torpeur :

« -Qu’est ce que c’est ? Qui me dérange pendant que je dort ? Dit-il en se penchant sur ses écrans.

Ho saperlipopette, c’est génial, enfin, enfin nous allons pouvoir nous remettre au travail, hurle-t-il de joie en déclenchant l’alarme général. »

Il prend son micro pour faire entendre sa voix à tout le nuage :

- Branle bas de combat, la température extérieur est de deux degré, d’ici 30 minutes elle va passé à zéro. Alors rendez-vous, à la salles des trappes, c’est le grand jour mes amis. Et que ça saute ! »

Bientôt, dans une pièce réfrigérés, ressemblant à des alvéoles d’abeilles, des milliers de flocons se réveillent. Un à un ils passent dans une machines à peinture pour les rendre aussi blanc que la colombe. Hé, les flocons ne sont pas blancs d’origines, ils sont gris clairs

Ensuite, Ils sont gonflés d’air pour ne pas tombés lourdement et arriver sensuellement en valsant de gauche à droite.

Les premiers flocons arrivent dans une grande pièce, ou il y a pleins de petites trappes prêtes à s’ouvrir, chacun d’eux se placent sur une trappe, les autres attendant leurs tours.

Un stress palpable, vient se faire ressentir, le silence s’installa. Le flocon barbu se présenta en surplomb avec une manette thermométrique à la main :

« - Chers flocons, c’est un grand jour pour nous, pour la première fois depuis des années que le thermomètre va passer en dessous de zéro. Alors accomplissez votre mission avec fierté et honneur. Il fait un degré, le décompte est lancé. Dix...neuf...huit...sept...six...cinq...quatre….trois….deux….un, zéro degrés, clama-t-il en déclenchant la manette pour ouvrir les trappes. »

Elles s’ouvrent une à une, que déjà le ciel, se remplit de milliers de points blancs, et dans un ballet féerique viennent se déposer au sol, le recouvrant rapidement d’un blanc pur, apportant au paysage une dimension magique et quoi de mieux que de voir les enfants s ‘adonner à une bataille de boules de neiges. Mission réussie pour l’équipage, du nuage bien nommée le roi blanc .