Confession
Cette histoire est arrivée quand j’avais 19 ans. Je connaissais Cécile depuis le lycée, nous étions très amis, très complices… À cette époque là, je dirais qu’elle était comme un vrai “pote” on faisait beaucoup des soirées ensemble avec tout notre groupe d’amis. Elle avait eu plusieurs mecs en dehors de notre “bande” mais gardait toujours une disponibilité particulière pour nous. On enchaînait les soirées, on buvait pas mal et, régulièrement, nous dormions chez les uns ou chez les autres. Avec Cécile nous étions très complices et il arrivait parfois que nous dormions dans le même lit mais ça n'était jamais, jamais allé plus loin qu’un petit brin de tendresse amicale. Il était clairement établi que nous étions amis et que ça en resterait là. (j’avais quelques mois auparavant tenté ma chance avec elle en vain…)
Ce soir-là nous étions chez elle et avions passé la soirée à discuter avec les autres, à rigoler et à boire… La soirée touche à sa fin. Cécile me dit qu’elle est fatiguée et qu’elle va se coucher. Elle me dit innocemment qu’elle me garde une place à coté d’elle si je veux rester dormir. Il était déjà arrivé plusieurs fois que nous dormions ensemble, en tout bien tout honneur, et j’accepte sa proposition en toute amitié. Je suis moi même fatigué, sa proposition tombe à point.
Nous nous brossons les dents puis nous allons dans sa chambre. J'enlève mes vêtements, je garde juste mon boxer et mon tee-shirt. Je m'installe dans son lit et me blottis confortablement sous la couverture. Du coin de l'œil, je la regarde se mettre à son tour en sous vêtements. Un peu pudique elle me tourne le dos, elle enlève son pantalon et enfile un petit short en coton. Elle enlève ensuite son haut et met un tee-shirt large, puis, usant de cette technique si particulière qu'ont les femmes, elle enlève son soutien gorge sous son t-shirt, elle se retourne enfin vers moi pour venir s’installer dans le lit. Je l'avais déjà vue dans cette tenue mais ce soir je la trouve particulièrement attirante. Ses jambes longues et fines, sa peau laiteuse, ses cheveux détachés et légèrement ébouriffés, tellement naturelle, son petit short un peu lâche qui laisse presque entrevoir sa culotte… Et ce t shirt, pas très épais, au travers duquel pointent ses deux petits tétons… C'est, certes, une amie, très proche, les choses sont claires entre nous mais là, je fonds littéralement.
Elle a un corps incroyable. Dire que son corps est magnifique est un euphémisme. Tout en elle est parfaitement dimensionné. ses fesses, fines et musclées, sa poitrine guillerette qui semble avoir été sculptée dans du marbre, par un grand maitre italien, juste pour mes mains.
Elle se tient là face à moi avec le corps d'une déesse et sourit diaboliquement, probablement à cause de mon visage abasourdi… J’essaye de recouvrer mes esprits pour ne pas y paraître… Je me suis déjà pris un râteau avec elle une fois, je m’estime heureux d’avoir encore la chance de partager cet instant avec elle…
Elle me rejoint dans son lit et se couche dos à moi. Je me blottis contre elle et passe mes bras autour de son corps comme nous avions parfois l’habitude de le faire quand nous dormions ensemble "en tout bien tout honneur"… Un instant de tendresse que nous apprécions tous les deux… Et que j’avais depuis considéré comme la limite infranchissable.
Il faudrait qu'elle soit stupide pour ne pas remarquer que mon sexe en érection est collé à ses fesses. Mais rien n’advient... Un peu de tendresse, nous en avons sans doute besoin tous les deux. Il ne se passe rien de plus alors j'essaye de dormir. Après environ une demi-heure, elle semble vouloir vérifier si je dors en chuchotant mon prénom. Je suis réveillé mais je fais semblant de dormir. Je suis curieux de savoir ce qu'elle va faire. j’entends de nouveau son chuchotement : “tu dors ?” je ne réponds pas, et continue à respirer profondément pour lui faire penser que je suis endormi.
Je la sens relever un peu son t-shirt, puis je sens sa main attraper la mienne maintenant posée sur son ventre nu, la toucher délicatement, comme pour voir si je dors. Ses doigts se mettent entre les miens. Extrêmement lentement, elle les déplace vers son pubis. Enfin, toujours aussi délicatement, pour ne pas me réveiller, elle met ma main dans sa culotte. Je sens ses poils fins et doux, je me concentre sur ses sensations et continue à feindre mon sommeil. Elle pousse encore un peu ma main, c’est maintenant le renflement de sa fente que j’arrive à distinguer sous nos doigts, c’est chaud et terriblement agréable et particulièrement excitant. Puis à l'aide de mes doigts, elle commence à masser son clitoris.
Je ne peux pas croire ce qui se passe, je me demande si je rêve. Elle gémit très doucement, ne voulant probablement pas que je l'entende. Elle continue à utiliser mes doigts pour caresser son clitoris pendant quelques minutes, puis elle prend plus précisément mon majeur et le glisse très lentement dans sa fente humide. Je peux sentir son majeur pousser sur le mien pour faire pénétrer nos doigts en elle. elle serre fort les cuisses sur nos mains, je bande, s’en est presque douloureux. Durant encore quelques minutes, je feins mon sommeil et apprécie chaque instant, j’ai l’impression de partager cette masturbation qu’elle imagine presque solitaire. N’y tenant plus, je commence à bouger mes doigts seul… Ma réaction la surprend, elle tremble un peu, comme si elle s'était faite attraper en train de faire une bêtise. Je rapproche mon corps du sien, mon sexe bandé contre ses fesses, nous sommes serrés l’un contre l’autre, et maintenant, je la doigte comme si ma vie en dépendait. Elle gémit toujours doucement.
Elle frotte ses fesses contre mon sexe en érection, je l’embrasse dans le cou notre étreinte est d’une tendresse infinie. Mon annulaire s’aventure à son tour entre ses lèvres, mes gestes se font plus précis au pourtour de son point G. Je la sens se rapprocher de l’orgasme, elle pousse des gémissements plus forts. Je continue mon oeuvre entre ses cuisses, elle tremble, je sens son sexe se resserrer autour de mes doigts je ne m’arrête pas, augmente même l’intensité de mes mouvements, une respiration plus profonde, son souffle bloqué, elle jouit, son corps se tend, ses cuisses serrées sur mes doigts. Son sexe est tellement serrée que je ne pourrais retirer mes doigts, et à la fois je n’en ai aucune envie. Je continue à lui donner du plaisir plus délicatement pendant qu’elle se remet de son orgasme.
A aucun moment elle ne m’a touché le sexe et pourtant je suis au bord de l’explosion, je pense que c'est la fin, elle avait besoin de jouir, elle m’avait sous la main et a profité de ce moment de tendresse pour se satisfaire… Elle est exténuée, Je suis résigné…
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