Orgueil II
De retour chez moi, j'allumais mon ordinateur et m'installais confortablement. Je transférais toutes les photos fraîchement réalisées et m'apprêtais à en diffuser une partie sur mon blog. Je choisis les plus sensuelles et érotiques, écartais les plus intimes et les plus trash.
Pas question d'exhiber mon visage suçant ce serpent énorme et se faire recouvrir de son foutre. Non, je gardais cette partie pour moi.
J'affinais ma sélection, retouchais quelques défauts et programmais mes diffusions sur mon blog. C'est mon amie Emma qui me l'avait créé, elle est très doué pour cela. Son truc à elle, ce sont les hommes mariés. Pas moi. J'aime me sentir attirante, convoitée, belle et sexy. J'aime qu'on me désire au premier regard. Parfois, je me laisse aller et n'écoute que l'appel de mon corps. Et parfois, comme ce matin, j'ai l'occasion d'immortaliser ce moment.
Mes articles enfin programmés, je m'attarde un instant sur les photos que j'avais écartées. Je m'admire, suçant cette énorme queue, et j'observe mon regard qu'à capté mon photographe à cet instant. Mes yeux sont ceux d'une perverse. J'y vois une grande excitation, et surtout une envie de plaire et de faire jouir d'un simple regard. Je passe aux suivantes, me regarde jouer avec le gland et les bourses et finalement me faire asperger de son foutre. Me revoir désirée m'excite. Je me trouve particulièrement sexy, un brin salope, quelque peu cochonne et sale, mais sexy avant tout. Je glisse mes mains entre mes cuisses et commence à me caresser en me regardant. Que je suis belle, une vraie petite salope, et j'ai adoré ça. Je revois cette bite hors normes face à moi, je me vois la dévorer. Je change de photo et me vois nue, les jambes écartées, offerte aux yeux et au sexe de mon photographe.
C'en est trop pour moi, le plaisir monte à toute vitesse. J'arrivais au bord du gouffre, taisant mes gémissements, quand on m'interrompit et frappant à la porte :
- Olympe, ma chérie. Viens manger, ton père est en train de servir le dîner !
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