Un weekend inoubliable : Samedi, soirée découvertes et révélations, 2eme Partie

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La soirée promettait d’être vraiment au top, le repas fini, je me colle à la vaisselle pendant qu’elle file devant la télé.
Une fois terminée, je la rejoins sur le canapé, et nous discutons de la soirée, lui expliquant que depuis l’été passé j’aimais sortir en boite de temps en temps, toujours avec ma cousine, toujours la même boite à quelques kilomètres d’ici.
Elle me dit qu’elle n’a jamais mis les pieds en discothèque, et que si ses parents savaient pour ce soir, ça risquait de mal finir.
Je reçois un message de ma cousine, me disant qu’elle débarquait vers 23h.

« - Bon elle sera là dans une heure, file à la douche, j’irais après toi.
- Mais j’ai rien prévu pour me doucher, je pensais demander à Sarah.
- Viens avec moi, je te donne ce qu’il faut.
Je la prends par la main, et l’accompagne à la salle de bains et cherche dans les placards.
- Alors, gel douche, shampoing, gant de toilette et serviette. Voilà mademoiselle. A tout à l’heure.
- Non, reste, viens avec moi.
- …
- Vas-y c’est bon, fais pas ton timide, je sais que t’en meurs d’envie, et moi aussi…
- Désolé… je… non… pas possible… »

Je ne sais pas ce qu’il me prend, mon cerveau me demande de quitter la pièce, mais mon corps refuse de bouger, je voudrais rester avec elle, prendre ma douche avec elle, sentir son corps nu et mouillé contre le mien. J’ai peur de déraper, mais devant son insistance je ne peux résister. Nous nous déshabillons donc complètement, et je m’étonne de mon absence d’érection à la vue de son corps nu, une première également, que je ne peux m’empêcher de regarder de haut en bas et de bas en haut.
De son cou fin, en passant par sa poitrine juvénile que je connais par cœur, son ventre plat où je devine le dessin de ses abdominaux et la finesse de ses hanches. Plus bas je m’attarde plus longuement, sa toison brune est quasi inexistante, taillée court, laissant deviner la naissance de son sexe. Le tout gracieusement encadré de cuisses musclées, bien galbées et attirantes.

« - Tu profites du spectacle ?
- Non, j’admire ton corps parfait. Elle rougit. Tu fais du sport, non ?
- De l’athlétisme, surtout du sprint et du saut.
- Je me disais aussi, c’est pas la guitare qui donne de si jolies cuisses, sinon je le saurais.
- Arreteuhhhh !!!
- De quoi ?
- Tu me complimentes, tu me flattes depuis tout à l’heure, j’aime pas ça, j’y crois pas…
- Tu t’es regardée dans un miroir ? Quoique, vaut mieux pas, tu risquerais de virer lesbienne dans la seconde…
- T’est con, mais c’est sûr que comparé à toi…
- Quoi ? Y’a un problème ?
- Ben t’est pas maigre quoi… Mais j’aime bien c’est confortable, et puis je me sens en sécurité dans tes bras…
- Merci je savais, mais bon j’ai des circonstances atténuantes… »

‘Alors pour faire court, je sortais d’une fracture déplacée du tibia, une semaine d’hôpital, deux semaines de canapé à la maison, un mois de plâtre, et trois mois de béquilles…j’avais récupéré ma jambe trois mois avant, et le sport ne m’était autorisé que depuis la fin du mois de septembre. Donc les kilos s’étaient quelque peu accumulés depuis.

Voilà en gros ce que je lui ai expliqué, et elle s’excusa de sa remarque, qui, je l’avoue, m’avait un peu vexé quand même, mais c’était dit avec un si joli sourire…

Nous filons donc sous la douche, son corps vient se blottir contre le mien, je sens sa peau nue et mouillée contre la mienne, et je frissonne, nous nous découvrons sous un autre jour, nus. Je sens ses mains sur ma peau, elle découvre, mon corps elle aussi. Nous nous embrassons longuement encore, sentant monter le désir en nous, mon sexe se réveille au contact de son corps et se dresse de toute sa grandeur (j’exagère quand même). Et lorsqu’elle s’en aperçoit elle semble troublée.

« - Tu vois, quand je te dis que tu me fais de l’effet.
- C’est marrant quand même, un peu bizarre aussi.
- Tu trouves ça marrant ?
- Ben un peu, je sais pas, je connais, mais ça me fait drôle, j’ai l’habitude de mon petit frère de cinq ans, mais là…
- Merci de me comparer à ton petit frère… »

Nous éclatons de rire, je coupe l’eau, nous nous savonnons mutuellement d’un commun accord, cela me permet de découvrir plus en détail ce petit corps. Je n’hésite pas à passer sur ses seins, son ventre, ses fesses, son dos, de nouveau ses seins. Mais c’est elle qui me surprend en allant jusqu'à poser ses mains sur mon membre durci, et je me tends un peu, elle les retire en s’excusant du regard et se retourne, un peu honteuse je pense, je la serre contre moi. Posant mes mains sur son ventre, la caressant tendrement, descendant jusqu'à la limite de son pubis, où je n’ose m’aventurer, et sur ses cuisses musclées. Nous en resterons là pour la douche…
Nous nous rinçons, et nous séchons avant de regagner ma chambre enroulés dans nos serviettes, la mienne autour de la taille, la sienne dans les cheveux, nue. Je lui laisse prendre un peu d’avance et profite du spectacle de son magnifique postérieur ondulant devant mon regard hypnotisé par ces deux sublimes fesses blanches et musclées.

« - Arrête de mater mon cul, pervers !!!
- Je te l’ai déjà dit, je mate pas, j’admire…
- Bien sûr ouais…
- Je te le promets… Sur notre amour…
- PERVERS !!! »

J’accélère mes pas et la rejoins sur le pas de la porte de ma chambre, passe mes bras autour de sa taille et la soulève sans effort. Elle se débat et, sans le vouloir, un coup de talon malencontreux me fait voir les étoiles, mon tibia est encore très sensible suite à l’opération. Je la pose en vitesse et m’écroule sur le lit, les larmes aux yeux à cause de la douleur qui m’a traversé la jambe, laissant tomber ma serviette au passage…

« - Oh putain, ça fait mal !!!
C’est sorti tout seul, j’ai hurlé, je voulais pas.
- Ça va ? Excuse-moi, je suis vraiment désolée, pardon, pardon, pardon…
Elle a l’air consternée par ce qu’elle vient de faire, et viens se lover, nue, contre moi, les larmes aux yeux et cette sensation de son corps nu contre le mien fait diminuer la sensation de mal de moitié et renaitre mon érection.
- C’est pas grave, t’inquiète pas c’est normal.
- T’es sûr ?
- Pas que tu me cognes, ça c’est pas normal.

Même sous l’emprise de la douleur je garde mon sens de l’humour.

Mais la douleur… J’en ai vu d’autres depuis six mois, et c’est pas la peine de te mettre dans des états pareils…
- Ben j’ai eu peur, t’as l’air d’avoir eu vraiment mal, je voulais pas que ça se recasse…
- Je te l’ai dit, c’est rien, j’ai l’habitude, de toute façon avec le morceau de ferraille qu’ils m’ont mis, ça risque pas de recasser…
- Sans déconner, t’as un morceau de ferraille dans la jambe ?
- Ben oui, touche…
- Ca va pas, c’est dégoutant… »

Je me relève en boitant, et sors de quoi m’habiller pour la soirée, un jean, une chemise blanche, enfile (à contre cœur) un caleçon, mon jean, ma chemise, attrape un pull un peu classe.
Elle se penche sur son sac, me tournant le dos, et la vue me laisse complètement médusé, ce cul d’enfer, ces cuisses élancées, ce petit minou que je peux enfin découvrir, ces lèvres charnues, laissant deviner d’autre, plus fines, cachant son intimité que je me promets de découvrir sitôt qu’elle m’en donnera l’occasion et l’autorisation…
La bosse se reforme dans mon caleçon à la vue de ce tableau de rêve, et le jean en révèle toute l’ampleur. Je me sens gêné de profiter de ma position pour la mater, mais en même temps je n’arrive pas à détourner mon regard de cette vision enchanteresse.
Je me détache enfin de son petit derrière de déesse, et retourne à la salle de bains histoire de terminer de me préparer. Je sors lorsqu’on sonne à la porte, je regarde ma montre, 22h50.

« - Cess, bouge-toi, y’a ma cousine !!!
- Cinq minutes s’il te plait, et j’arrive…
- Ok. »

J’ouvre la porte et embrasse ma cousine sur le coin des lèvres.

‘Oui j’embrasse ma cousine sur la bouche et alors… Pour moi elle est comme ma grande sœur, elle a toujours été là à chaque fois que j’ai eu besoin, nous avons grandi ensemble, et nous avons toujours été très proches… Mais je vous rassure, rien de plus, une bise sur les lèvres…

« - Alors elle est où ?
- Calme-toi, elle arrive, elle finit de se préparer dans ma chambre.
- T’aurais pu m’en parler avant, venir me voir…
- Pas eu le temps, mais je t’explique rapidos, on se connait depuis dimanche, on a passé l’après-midi ensemble mercredi, et je viens de passer la plus belle journée de ma vie, en gros voilà…
- Depuis dimanche seulement ? Et elle passe le weekend avec toi ici ?
- Et je l’aime aussi… J’avais oublié…
- Tu vas pas un peu vite là ? Une semaine et voilà, ça y est ?
- Tu comprendras tout à l’heure, c’est fusionnel entre nous, un peu comme toi et moi. Tu veux boire quelque chose ?
- Non c’est bon, on monte rejoindre les autres à l’Oasis, et après on file en boite. »

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