Dégrafe
Je me dirige sur le dos d’Amandine et dégrafe son soutien-gorge, ce dernier descend persque tout seul sur son corps, elle le retire malgré tout après un court moment. Dès lors je l'allonge doucement et applique de délicates attentions sur tout son corps.
Ma main dérape non accidentellement sur son ultime rempart de tissus. Je commence à avoir le retour de mon érection bien forte, et mes caresses sur sa culotte m’excitent d’avantage encore.
Motivé comme jamais, je me lève fait tomber mon slip blanc révélant à Amandine une magnifique érection. Elle sourit mais ne dit rien, visiblement flattée de l’effet qu’elle me fait. Je m’assois à ses côtés, et pose de nouveau mes mains sur son corps. Comme je me suis installé elle peut m’imiter mais pas atteindre mon sexe, c’est volontaire je suis suffisamment excité à mon gout.
Je caresse ses seins un moment puis la voyant se mordiller les lèvres, je fais descendre ma main sur l’ultime vêtement. Je caresse alors le dessus sans toucher son entrejambe, je vois bien sur son visage que ça lui fait un effet monstre. Je remonte alors un tout petit peu et commence à soulever l'élastique de sa culotte. Ma main s’y intérieur, et poursuit mes caresses sur le reste de son corps.
La culotte disparaît bientôt par une impulsion que j’initie, Amandine se laisse complètement faire et se contente de soulever les fesses pour faciliter mon opération. Nous revoilà à nouveau tous deux totalement nus.
Soucieux de bien réaliser mon gage, je glisse ma tête entre ces cuisses, et commence sans délais à faire travailler ma langue. Amandine commence à émettre de délicieux gémissements auxquels je ne résiste pas.
J’ai soudainement une idée, n’écoutant que moi je ne pose même pas la question et prend l’un de mes doigts et lui insère doucement. Amandine gémis et se crispe sous mon action.
- Amandine gémissant : Trop bien ce que tu fais !
Je pouffe de rire mais ne répond pas, je continue mon action. Rien qu’aux doux bruissements de ma douce je sais que c’est apprécié. Ça motive tant les mouvements de langues que de doigts. J'accélère et ralenti alternativement l’un et l’autre.
La réaction et les mouvements d’Amandine sont de plus en plus forts. Et les gémissements sont de plus en plus forts. Je suis même en train de me demander s’il ne serait pas probable que ça puisse commencer à s’entendre.
- Moi s'arrêtant : Tu as l’aire de kiffer mais essaye de faire doucement.
- Amandine : J’y peux rien si tu me fais de l’effet !
- Moi : Donc je continue ?
Annotations
Versions