Débout !
Nous sommes réveillés bruyamment par Papa qui crie dans les escaliers “Debout ! Les enfants on se réveille”. Dans ma chambre ça nous réveille Amandine et moi. On ouvre les yeux tous les deux presque en même temps.
Intuitivement je regarde mon réveil, il est presque six heure trente, visiblement Papa a plus ou moins le même programme qu’Amandine. Pas le temps de se rendormir d’ailleurs mon réveil sonne quelques instants après.
Je l’étain et me lève suivit de près par Amandine. Forcé de constater que c’est dur de se réveiller, il faut dire qu’hier on s’est quand même couché à minuit passé.
- Moi : Je vais réveiller mon frangin
- Amandine : Ok je m’habille en attendant.
- Moi : Ok
Je me dépêche et je rejoins la chambre de Jean. LE connaissant malgré la voix rauque de Papa il dort encore profondément. En rentrant j’en ai la confirmation visuelle et auditive, il ronfle légèrement mon petit loir.
Je m’approche doucement de son lit m’assied sur le bord et gentiment je pose la main sur mon frangin.
- Moi doucement : Jeannot,....
Sans réponse je renouvelle l’opération à plusieurs reprises sans guère plus de résultat. J’hésite un petit moment mais je réalise que je n’ai pas d’autre choix que de de le secouer pour le réveiller. Je commence tout doucement et j’augment également légèrement le son de mes sollicitations.
A force de persévérance, Jean grogne. Je suis entre un sentiment de satisfaction et de culpabilité. Je sais qu’il n’est pas du matin donc j’essaye d’être assez doux dans ma voie et rassurant.
- Moi doucement : Désolé mon Jeannot, c’est Papa il nous a appelé.
- Jean grognon : Quoi déjà !
- Moi rassurant lui caressant le dos : Oui j’en suis désolé.
- Jean grognon : Fait chier.
- Moi : Je te laisse tranquille ça va aller ?
- Jean : Oui oui.
- Moi : Prend ton temps mais pas trop.
Je ressors, et retrouve ma belle Amandine qui m’attend gentiment devant la porte de ma chambre. Un petit smack et on descend déjeuner. Une fois en bas on salue mes parents avec des bisous et on déjeune avec eux.
Comme souvent tout est prêt à notre arrivée et on n’a plus qu’à s’installer. Ce matin c’est céréales, et restes de tartes de la veille, je comprends qu’effectivement il ne faut pas laisser tout ça car dans deux semaines ce ne sera plus bon.
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