Dans le couloir
On laisse Jean discuter dans le couloir avec maman, Amandine et moi sommes désormais dans la chambre. A peine la porte fermée, Amandine me saute au cou et on s’embrasse à pleine bouche. On est bien fatigués, mais on profite d’un profond baiser malgré tout.
- Moi : Tu as quoi là dessous ?
- Amandine : J’ai toujours mon maillot pourquoi ça te coupe l’envie ?
- Moi : Tentatrice !
- Amandine amusée : Si tu le dit !
- Moi rougissant : Genre tu le sais pas que ça me plairait de….
- Amandine amusée : J’ai bonne mémoire.
- Moi : Donc tu le fais exprès.
- Amandine : J’avais envie de t'embêter un peu. Mais j’avoue que j’abuse surtout que je suis crevée.
- Moi : Ah ouf, j’ai cru que c’était que moi.
- Amandine : Non j’ai juste voulu voir ta réaction je crois.
- Moi : Ah bon ? Et alors ?
- Amandine : Tu m’as fait rire.
- Moi : Ah bon.
- Amandine : Bref je vais aller me doucher !
- Moi : Ok je vais y allé après.
- Amandine : Comme tu veux.
- Moi amusé : Y’a pas vraiment la place pour deux dans la douche.
- Amandine : Non pourquoi tu dis ça ?
- Moi : Oublie c’est la fatigue.
J'admet, j’ai cru qu’elle voulait qu’on se douche ensemble. Enfin je pense que c’est aussi lié à la fatigue que j’ai cru comprendre ça, donc ce n’est pas tellement un mensonge. Il n'empêche que j’en avait un peu envie.
L’un comme l’autre nous nous douchons a tour de rôle. De retour dans la chambre on discute ensemble tranquillement en chuchotant.
- Amandine : Alors mon plan pour embêter Jean ?
- Moi : Génial.
- Amandine : Tu as pensé quoi de sa réaction ?
- Moi : Je pense qu'il a mordu à l'hameçon.
- Amandine : Sacré Jean.
- Moi : Tout à fait d'accord avec toi.
- Amandine : J'espère bien.
- Moi amusé : Blague à part il va falloir qu'on se montre inventif.
- Amandine : Oui.
- Moi : Tu n'a pas d'idée ?
- Amandine : Si on pourrait le faire se mettre à poil.
- Moi : Hein mais comment et pourquoi ?
- Amandine : Pour me venger. Mais comment je ne sais pas trop.
- Moi : Je suis pas sûr que ce soit une bonne idée.
- Amandine : Oui il va vouloir que je fasse la même chose en retour.
- Moi : Sûrement.
- Amandine : Je ne sais pas trop quoi faire pour le moment.
- Moi : Franchement, plus j'y réfléchis plus je me dis qu'il faut qu'on passe à autre chose. Si l'occasion se présente de le faire marcher on le fera mais je pense que faut pas qu'on se prenne la tête pour le faire à tout prix.
- Amandine : Oui tu as raison.
- Moi : Je pense qu'il faut qu’on profite de nos vacances.
Annotations
Versions