Mine de rien ça fait plus de deux heures qu’on est là. Et la faim commence à tirailler nos entrailles. Je pense que ce bonbon m’a mis en appétit.

APrès nos achats on regagne la voiture, on va visiblement manger à la maison. Papa pousse un peu le champignon et on rentre en quatrième vitesse.

Une fois à la maison, Amandine Maman et moi sommes en cuisine et préparons le repas, en réalité je n’y suis pas d’une très grande assistance et rapidement je trouve d’autre tâches à faire comme couper du pain et préparer un pot d’eau.

On passe bientôt à table, et on mange un repas délicieux préparé par nos “filles”. Je me rends bien compte que ce que je dis est un peu “macho” mais en même temps ce n’est pas ma faute si je me suis senti inutile lorsque

On discute durant le repas de cette activité. La visite a plu à tout le monde et j’entends enfin le “vrai” nom de ce que j'avais appelé la “tige de bois”. C’est Jean qui mentionne le nom du “simoussi” qui permet la récolte du gros sel comme nous l’a appris le guide.

Ma mémoire me joue des tours, je ne me souviens plus du nom de notre guide, mais qu’importe, je ne le reverrai probablement jamais !

On regarde alors l’heure de la prochaine marré haute, elle est en ce moment on décide tous de se préparer et de partir immédiatement.

On a bien sûr notre superbe boué flamant rose et je ne peux m'empêcher de me remémorer le moment particulièrement sympathique vécu la veille. Ce simple souvenir me fait bander légèrement, heureusement mon short le dissimule, j'aurais été en boxer de bain tout le monde aurait pu s’en rendre compte.

Amandine malgré sa proximité ne s’en rends pas compte non plus, et je souris en continuant de porter la bouée et de tenir sa main.