Chapitre 2. Lysa en chaleur.
### Lysa ###
J’étais vraiment heureuse de revoir ma fille et son mari. Surtout Pierre !
Dès que je le vis, j’eus des vibrations violentes dans tout mon corps, je devais vraiment me dominer, seule avec Pierre, je l’aurais pris par ses bijoux pour assouvir mes pulsions. Ninah, plus sensible, avait immédiatement senti mon désir. J’étais en manque, c’est certain. Lorsque je touchais le sexe de Pierre dans la cuisine, je sentis immédiatement qu’il maîtrisait mal son érection, ça ne pouvait être que pour moi ! Il n’avait pas de raison d’être érigé ainsi avec ses deux femmes. Le jour du mariage, lorsque je vis qu’il glissait aussi une bague magnifique au doigt de Ninah, j’eus un flash de jalousie. Moi aussi, j’aurai voulu qu’il me donne une bague pour sceller notre relation.
Deux mois d’absence, c’était trop. Chaque soir, seule dans mon lit, je rêvais de me calmer avec Pierre. La proximité de Jaspar m’aurait bien aidée à ce moment-là mais il était souvent absent, prétextant une montagne de dossiers à traiter. Les seules fois où il vint dans mon lit, je constatais qu’il n’avait presque pas de désir pour moi. J’avais beau le masser avec la pommade de Ninah, son sexe imposant restait flasque ! Ni mes caresses avec mes mains ou ma poitrine ne parvinrent à lui donner une érection convenable. J’essayais aussi de le prendre dans ma bouche, mais même cela ne donna aucun résultat. Il avoua une grande fatigue. Un soir, en présentant sa verge devant ma bouche, je sentis l’odeur de sperme rassis. C’était de trop ! Je lui demandai s’il était fatigué parce qu’il couchait ailleurs. Il nia énergiquement. Ma réaction, sans doute trop énergique, mit fin à la soirée, il quitta la maison me laissant avec un désir inassouvi.
Plusieurs fois, je me rapprochais de ma première ouvrière, qui aimait bien coucher avec moi. Elle me donnait du plaisir, c’est certain, mais ne me donnait qu’une faible compensation par rapport à mes souvenirs avec Pierre. Même en pensant intensément à mon désormais beau-fils je ne parvins pas au sommet de mon plaisir. Je crois même qu’un soir je criais son nom à haute voix pendant que Pauline léchait mon minou. Elle ne fit aucune remarque, mais j’étais quasi certaine qu’elle avait compris.
J’essayais même avec un gode vibrant mais cela ne me donna aucun plaisir. Revoir Pierre c’était l’annonce que je pourrais sentir son bâton fier et dur dans mon antre. Je lui parlai quand même en maîtrisant ma voix en l’informant que je m’étais disputée avec Jaspar. Mais Pierre n’eut aucune réaction. Son sexe dressé, me fit espérer que bientôt je pourrais le sentir entre mes jambes.
À table, j’eus le plaisir de le caresser et de sentir sa verge gonfler sous ma main. Il écarta plusieurs fois ma main, mais mon désir était trop fort. Mes cuisses étaient trempées de cyprine et je dus retourner le coussin de ma chaise pour masquer la tache d’humidité. J’avais envie de lui et dans ses yeux je crus lire que son désir pour moi était réciproque. J’aurais bien voulu m’asseoir sur les genoux de Pierre à la place de ma fille, ce n’était pas pensable. J’avais bien remarqué la réaction d’Amina qui devait sentir la lance de Pierre dressée contre ses fesses, mais je ne pouvais pas me coller contre lui.
Je ne fus qu’à moitié surprise lorsque Ninah m’appela pour m’inviter à la villa, elle voulait me parler d’un nouveau boubou car elle avait vu en ville un modèle qui lui plaisait bien. Elle voulait me montrer une photo qu’elle avait prise avec son téléphone.
Le soir convenu je me présentais à la villa. Ma fille m’embrassa mais s’excusa de ne pas rester prétextant être fatiguée de son premier jour de travail et alla dormir. Ninah me prit la main pour nous isoler dans une chambre Elle me montra une photo d’un boubou mais je ne distinguais pas bien le modèle.
Ninah se déshabilla pour me montrer avec ses mains comment elle voyait le décolleté en simulant le dessin sur son corps. Elle empauma ses seins ce qui fit redresser ses tétons que j’adorais et je lui fis des caresses qui suscitaient ses gémissements.
C’était trop tentant et je dirigeais une main vers sa fente tout humide, ce contact me stimula et très rapidement nous nous trouvions allongées sur le lit en quinconce. Sa fente, fraîche me plaisait vraiment et elle montra autant en glissant ses doigts et sa langue dans mon minou. Mon désir grimpa en flèche et je comprenais à peine que quelqu’un venait d’entrer dans la chambre.
C’était Pierre le sexe dressé qui voulut se retirer en s’excusant. J’interrompis ma pourlèche pour crier :
– Non, Pierre, reste ! ne croyant pas mes yeux.
– Désolé, je ne voulais pas interrompre votre jeu ! dit-il.
– Au contraire, Pierre, viens plus près, ton jouet pourrait bien nous servir aussi !
En approchant, je saisis sa lance, ce qui me fit déjà jouir, inondant la bouche de la servante qui se délectait de mon jus. Je poussai Ninah délicatement sur le côté pour avaler le gland généreux de mon beau-fils. J’étais trop bon et mon désir s’accentua en entendant le gémissement de Pierre.
Ninah se retourna pour participer à la succion, mais sans le pousser à l’orgasme. Pierre ne perdit pas de temps et introduisit plusieurs doigts dans mon vagin.
– Non, Pierre c’est trop bon, pas trop vite ! dis-je, je veux profiter de ton pic, j’en rêve depuis si longtemps.
Ninah m’aida à le coucher sur son dos, l’image de son sexe érigé dont le gland sortait de son prépuce me donnait envie de copuler. Mais Ninah interrompit mon geste et présenta un préservatif que je déroulais soigneusement sur son piquet. Mes mains tremblaient d’émotion et Ninah, très secourable, m’aida à le couvrir.
À peine avait-elle terminé d’installer la protection que je m’accroupis et enfonça son chibre loin dans mon antre. J’en eus des larmes de plaisir et je montais et descendais sans me retenir. Ninah, comprit que je voulais une jouissance rapide et caressa d’une main un sein pendant que l’autre caressait ma rondelle. Le résultant arriva sans retard et je criai ma jouissance.
Pierre par contre n’avait pas joui et je continuai sans relâche ce qui augmenta encore mon plaisir. J’eus un deuxième orgasme sans que Pierre ne flanchât. Je m’écroulai sur son torse pour reprendre ma respiration. Au bout de quelques minutes je sentis que la lance de Pierre vibrait toujours et je voulus profite de l’occasion. Je serrais mes muscles pelviens pour profiter de ce rapport, Ninah me regarda comme si j’étais une étrangère.
– Tu n’as plus baisé de puis longtemps ?
– Oui, ça doit dater de plus d’un mois, en fait juste après le mariage. Jaspar ne parvenait plus à bander, malgré ta crème. Alors on s’est disputés, je voulais qu’il m’avoue qu’il couchait ailleurs. Il a nié, et je l’ai chassé de ma maison. Depuis on ne se voit plus.
### Pierre ###
Lorsque j’entrais dans la chambre comme convenu avec Ninah, j’eus un moment de surprise. Le corps de Lysa me parut encore plus beau que dans mes souvenirs. Elle me vit immédiatement et me supplia de rester. J’eus à peine le temps de m’approcher du lit qu’elle saisit mon sexe pour le sucer. Je m’étais juré de ne pas prendre mon plaisir mais seulement la soulager, mais ce n’était pas possible. Je revoyais les premières fois où je l’avais calmée dans la chambre d’Amina et la fois où elle était venue dans ma chambre d’hôtel.
Je ne me posais plus de questions et j’enfonçais mes doigts dans son intimité. En regardant son ventre plat, je fus certain que Lysa avait maigri, mais pas au niveau de sa poitrine. Ses tétons étaient encore plus agressifs que dans mes souvenirs. Elle voulait copuler, heureusement Ninah garda son sang-froid. Elle prit un préservatif pour le présenter sans un mot à Lysa, qui comprit et entama la couverture de mon pénis. Lysa était vraiment chamboulée et Ninah dut l’assister pour parvenir à placer le condom correctement. Elle me paraissait folle de désir, elle eut une première jouissance très rapidement, sans doute que Ninah la caressait pour accélérer son orgasme. Je sentis la première vague me Lysa continua. Est-ce le fait du préservatif, depuis mon mariage j’en avais plus utilisé, ma verge était beaucoup moins excitée et ce fut Lysa qui s’écroula durant le deuxième orgasme.
Lysa n’en pouvait plus, mais resta couché sur moi sans nous désunir.
– Oh, Pierre, que c’est bon de te retrouver, mais tu n’as pas encore joui ?
– Je crois que le préservatif en est la cause, il atténue le frottement. Je n’ai plus l’habitude.
– Alors enlève-le, je te ferai jouir.
– Non Lysa, je ne veux pas que mon sperme entre dans ton vagin.
– Viens dans ma bouche alors ! ce ne sera pas aussi bon pour moi mais au moins tu jouiras.
– Attends, dis-je, l’avantage du préservatif te permettra de reprendre la copulation pour te faire jouir une nouvelle fois. Mon sexe finira par tirer sa salve à force de sentir ton vagin étroit.
– Oui, d’accord. Mais Ninah, caresse ses testicules pendant qu’il s’enfonce encore en moi.
Je regardais Ninah qui comprit qu’elle ne devait pas suivre la demande de ma belle-mère. Je repris mon pilonnage sans que Ninah me touche. Lysa cria encore deux fois avant que mon corps capitula. Je sentis mon éjaculation très abondante au point que je me retirai rapidement de peur que le condom se détache.
Ninah très charitablement retira le caoutchouc pour le fermer et le jeter. Lysa était épuisée mais même si je sentis son cœur battre la chamade, elle voulut me garder contre ses jambes. Je sentis sa main réveiller ma lance puis sa bouche jusqu’à ce que mon engin montre à nouveau une tension appropriée.
– Ninah, donne-moi un autre préservatif, je ne m’arrêterai pas tant qu’il pourra pointer.
– Lysa, calme-toi, je resterai avec toi toute la nuit.
– Merci mon fils, baise ta mère jusqu’à mon épuisement. Je regrette mais Jaspar est un salaud, je suis sûre qu’il couche ailleurs. Tu devras me satisfaire à sa place.
Ninah, mit un nouveau condom, et plaça ma lance devant la fente de Lysa. Cette fois c’était moi à la manœuvre et je donnai des pulsions plus dures qui firent crier Lysa encore plus intensément et me donnaient enfin l’excitation essentielle à mon éjaculation. Je me sentis vidé et heureusement Lysa sombra dans un sommeil réparateur.
– Merci Pierre, murmura-t-elle encore, reste avec moi cette nuit. Je suis fatiguée mais demain matin tu me feras jouir encore.
NDA : À très bientôt ! Pauvre Pierre, il s’est vraiment sacrifié ! Ninah le remettra en forme demain matin.
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