Chapitre 17. Des jumeaux !
NDA : désolé pour le délai de publication, j’ai dû vérifier certains éléments concernant la gestation de jumeaux pour ne pas raconter des bêtises. Merci de votre patience !
Un mois plus tard…
### Amina ###
Comme convenu avec le gynécologue, Pierre me conduisit chez le médecin pour une échographie. J’espérais que cette fois il pourrait confirmer que j’étais enceinte !
Je n’eus pas à patienter longtemps, sans doute que le statut de Pierre me donnait un avantage.
– Bonjour Madame, comment allez-vous aujourd’hui ?
– Bonjour Docteur, à part des nausées matinales et un gonflement des seins qui sont plus sensibles, je n’ai pas de problèmes.
Il me demanda de me déshabiller derrière un paravent et me fit étendre sur la table d’examen. Cette fois, j’étais plus timide pour m’exhiber devant un autre homme blanc, je ne me souvins plus de cette réaction lors de la visite précédente.
Le contact froid du gel et de l’appareil qu’il promena sur mon ventre me fit frissonner et le médecin s’en excusa.
– Oui, désolé pour ce contact un peu froid, mais je ne peux l’éviter. Ah ! Voilà, félicitations Madame, vous êtes bien enceinte ! Mais j’ai une surprise, inattendue ! Vous êtes enceinte de jumeaux ! Comme je vois deux poches, vous avez donc des jumeaux dizygotes, c'est-à-dire de deux ovules. Sans doute causés par l’arrêt de la pilule contraceptive. Il est encore trop tôt pour voir le sexe, mais votre état va m’obliger à vous voir fréquemment, mais ce n’est que dans six ou sept semaines d’ici, que nous pourrons voir le sexe des enfants. Cette prévision n’est qu’approximative, parfois il faudra attendre un peu plus longtemps.
– Mon Dieu ! dis-je, je ne m’attendais pas à cette nouvelle ! Docteur, cela va-t-il entraîner des complications ?
– Non, pas spécialement, vous serez plus rapidement fatiguée et bien entendu votre ventre prendra plus de volume. Je vais vous mettre au repos, je vous conseille d’anticiper votre congé de maternité. Je suppose que votre mari n’y verra pas trop d’inconvénients.
– Non, dit Pierre, Merci mon amour ! des jumeaux ! Ninah sera contente de pouvoir t’aider à la naissance !
– Très bien, dit le médecin, je vais vous prescrire des vitamines et beaucoup de repos. On se revoit dans trois semaines et ensuite toutes les deux semaines, jusqu’à la naissance qui sera sans doute un peu avancée par rapport à une gestation normale.
J’étais heureuse de la nouvelle, mais quand même un peu inquiète. Pierre, lui était supercontent ! Il m’embrassa en sortant du cabinet du médecin mais attendit que nous fûmes à la maison pour m’embrasser longuement.
Ninah nous attendait et fit des bonds de joie en apprenant que j’attendais des jumeaux.
– Oh ! Amina quel bonheur ! Dommage que je ne pourrai pas lui donner du lait !
– Mais si ! dis-je, tu peux toujours presser mes seins pour en extraire mon lait et le donner à un des enfants pendant que tu nourriras au biberon !
– Oui, Amina mais je ne sentirai pas les vibrations de la succion du bébé.
– Mais si, tu peux toujours le mettre à ton sein après pour calmer son appétit !
Ninah acquiesça et me fit une caresse sensuelle en présence de mon mari. Est-ce l’évocation de l’allaitement ? Mais je vis que cela émoustillait notre mari qui me serra contre lui. Ninah était tout aussi excitée et glissa sa main dans le pantalon de Pierre pour masser sa lance.
– Ne t’en fais pas Amina ! lorsque tu ne pourras plus copuler avec Pierre, je pourrai toujours le satisfaire. Peut-être pourra-t-on toujours jouir ensemble.
– Ninah, je suis heureuse d’être enceinte, mais anxieuse de voir mon corps se déformer par deux enfants à la fois ! Pierre, tu me montreras que tu m’aimes toujours même lorsque j’aurai le corps d’un éléphant ?
– Mais bien sûr, répondit-il, tu porteras nos enfants et ce sera un cadeau merveilleux !
– Pierre, nous ferons l’amour ensemble, dit Ninah. Oh, ma sœur, nous aurons des bébés ensemble et Pierre pourra toujours se satisfaire de nos corps selon son envie.
Pierre me coucha dans le grand lit et défit mes vêtements avec l’aide de Ninah. Le toucher de leurs mains sur mes seins et mon ventre me firent vibrer au-delà de la normalité. Bientôt j’eus mes seins agrippés pas deux bouches, Ninah d’un côté et Pierre sur l’autre.
Je parvins à saisir la lance de Pierre où les mains de Ninah me rejoignirent. Même si Pierre n’était pas sous l’influence des produits excitants, il ne fut pas long à déployer son engin et il profita de la disponibilité d’Amina pour enfoncer profondément son sexe pour le bonheur de ma sœur.
– Ah ! Oui Pierre, continue ainsi, profites-en tant que les bébés me laisseront assez de place.
– Mais ma chérie lorsque ton ventre sera trop gros je pourrai toujours te prendre sur le côté ou par-derrière.
– Puis Ninah, pourra toujours me caresser pendant qu’elle subira tes assauts !
– Rien ne changera, mon amour. Tu seras mon épouse chérie et maman de mes enfants.
– Merci Pierre, je vais aussi téléphoner la nouvelle à Maman, elle sera surprise d’être deux fois grand-mère.
– Oui, certainement, dit Ninah, mais je ne sais pas si cela va calmer sa libido ?
– Non, dis-je, elle voudra prouver qu’elle attire toujours les hommes. Pierre, tu verras qu’elle ne va pas te lâcher, surtout si Jaspar ne la satisfait plus !
– Dans ce cas, vous n’avez pas intérêt à me laisser seul avec elle.
– Oh, comme si cela va la freiner ! Elle réclamera son dû même en notre présence.
Il fut convenu que j’appellerai Maman sans tarder mais avec le portable de Pierre. Elle répondit à la première sonnerie.
– Allô, c’est toi Pierre ?
– Non, maman, c’est ta fille ! C’est pour t’annoncer la confirmation que je suis enceinte !
– C’est magnifique ! Et Pierre est content aussi ?
– Oui, il est doublement content, le médecin m’a annoncé que j’attends des jumeaux !
– Oh, ma chérie, tu es bénie des dieux ! C’est un excellent présage. Des gémeaux, c’est un signe de puissance et de bonheur. Il faudra choisir avec précision les prénoms. Pierre doit être heureux.
– Oui, Maman, et Ninah aussi. Cela compensera en partie son désir d’avoir un enfant de Pierre. Elle pourra câliner les enfants avec moi ! Mais pour les prénoms il faudra encore attendre. Le médecin a signalé qu’il y a deux poches, donc je pourrai avoir un garçon et une fille.
– Bon d’accord, raison de plus de bien choisir les prénoms. Je viens encore ce soir pour te féliciter.
– Oui, d’accord. Mais je suppose que tu voudras féliciter le père aussi ?
– Mais cela ne te gênera pas, je suppose.
– Je ne peux pas t’en empêcher. Comment va Jaspar ?
– Il prétend que c’est moi qui l’empêche de bander, il a trouvé une autre femelle qui lui donne entière satisfaction, alors qu’il reste avec elle, je ne veux plus le voir !
Maman ne traîna pas, elle m’embrassa longuement, elle passa sa main sur mon ventre en faisant des incantations que je n’avais jamais entendues dans sa bouche. Sans doute pour conjurer le sort car pour certains la gémellité n’était pas toujours bien perçue.
Bien entendu, elle ne put se retenir de féliciter le père à sa façon. Sans pudeur aucune, elle caressa intensément le sexe de mon mari, elle ne négligea pas d’embrasser Ninah. Sans doute pour la consoler, elle avait enterré ses réminiscences de jalousie anciennes. Puis elle prit la main de Pierre pour la glisser sur mon ventre encore plat.
– Tu devras les caresser et leur parler tous les jours, si tu es présent, pour que tes enfants te reconnaissent et entendent ta voix. Mon mari le faisait tous les jours pendant la gestation d’Amina. Et lorsque ma fille est née, elle n’a jamais pleuré dans les bras de Assane. Tu as toujours gardé des liens très forts avec ton père, dit-elle en s’adressant à moi.
J’eus une pensée très émue en pensant à Papa, je ne pus empêcher une larme de perler sur ma joue. Pierre l’effaça prestement en me donnant un baiser.
Au moment de se coucher, Maman choisit de dormir seule dans une des chambres pour les visiteurs en disant :
– Pierre, ce soir je te laisse avec tes épouses, tu dois partager leur bonheur, je me rattraperai demain puisque tu ne dois pas aller travailler.
J’étais un peu étonné mais je ne fis aucun commentaire. Je m’endormis entourée de Pierre et Ninah, leurs mains sur mes seins et mon ventre. Durant la nuit je me réveillai et je vis que Pierre avait les yeux grands ouverts. Je pris sa main pour la déplacer sur mon inimité, il comprit le message et me caressa jusqu’à l’explosion de mon plaisir. Je voulus lui rendre la pareille mais je m’endormis avant d’avoir pu saisir sa lance.
Au matin, je sentis des mouvements rythmés du lit et je découvris Ninah à cheval sur le sexe de Pierre. Elle s’en donnait à cœur joie, ses seins tressautaient à chaque mouvement. Je ne sais pas depuis combien de temps ils copulaient mais Ninah termina dans un long râle, sans que Pierre n’eût joui.
Voyant que j’étais réveillée, Ninah se tourna vers moi pour me caresser et poussa Pierre contre moi. Son sexe était encore dur comme fait de fer et s’enfonça sans problème dans mon antre. Je me laissai envahir et sous les secousses je finis par crier ma jouissance. Je sentis mon corps se remplir de sa semence, je finis en riant.
– Je suis tranquille, j’ai déjà deux enfants dans mon ventre, ton sperme n’en fera pas plus.
– Cela les rendra encore plus vigoureux dit Ninah en nous embrassant à tour de rôle.
Nos cris avaient sûrement réveillé Maman, qui entra dans la chambre sans vêtements.
– Je vois que j’arrive après la fête !
– Oui Lysa, dit Pierre, tu devras patienter un peu, car Ninah ne m’a pas donné de fortifiant !
– Et si je t’enduis du baume inopérant de Jaspar ?
– Ça devrait marcher, dit Ninah. Mais je crains des effets secondaires, Pierre ne pourra pas s’arrêter !
– Ça ne me dérangera pas, dit Maman, je suis prête à subir ses assauts jusqu’au bout !
Maman poussa Ninah sur le côté et étala la pommade sur la hampe de Pierre, qui gémit sous la caresse. Lorsque son sexe fut opérationnel elle prit un préservatif dans la tirette de la table de nuit et entreprit de l’enrouler avec délicatesse. Son geste achevé, elle s’empala avec violence et cria son plaisir sans attendre. Mais ce n’étaient que les prémisses. Elle dansa longuement et je crus bon de saisir les seins de maman pour accélérer la montée de son plaisir.
Je n’en revenais pas moi-même, à participer aussi activement à la copulation de ma mère avec mon mari ! Ce fut presque simultanément que les amants eurent leur orgasme, Maman m’embrassa pour me remercier, puis enleva le caoutchouc. Moi, je sentis le fluide couler entre mes jambes et en me glissant près de ma sœur, je sentis le même phénomène entre ses cuisses.
Nous convînmes d’un regard de ne pas continuer en présence de ma mère et d’attendre d’être seules avec Pierre.
NDA : Pierre est superheureux de voir son mariage béni. Encore que cela ne va pas calmer les envies des autres femmes de son entourage privé et professionnel…
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