Chapitre 34. Chambre séparée – nouvelle maison.

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### Pierre ###

Les premiers jours après notre retour furent faciles, je ne sortis pas du lit conjugal, je ne vis que le corps de mes épouses qui se relayèrent pour se satisfaire et me baiser. Ninah appliquât régulièrement le baume magique sur ma verge ce qui me permit de faire face aux exigences sexuelles de mes partenaires.

La future maternité d’Amina lui procura une soif insatiable de copulations que les caresses de Ninah complétaient pendant les périodes de repos. Moi-même, je trouvai qu’elle était plus sensuelle et l’image de ses seins agités par les coups de boutoir me donna encore plus de désir. Les deux femmes voulurent vider mes bourses au point que certaines éjaculations ne produisirent presque pas de sperme par rapport à la normale.

Je ne vis pas Antoinette autrement que pour l’accompagner à la visite médicale. Le médecin la garda plusieurs jours avant de me faire un rapport complet, sachant que j’étais plus ou moins son parent proche.

- Votre employée a effectivement subi de traumatismes graves. Elle a des blessures importantes aux ovaires qui réduisent fortement ses chances de maternité. J’ai donc mis ses organes au repos, je la réexaminerai mensuellement pour constater son évolution. Elle est à même d’effectuer des travaux domestiques vu qu’elle a une bonne constitution.

Le médecin me confia aussi, me connaissant, qu’il lui avait recommandé d’éviter les rapports sexuels pendant le premier mois. Lorsque le soir je communiquai à mes épouses les recommandations du médecin, je vis dans leurs yeux un soulagement.

- Donc tu ne la toucheras pas comme le médecin t’a conseillé, me dit Amina, cela nous donnera le temps de la jauger et de lui donner nos consignes.

- Vous ne me laissez quand même le temps de me reposer et donc je ne risque pas de me satisfaire ailleurs que dans notre lit.

- Je coucherai quelques nuits avec elle me dit Ninah, pour mieux la connaître et découvrir son corps. J’avoue qu’elle m’attire un peu, sa gentillesse et son corps d’adolescente sont agréable à caresser.

- Tant mieux dis-je, cela nous donnera du temps pour l’évaluer.

- Mais toi, Pierre, qu’as-tu convenu avec elle ?

- Elle m’a proposé d’être à mon service et a dit textuellement qu’elle veut être mon esclave de sexe. Ce que j’ai refusé, je ne désire seulement continuer la thérapie pour éliminer le traumatisme du viol.

- Donc tu la « soigneras » comme on a convenu me dit Amina. Je ne suis pas jalouse, mais ne nous donne pas des prétextes pour lui faire comprendre que tu n’es pas son jouet.

Ninah se lova contre moi,

- Je reconnais qu’elle a un physique agréable, mais ne brise pas notre harmonie, dit-elle, essayons de tenir la distance jusqu’après la naissance. D’ici là on pourra juger comment elle se comporte.

- Pierre, sois honnête, tu comptais assouvir ton plaisir avec elle, alors que nous sommes disponibles et que nous t’aimons.

- Non, répondis-je, je n’ai pas de sentiments pour elle, je la considère juste comme une personne qui a subi un grave traumatisme. Je ne prévoyais pas d’en faire une concubine, ni de vous remplacer.

- Alors on est bien d’accord, répondit Amina.

### Amina ###

Je n’étais quand même pas tout à fait tranquille. Je profitai de l’intimité avec Pierre pour lui faire part que la villa n’était quand même pas assez grande pour héberger tout le monde.

- Pierre, avec toutes les femmes qui te tournent autour, je dois te signaler que lorsque Tsela reviendra à Kin, la maison sera trop petite pour accueillir un ou une personne qui viendrait en visite. Ne pourrais-tu pas prétendre à la société pour une villa plus grande depuis ta nomination récente ?

- Oui, ma chérie, J’en ai déjà parlé avec les relations humaines de la société et ils me proposent une maison plus grande à une centaine de mètres d’ici qui a deux chambres supplémentaires et surtout une piscine !

- Oh, c’est super ! quand déménageons-nous ?

- Après-demain, j’allais vous en parler ! c’est une surprise. Le jardin est bien plus grand et pas de voisins qui pourront se rincer l’œil.

Le jour du déménagement, j’étais excitée comme une puce. Nous fûmes à peine dans notre nouvelle maison que je pris la main de Pierre et le tira dans la chambre. Il devina de suite que j’avais des intentions lubriques, j’eus la confirmation en voyant la bosse de son pantalon. Sans me presser je défis sa braguette pour voir jaillir son membre raidi par le désir.

- Oh, tu me plais quand je te vois ainsi, lui dis-je, viens, inaugurons cette chambre. Je n’attendrai pas Ninah qui découvre la maison.

Je fis tomber mon pagne. Pierre écarquilla les yeux en voyant mes tétons déjà dressés. Sa bouche gourmande se plaqua sur mes seins un peu plus gonflés que d’habitude. Mon corps fut parcouru de frissons, j’ai toujours aimé qu’il me vénère ainsi.

- J’adore sucer tes seins, dit-il, on dirait que ta maternité prochaine fait gonfler tes seins. J’attendrai avec impatience de pouvoir gouter ton lait.

- Je constate que ta bouche me fait vibrer et que tu veux copuler de suite.

Il se pencha entre mes jambes pour embrasser mon intimité. Sa langue me pénétra et je ne pus contenir les tremblements qu’il me procura. Mes cris firent venir Ninah qui n’hésita pas une seconde pour agripper la verge de notre mari et se délecta de son goût en le mettant en bouche. La vue de ma sœur pratiquant une fellation, fit monter ma tension et je ne pus me retenir. Je sentis mon vagin se contracter sous l’action de sa langue et j’expulsai un jet de cyprine au grand plaisir de Pierre.

Il ne put en profiter à sa guise car je l’entendis grogner son plaisir lorsqu’il éjacula dans la bouche de Ninah. Nous restâmes un long moment à nous câliner et ne fumes interrompues que par l’entrée d’Antoinette qui resta un long moment interdite à la vue de nos corps nus.

Je ne résistai pas, je lui fis signe se s’approcher et malgré mes instructions préalables je défis son pagne pour glisser ma main entre ses jambes. Le contact humide de ses lèvres intimes me révéla qu’elle était tout aussi excitée, sans doute par mes cris.

J’enfonçai mes doigts profondément dans son vagin, elle cria son plaisir et me pinça les tétons. Je ne sus pas si c’était pour m’exciter ou me faire mal mais le résultat était immédiat : j’eus un nouvel orgasme encore plus violent que le précédent.

Pierre resta couché entre les corps des femmes sans que son sexe ne débandât. Ninah prit l’initiative de se coucher sur son homme, elle lui présenta ses seins devant la bouche. Il se redressa pour agripper un téton surdimensionné. Chaque fois que Ninah était en transe, j’étais toujours étonnée de la taille de ses tétons qui s’érigeaient au double des miens. Je tendis ma main pour toucher son sein libre et titillai avec plaisir ses aréoles.

Je vis qu’Antoinette émergea de son orgasme et saisit le bâton de mon mari. Sa prise fut tout en douceur, sans doute se rappelât-elle mes instructions et elle tourna son regard vers moi demandant mon approbation. Elle comprit mon accord et joua longuement avec le membre de Pierre, décalottant le gland à l’extrême puis ramenant la peau en augmentant progressivement le mouvement. Sans doute que Pierre ne voulut pas jouir trop vite, il calma l’ardeur de la petite en freinant sa main elle comprit qu’elle devait atténuer les caresses.

Moi, je ne pus me calmer à la vue des manipulations de la servante et voulant intensifier mon désir, j’écartai mes jambes pour présenter mon bijou à la bouche de Pierre. Il saisit le message aussitôt et je sentis sa langue s’immiscer entre mes lèvres. J’ai toujours aimé cette caresse buccale et j’ondulai mon corps pour augmenter le contact. C’était divin, Pierre était couché en tête-bêche. Je sentis aux vibrations du lit que d’autres mains caressaient son dos et son ventre. Il ne me fut pas possible de déterminer quelles mains faisaient quoi jusqu’au moment où je vis le ventre de Ninah se placer à côté de la bouche de Pierre.

Il en profita pour retirer sa bouche de mon bijou pour la placer entre les lèvres de ma sœur qui profita pour coller son ventre contre le mien. C’est donc Antoinette qui avait les mains libres pour attiser le désir de Pierre en secouant frénétiquement sa verge. Elle eut gain de cause, Pierre dut interrompre ses caresses buccales à ses épouses pour jouir bruyamment. En me redressant un peu je vis que la petite n’avait pas encore abandonné et léchait le sperme épandu sur son ventre. Ça promettait pour la suite, Antoinette aimait le foutre de Pierre et parvint à maintenir son érection sans doute parce qu’elle glissa sa langue alternativement sur le ventre et le sexe de Pierre. Je me demandai qui lui avait appris à l’exciter ainsi, je suspectai que durant la mission elle avait appris avec Délia comment faire jouir mon homme sans être effrayée par ses rapports.

La vue de la servante m’excita au-delà du raisonnable et plutôt que de serrer mes mains entre mes jambes, je tirai les pieds d’Antoinette pour approcher ma bouche de son vagin. Effectivement ses lèvres intimes laissaient perler son jus et tout en aspirant la cyprine je pus introduire ma langue. Antoinette déjà fort excitée ne fut pas longue à jouir. Je vis qu’elle dut lâcher son trophée et vint le blottir dans mes bras.

Elle me fit un baiser profond, jouant avec ma langue. Sa bouche avait encore le goût du sperme de Pierre et je ne pus résister à passer ma langue dans tout les recoins de sa bouche. Ce fut Ninah qui interrompit notre baiser, elle subtilisât le sexe de Pierre pour le porter à sa bouche. Pierre sursauta au contact de la bouche familière et eut une nouvelle impulsion de son érection.

- Oui, Pierre, je reprends la relève. Antoinette, tu devrais te retirer et comme convenu reprendre ta place dans la cuisine.

Je vis qu’elle obéissait de mauvaise grâce, elle ramassa son pagne, se garda de se rhabiller sans avoir exposé sa nudité au regard de Pierre. Cette fille était jalouse, c’est certain. Cependant elle ne fit aucune remarque, se sachant fautive.

Pierre émergea lentement de sa jouissance et nous prit tendrement dans ses bras. Ninah se mit d’un côté et moi de l’autre. Je vis avec plaisir que son membre palpitait toujours et resta mi-érigé. Ni ma sœur, ni moi ne firent un geste vers ses attributs, mais nous gardions une main sur son torse en signe de possession. Ce ne fut que quelques heures plus tard qu’Antoinette nous prévint que le repas était servi.

Le repas léger était délicieux et je suggérai à Pierre d’inaugurer la piscine. De commun accord Ninah et moi nous ne mirent pas de maillot et plongèrent nues dans l’eau. Pierre fit pareil et nous ne résistâmes pas pour nous glisser contre son ventre. Nous n’étions pas satisfaites et rapidement nous plongèrent à tour de rôle pour câliner son sexe qui reprit vigueur. C’était merveilleux, je poussai Pierre contre le bord et parvins à présenter mes seins de telle façon à coincer son sexe entre mes globes. Ce fut Pierre qui mima le coït contre mon corps jusqu’à obtenir un spasme de jouissance. Du coup je saisis son chibre en bouche et bus son jus qui sinon se serait perdu dans l’eau de la piscine.

Un peu plus tard Pierre sortit de l’eau pour profiter un peu du soleil déjà atténué, je le rejoignis en compagnie de ma sœur et pris la crème solaire pour enduire son corps. Ninah me tint compagnie et nous massèrent ensemble l’intégralité de son corps en insistant longuement entre ses cuisses. Ninah vit avec plaisir son bâton se redresser mais se contentât de placer un bisou sur le gland dénudé.

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