Comment vous sentez-vous, après avoir perdu la valeur des choses ?

Quand votre réalité est dévorée par votre perpétuelle torture,

Et que la délivrance elle-même dérive et implose

Votre esprit toujours étroitement lié au malheur qui dure

Savez-vous qui est l’ennemi qui vous aime de cauchemars ?

Celui pour qui la vie est le jeu du mal qui vous rongera

C’est si facile pourtant de se laisser dériver dans une mare

Pour que la folie s’empare et s’empare de votre âme d’apparat

Songer aux choses avec votre grande petitesse vous plaît ?

Le plaisir s’évapore ensuite et vous voilà perdu

Vous ne possédez rien que vous-même alors soyez prêt

A vous aimer car vous êtes l’ennemi qui vous aura pendu.