Elle portait une robe noire qui volait la lumière du soleil

Nos regards se croisèrent, dans un soupir suspendu par le temps

Dès ce moment nous avons su, qu’il n’y aura aucune merveille

Tes pensées et les miennes nous réclames l’un l’autre pourtant

Jamais je ne pourrais savoir qui tu es, ni toi imaginer mon prénom

Quel funeste destin mon amour ! Mon corps se détourne

Devoir continuer à vivre sans te montrer mes émotions

Alors que tu traverses la distance qui nous éloigne,

Mais tu continues ton chemin, souriant à tes amis

Quelques regards discrets échangés, très polis

Tu as capturé mes pensées, sans pouvoir espérer

Que notre amour prenne vie pour l’éternité

Je souris à mes amis aussi, mince c’est déjà fini

Alors tu me regardes m’en aller vers l’oubli

Un dernier coup d’œil, tu repousses tes cheveux

Nos visages impassibles qui pleurent pour cet adieu.