Jisei no ku - Petits poèmes d'adieu du Coquillage
de Clelia Maria CASANOVA
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Le "Jisei no ku", c'est un poème d'adieu au monde, le dernier qu'on écrit avant la mort.
Bien entendu, sauf à être très gravement malade ou suicidaire, difficile de connaître avec certitude l'heure des derniers adieux... Mais autant être prêt, n'est-ce pas ? puisqu'il sera difficile d'être en retard à ce dernier rendez-vous !
J'ai donc décidé de répondre au défi lancé et d'écrire par avance mon Jisei, partant de l'excellent principe qu'on est jamais si bien servi que par soi-même.
Bien entendu, sauf à être très gravement malade ou suicidaire, difficile de connaître avec certitude l'heure des derniers adieux... Mais autant être prêt, n'est-ce pas ? puisqu'il sera difficile d'être en retard à ce dernier rendez-vous !
J'ai donc décidé de répondre au défi lancé et d'écrire par avance mon Jisei, partant de l'excellent principe qu'on est jamais si bien servi que par soi-même.
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En réponse au défi
Jisei no ku
Le jisei est la version Japonnaise du poème d'adieu.
Je vous propose de l'écrire sous forme de haïku.
Un tercet de 5 puis 7 puis 5 syllabes. Avec ou sans mot saison (kigo).
Attention au nombre de syllabes ! (+ ou - 1 pour les plus récalcitrants)
Voici celui du grand Issa : (traduit du japonnais évidemment)
Alors cest donc ça
ma demeure pour la vie ?
cinq pieds de neige
Pour vous inspirer :
https://haicourtoujours.wordpress.com/2009/09/17/poemes-de-mort-japonais-1/
A vous lire !
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