Le faux prédateur

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— Alors comme ça on est punis pour avoir tromper son mari ma petite salope ?

— Il m’a eu ! C’était un piège, je vous jure !!

Je m’approche d’elle, elle porte une simple robe beige déjà tâchée de boues, un peu en sang. Les pieds fixés par une chaine et ses bras en croix. Une jolie métisse, plus blanche que noire. Je la force à me regarder.

— Ton mari a appeler nos services quand il t’a vu au lit avec son meilleur ami ma putain. Tu vas être donc punis car le seul rôle de la femme c’est la parfaite soumission à son homme.

— Je ne recommencerais plus ! S’il vous plaît, libérez-moi ! J’ai compris !

— Je suis seul juge de ta peine. Et attend-toi à mourir si je décide car ton mari nous a donner une totale liberté.

— S’il vous plaît !

— C’est partie ma putain, je ne veux même pas savoir ton petit nom !

Je sors les clés pour la libérer puis je la jette au sol. Je m’en vais redonner la clé au gardien et je reviens en prenant un fouet.

— Nue !

— S’il vous plaît !!

— Tu préfères mourir tout de suite ?!

— Non…

— Alors assume les conséquences ! Nue !

Elle se relève pour retirer tout ce qu’elle possède. Je la met à genoux, de dos et frappe toute ce que j’ai. Mon frère me revient en tête et en vérité, je n’ai pas passer le cap de l’oublier. Je repose le fouet pour la retourner et continuer de la battre.

Ensuite, une fois qu’elle ne bouge presque plus, j’écarte ses cuisses, je me met nu et revient la doigter vigoureusement. Elle me fait aucun effet et la seule manière de bander c’est penser à ma femme. Ma libératrice qui espère quand passant ici, je ne recommence plus.

Mais il me faut ma dose et une fois sa chatte bien humide tout en me masturbant, je la retourne à nouveau en position de sodomie.

— Je vois que ton cul n’a jamais était ouvert ma putain. Tu vas goûter la position du mâle dominant.

— J’ai compris s’il vous plaît !!

— Je n’ai pas finis !

Je lui tire ses cheveux pour m’insérer violement. Je me vide en elle et me recommence à la frapper. Puis je la force à me suivre en la trainant au sol jusqu’à la soulever et la poser sur une table.

Elle essaye de s’échapper, je la frappe encore un peu puis je prend une lame et la taille sur son ventre, découpe légèrement un têtons avant de sectionner un doigt de la main gauche et de la planter au milieu du ventre.

— Tu as compris ?!

— Oui ….

— Bien, tu veux vivre ou mourir ?

— J’ai mal !!

Je joue avec la lame jusqu’à ouvrir plus grand la plaie. Sa main pisse le sang, tout dégouline.

— Aucun soin ici, je suis désolé, tu vas mourir.

— Laissez-moi une chance !! S’il vous plaît !! J’aime mon mari !!

— Achève là.

Je me retourne vers le patron Niros qui fume un cigare. Il n’a aucune émotion quand il la doigte.

— Elle pisse le sang et une de plus ou de moins ne changera rien. On donnera son corps en morceau à son mari s’il tien. De tout manière, elle n’a pas respecter ses engagements. Donc achève là comme tu le désires et reviens si tu veux. Tu as fait du très bon boulot.

Il s’en va en refermant la porte. Je n’ai jamais tué et cela m’angoisse plus que juste torturer. Elle me supplie même si elle commence à s’évanouir.

— Les ordres et les règles sont à respecter ma petite chérie. Fallait y réfléchir.

Pour m’aider à finir ma tâche, mon frère hante mes pensées. La colère revient et je l’étrangle un peu tout en montant la lame au-dessus du ventre. Je la retire pour l’égorger d’un coup sec aussi profond que possible et m’acharne sur elle.

Je pense que j’ai passer les vingtaines de coups et c’est en larme que je m’arrête. Je ne peux continuer à ça. Faut que je trouve une solution plus saine de quitter ma haine. Niros revient et m’éloigne du corps que je ne peux supporter à voir.

— Tu n’es pas fait pour ça, c’était aussi un test de ta femme. Je ne t’en veux pas, tu as ta paye, repose-toi, continue ta vie. Rhabille-toi, Nara va te donner l’argent. Merci, ne dit rien.

Il me tapote l’épaule et je suis heureux de rien dire. Je me rhabille et une fois l’enveloppe prise avec trois cents euro, je retourne chez moi pour une bonne douche et prévient ma femme que je vais chercher notre fille à l’école. La sortie plage avec elle, me fait énormément de bien. Le soir, ma femme m’attend et me rassure. Vince lui as surement tout dit. Je m’effondre dans ses bras en lui racontant tout.

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