Les livres nous apprennent-ils plus que les relations sociales qui y autour de nous ?

Auteur : Florian Pierrel

« Mademoiselle Laila Outwood au tableau. »

« Je ... »

« Maintenant allez ! »

J’étais une enfant timide, je comprenais plus le social que les bouquins.

Est-on plus érudit quand on lit où quand les individus apportent leurs richesses ?

Certains diront les deux, d’autres que les bouquins.

La réponse n’est pas si évidente que ça.

Si les gens lisent les livres, mais de cela, ils ont leurs propres imaginaires et cultures.

Alors ils nous apportent quelques choses socialement, la communication humaine est essentielle.

Mais les bouquins sont-ils essentiels ? Ce sont des matériels, les humains ne sont pas ces choses-là.

C’est là qu’il y a une énorme différence.

Laila a longtemps hésiter, alors elle décida de comprendre les médias du monde et l’humain lui-même.

Elle retrouva une amie d’enfance devenue journaliste nommée Ariana.

« Salut Laila. »

« Je cherche des réponses, les livres nous apprennent-ils plus que les relations sociales ? »

« écoute, on nous vends, on vit dans un monde capitaliste et matérialiste. L’humain veut toujours plus, il a la folie des grandeurs ahah ! »

« Je vois je vois, on est manipulé en masse depuis viva eternam ! »

« Laila, ta question sert à quoi ? »

« à améliorer le monde car il y a toujours des gens qui n’ont aucune valeurs où autres.

Le social doit être privilégié à mon goût car un humain reste un humain. »

« Sommes nous des choses matérielles ? Alors ? »

« Je ne crois pas ... »

Ariana regarda droit devant et vit une bagarre entre deux adolescents.

Laila intervînt :

« Arrêtez ! »

« Il a volé mon téléphone cet enfoiré ! »

« Du calme. »

« Vous l’avez laissé fuir putain ! »

« Le plus important est votre vie, le reste n’est que du matériel. »

« ça m’appartient ! »

« Tenez ce livre philosophique. »

« Qu’est-ce que je m’en fous de votre livre. »

« Vous lisez bien vos message par téléphone ? »

« Oui et je lis mais j’aime pas le papier. »

Ariana tînt l’épaule du jeune homme.

« Voyez l’avenir où l’humain est une valeur sûre. On nous a bâtit un monde matérialiste pour mieux nous dire ça vaut ça … Votre vie est sauve. » rassura Ariana.

« Vous avez quel âge ? »

« Dix-sept. »

« Vous avez beaucoup à apprendre, on apprends mieux de soi-même et des autres que de ces matériels qu’on nous vends pour nous faire rêver. On nous dit tout à un prix, est-ce vrai ? Une vie humaine a t-elle un prix ? Réfléchissez-y monsieur, Projetez-vous ... »