Je me réveil, je ne sais pas trop quelle heure il est. Nous nous sommes endormis tous les deux dans le même lit, souvent c’est Jean qui dort dans le mien mais pour une fois c’est l’inverse.

Je me lève la tête un peu à l’envers, l’impression d’avoir reçu une enclume sur le crâne mais sans la douleur. En plus j’ai une gaule monumentale heureusement mes vêtements permette que ça ne se voit pas trop.

En retournant discrètement vers ma chambre, j’entend un peu de bruit provenant la chambre de ma sœur. Je m'arrête au niveau de la porte et j'écoute à la porte. Je sais pourtant que ce n’est pas bien mais je ne peux m’en empêcher.

Je pense qu’elle est entrain de se faire du bien, se sont des gémissement proches de ceux qu’Amandine peut produire lors de nos câlins. Cette image ne calme pas mes ardeurs puisque j’imagine que c’est Amandine qui est là et non ma sœur.

Très lentement, en faisant le moins de bruit possible, je fais descendre mon pantalon sur mes chevilles et je commence a caresser mon sexe au travers de mon boxer en ayant toujours en tête ma douce Amandine.

Rapidement de plus en plus à l’étroit dans mon boxer ce dernier rejoint le pantalon bien plus rapidement. Je continue mes caresses sur toute la longueur de mon sexe puis le prend en main. Je m’astique le membre viril qui continue à durcir.

De plus en plus vite de plus en plus fort je commence à vraiment prendre mon pied me remémorant ma première fois avec ma chérie. Cette vision me plait vraiment et je ne prête pas attention aux bruits de la maison.

- Marie ouvrant la porte : Ah oui j'avais bien entendu….

- Moi cachant mon sexe tant bien que mal : Pardon !!

Après un instant d’hésitation et de gène, je remet mes vêtements en quatrième vitesse.

- Moi s'enfuyant vers ma chambre : Moi aussi j’ai bien entendu j’en suis sûr !

Je rentre dans ma chambre et je pouf de rire tout seul. Vraiment pour le coup j’ai été un boulet, me branler au milieu de couloir excité par les couinements de ma sœur vraiment j’ai pas été fin.