Il faut pardonner à la vie de n’être que ce qu’elle est, car ce qui manque d’absolu à la vie est en nous.

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Je dirai que j’ai connu la joie immense d’être passé, celle d’avoir dansé sur la Terre, celle d’avoir été en vie, d’avoir vu la lueur des étoiles, celle d’avoir goûté à la pluie, aux frissons, à quelques vertiges, d’avoir été heureux, totalement, inconsidérément, et ce, malgré des foudres mauvaises, des trahisons, des crépis d’ombre et tout ce qui un jour, nous abandonne et nous isole – oui, malgré tout cela, je dirai encore que le plus beau reste à venir.


Alors, pourquoi tant de regrets...

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