Remerciements

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Sept ans de réflexion – soit l’âge de mon fils et la moitié de celui de ma fille –, c’est le temps qu’il m’a fallu pour aller au bout de ce projet littéraire.


Une longue traversée en solitaire, ponctuée d’incontournables étapes à atteindre, et guidée par ce dénouement que j’avais en point de mire.


Un travail de longue haleine, marqué par de nombreux coups d’arrêt, non pas parce que l’inspiration s’était envolée, mais plutôt à cause de certains chapitres, certaines scènes, difficiles à transposer depuis mon imaginaire, à retranscrire fidèlement sur le papier. Ces blocages m’ont parfois longuement interrompu dans le processus d’écriture de ce roman, parce que j’écris toujours de façon linéaire, et peut-être aussi parce que j’appliquais à moi-même de manière trop littérale le fameux précepte du cinéaste Jean-Pierre Melville : « J’ai pris l’habitude de ne jamais être satisfait ; c’est une position confortable qui me permet de ne pas en changer. » Mais j’ai également appris à mes dépens que c’est aussi une position inconfortable qui peut empêcher d’avancer.


Alors oui, l’écrivain est souvent seul face à lui-même, mais dans mes moments de doutes, j’ai pu compter sur de nombreux soutiens issus de deux précieuses communautés d’entraide et de partage littéraire : Le Forum des Jeunes Ecrivains (JE pour les intimes), et Scribay. Je ne peux citer nominativement tous ceux qui m’ont suivi, lu, encouragé via ces deux sites internet, mais chacun d’eux, à son échelle, a contribué à l’aboutissement de ce projet.


Néanmoins, je tenais à remercier en particulier quelques membres de ces deux communautés pour leurs encouragements salutaires : Laurine Valenheler, auteure du roman Il se marièrent et il y eut beaucoup de sang ; Mickaël Gil, auteur du recueil Volutes féminines ; Ayaël Kazuo ; Ainhoa ; Didi Drews ; 6_LN.


Merci à Aman Senna, auteur du roman Épaves et Horizons, pour m’avoir autorisé à emprunter Aurora, son personnage de fiction, le temps d’une scène, pour conclure Je vais bien, ne t’en fais pas…, la seconde partie de Projection privée…


Merci à Romy et Marilyn, ainsi qu’à toutes ces actrices et autres personnalités publiques qui m’ont tant inspiré.


Merci à Laëtitia, mon épouse, de bien vouloir s’improviser agent littéraire ; à mes enfants : Victoria – qui m’a donné un sympathique coup de main pour les parties espagnoles des lettres de Rodrigue – et Vincent, parce que sans eux, je n’existerais pas…

Je vous aime…


Et merci à vous, chères lectrices, chers lecteurs, d’avoir fait ce voyage littéraire en ma compagnie.


RC

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