Chapitre 34
J'adore mon nouveau métier. Voilà trois jours que j'enchaîne les rendez-vous. Auteurs, auteures, organisateurs de salons. Les contrats signés en face à face, dès que c'est possible. J'ai fait des rencontres magnifiques, surprenantes. Il est toujours assez réjouissant de se retrouver devant un auteur en chair et en os. Et pour la première fois de ma vie, il n'y a pas une table de dédicace entre nous. Je dois bien avouer qu'il y a bien eu une fois où je me suis retrouvé gêné. L'auteure, une jeune femme magnifique de 20 ans, m'a fait explosé en un rien de temps. Et lui serrer la main m'a mis des idées plus que malsaines en tête. Je pense que ça s'est vu. Mais elle doit être habituée car elle ne m'en a pas tenu rigueur.
Je me suis surpris moi-même à rester très professionnel. En toutes circonstances. Je me suis même découvert fin négociateur, avec un organisateur de salon. Le fait est qu'il m'énervait avec sa mèche qu'il n'arrêtait pas de remettre sur le côté et ses airs de 'Je connais tout sur le monde de l'érotisme et du sexe au point d'en être blasé'. Un véritable connard à qui j'ai fait faire 10% de rabais sur l'emplacement. Il faut dire que c'est un salon qui se déroule dans à peine deux mois et qu'il lui restait plusieurs emplacements vides. Je n'ai donc pas hésité.
Avec Amanda, c'est le panard total. Je n'ai quasiment pas à penser à l'administratif. Elle me prépare des petits récapitulatifs pour chaque rendez-vous, elle relance les correcteurs, vérifie que les délais sont respectés. C'est un bijou. Je comprends qu'Antoine ait été dégoûté que je la lui pique. Petit à petit, nous sympathisons et nous avons même pris dès lundi la bonne habitude de se boire un verre ensemble avant de quitter les bureaux.
Et ce soir, c'est le troisième verre de la semaine que nous partageons. Histoire de marquer ce moment comme un moment où il n'y a plus de secrétaire et de directeur, mais simplement deux collègues qui boivent un coup, c'est moi qui sert les verres. Pendant ce temps, elle me fait un petit débriefing des dernières heures de la journée. Les choses se passent exactement comme prévu. À croire qu'il va se passer une catastrophe au dernier moment. Mais depuis un moment, il y a un truc qui me titille, avec Amanda. Elle était restée évasive sur sa relation lesbienne avec Cyrielle, sa copine artiste. Alors quand elle me tend la perche en me parlant d'elle et de ses envies d'Amérique:
-- Au fait, tu m'as jamais raconté comment vous vous êtes connues, toi et Cyrielle.
-- Oh, c'était... Une soirée. Un peu trop arrosée, m'avoue-t-elle en rougissant. Disons qu'à la fois, elle m'a sauvé et qu'en même temps, c'est une période de ma vie que j'aimerais oublier.
-- Une séparation?
-- Un déchirement, me dit-elle du tac au tac. J'étais mariée, j'ai un enfant. Que je ne vois quasiment plus. Je l'ai quitté après avoir connu Cyrielle. Pas vraiment pour elle, à la base. Elle m'a surtout fait comprendre d'où venait mon mal-être. Je m'étais moi-même enfermée dans ce rôle de femme mariée. Je n'étais plus que ça et une mère, sans autre raison de vivre. Et c'était pas suffisant. Cyrielle m'a ouvert les yeux. J'ai essayé de lui faire la même chose, mais tous mes essais se sont soldés par des échecs. Je suis donc partie. Quand il a appris que je n'étais pas qu'en colocation avec Cyrielle, il a pété un plomb. Il a fait venir les services sociaux. Et disons que Cyrielle n'est pas vraiment quelqu'un de très... formatée. Les mégots de joints, les plants d'herbe, une ancienne condamnation pour trafic de stupéfiants et une autre pour coups et blessures. Si on rajoute à ça l'accueil que le gars a reçu, un lendemain de soirée plus que bien arrosée... Je ne vois plus mon fils qu'un samedi après-midi tous les quinze jours, dans un lieu neutre, en présence d'une femme des services sociaux. J'espère que ça va passer, que je vais réussir à avoir gain de cause. Mais une fois embarqué là-dedans, c'est difficile.
-- Mince, je suis désolé... Je ne savais pas, je...
-- Et crois-moi, c'était mieux ainsi. Je préfère que les gens ne sachent pas tout ça sur mon lieu de travail. Mais toi, je te fais confiance.
Je rougis et attrape un coup de chaud quand elle plante ses yeux dans les miens en me disant ça. Je soutiens pourtant son regard, essayant de trouver un truc intelligent à dire. Mais ses yeux m'empêchent de penser. Je bafouille un début de remerciement:
-- Je... C'est super gentil...
-- Ça me manque, lâche-t-elle d'un coup.
Aussitôt, je me mets à trembler. Parce que j'ai beau chercher, je ne vois qu'une chose qui pourrait lui manquer au point qu'elle me le dise à moi.
-- Hein?
Le seul truc qui me vient, pour être sûr, pour qu'elle soit plus claire, et pour être certain que ce n'est pas quelque chose qu'elle va regretter d'avoir dit.
-- Baiser, ça me manque. Je veux dire... Avec un homme. Je l'ai quitté il y a 3 ans et depuis, tout ce que j'ai fait, c'est sucer. Je devrais pas te dire ça, je sais. Surtout que je suis fidèle à Cyrielle. Enfin... À part...
-- Oui, je... Je peux le comprendre, t'en fais pas. Puis ça fait toujours du bien de dire les choses.
-- Je voulais savoir, Julien. C'était vraiment sérieux, votre petit jeu, avec Amandine, l'autre soir? Je veux dire... Qu'elle m'allume, comme ça. Ou alors c'était juste pour rigoler?
-- On n'est pas vraiment du genre à se moquer des gens, Amanda, lui dis-je en me penchant vers elle avec un sourire que j'espère réconfortant. Et encore moins si c'est quelqu'un avec qui je travaille. Amandine est parfois intenable, mais c'est pour ça que je l'aime. C'est rafraichissant!
-- Je confirme, dit-elle en pouffant.
Je remarque que sa rougeur a passé, tout comme la mienne. Nous arrivons à commencer à parler plus franchement et elle me demande directement:
-- Vous êtes libertins?
-- On est... juste nous, en fait. Mais oui, on peut dire ça.
-- Et ces amis dont vous m'aviez parlé... Eux aussi?
-- Plus ou moins... Pour être franc, je suis l'amant de la femme de mon meilleur pote.
-- Oh!
Elle se remet à rougir, mais cette fois de plaisir.
-- Il est au courant? me demande-t-elle avec une espèce d'excitation dans la voix.
-- Il l'a rapidement été... Et c'est là qu'il s'est révélé être candauliste. Il nous regarde, parfois.
Je la sens fondre sur place. Au point que mon regard descend jusqu'à son entre-jambe, par réflexe. Comme pour vérifier qu'elle ne tache pas le fauteuil encore tout neuf.
-- Et donc, si... Si Cyrielle acceptait que je...
Je me laisse tomber dans le fond du fauteuil, les yeux sûrement remplis de luxure et un petit sourire en coin.
-- Tu veux que je sois franc, Amanda?
-- S'il te plaît, oui.
-- J'espère qu'elle acceptera. Mais juste une chose, Amanda.
-- Oui? me demande-t-elle d'une voix fébrile qui trahit autant son excitation que sa peur.
Cette crainte de s'embarquer sur un chemin dont on ne maîtrise pas les aléas. Cette sensation de sauter dans le vide de l'inconnu. Je vois, j'entends tout ça. Et ça m'excite. Je garde pourtant mon sérieux, car je veux que les choses soient bien claires.
-- Si jamais ça devait arriver, ça ne devra pas affecter notre boulot.
-- Je te le promets, Julien. Et de toute façon, j'imagine mal Cyrielle accepter quoi que ce soit. Et encore moins sans vous connaître. Et surtout toi.
-- Invite-la à manger un midi? Histoire que ce soit pas trop officiel. Après tout, je suis curieux de connaître la compagne de ma collègue!
Et c'est donc sur un ton plus léger que nous partons chacun de notre côté. Toutefois, ça m'a mis en appétit. J'envoie un texto à Amandine pour lui dire que les choses avancent, font un bond, même! Pourtant, je n'ai pas de réponse. Je me demande ce qu'elle fait jusqu'au moment où j'ouvre la porte de l'appartement.
Je la trouve assise dans le canapé, en train de discuter, presque collée à une autre femme que je ne connais pas. Mais dès qu'elles se retournent vers moi, je crois comprendre. La première pensée que j'ai, c'est que c'est une cousine d'Amandine, ou un truc dans le genre. Une adolescente qui va m'obliger à devoir encore attendre pour faire passer cette tension en moi. Mais un espèce de doute subsiste.
-- Coucou bébé! s'exclame-t-elle en restant assise.
Je m'approche et remarque sa main posée négligemment sur la cuisse de la jeune femme qui est devenue pivoine et n'ose même pas me dire bonjour. Amandine enchaîne avec bonne humeur:
-- Je t'avais pas dit, mais j'ai un copain. Alix, je te présente Julien. Julien, Alix...
Je la scrute un moment alors qu'elle me murmure un bonjour, clairement gênée de cette main qui ne la quitte pas alors que je suis là. Elle attrape apparemment un sacré coup de chaud et je vois ses tétons pointer en-dessous de son débardeur à peine déformé par la petite taille de ses seins. Amandine avait raison: elle a un corps d'adolescente. Fragile, peu de formes. À première vue, elle ne m'excite pas tant que ça. Si ce n'est son regard. Il fait plus âgé que son corps, malgré qu'il soit fuyant. J'ai cette petite impression qu'elle joue de sa petite poitrine pour accentuer son côté petite fille. Mais dans le but d'attirer le côté malsain de ses amants, on dirait.
-- La fille des toilettes, dis-je d'une voix pensive en continuant de la reluquer.
Alix se retourne vivement vers Amandine, visiblement choquée que je sois au courant.
-- On se raconte tout, lui précise Amandine en remontant sa main entre ses cuisses. Il sait la petite salope que tu es, Alix. Merde!
Ma blonde se met à ricaner en relevant la jupe d'Alix pour dévoiler une chatte toute lisse (ce qui confirme mon impression précédente) et déjà légèrement reluisante.
-- Ni soutif ni culotte, se moque Amandine en gardant la jupe relevée.
-- Je suis naturiste, répond une Alix suante tellement elle rougit de honte, le regard baissé. Et je n'ai... pas vraiment besoin de soutien-gorge.
-- Tu aurais dû le dire tout de suite! s'exclame Amandine alors que je prends sa bière pour la boire, restant debout devant elles. Nous aussi, on aime bien vivre nus! Allez, mets-toi à l'aise!
-- Devant... commence à s'offusquer Alix en me désignant.
Mais ma blonde est déjà en train de lui relever le débardeur, et elle se laisse faire. Elle se retrouve rapidement nue, debout devant moi, alors qu'Amandine suit le mouvement et se déshabille à son tour. Si je reste silencieux, je n'en pense pas moins. Son regard ne trompe pas. Il ne s'agit pas d'un refus. La jeune étudiante est clairement excitée mais ne sait surtout pas comment réagir. Elle se laisse donc porter par Amandine et je me rends compte que je me retrouve devant deux femmes aux tendences soumises. Je remarque ses yeux fixer un instant mon entre-jambe. J'imagine facilement la bosse qu'elle y voit quand elle se mordille la lèvre inférieure, et c'est ce moment que je choisis pour m'approcher d'elle en lui parlant:
-- Amandine avait raison, Alix. Une vraie salope dans un corps d'adolescente. Tu es habituée à faire croire que tu es une ni sainte ni touche, hein?
Je me retrouve collée à elle. Je sens l'odeur agréable de ses cheveux. Ses tétons semblent durcir encore plus. Elle a les yeux rivés sur mon torse et hoche légèrement la tête, pendant qu'Amandine passe derrière elle, me jetant un coup d'oeil des plus pervers pendant qu'Alix rajoute:
-- Je suis obligée, avec mes parents. Je suis une fille de bonne famille, je ne veux pas créer un scandale.
J'entends Amandine ricaner de plus belle et elle se plaque contre elle, lui prenant la main pour la poser sur ma bosse.
-- Je suppose qu'une petite salope comme toi en a reçu, des queues dans sa chatte, lui fait-elle sur le ton de la confidence.
-- Seulement cinq, répond Alix.
Malgré sa timidité, je sens ses doigts se resserrer doucement sur ma verge, incitée par ma blonde. Et la voix tremblante de peur et d'excitation mêlées, notre jeune étudiante rajoute:
-- Mais j'en ai sucé plus.
-- Et celle-là, t'aimerais la sucer? lui demande une Amandine devenant de plus en plus autoritaire.
-- Oh oui.
Je souris en coin et prends son menton dans mes doigts pour lui relever le visage. Aussitôt, je sens sa main rafermir sa prise sur mon sexe tendu.
-- Si tu en veux une sixième, elle est toute prête, Alix. Tu le veux?
-- Oui, répond-elle timidement.
Ma main glisse directement sur son cou, que je serre au point qu'elle s'affole légèrement. C'est le moment de tester à quel point elle aime être dominée.
-- Alors arrête de jouer les timorées avec nous, Alix. J'avais besoin de défoncer une chatte et ce sera la tienne, petite salope.
Le corps ne ment jamais. Si je lis de la crainte dans ses yeux, elle fond littéralement sous ces mots-là. Amandine le remarque aussi bien que moi et je la vois glisser une main entre les cuisses de la petite étudiante.
-- Tu la fais mouiller à fond en lui parlant comme ça, bébé.
Je souris à ma magnifique blonde. Ses seins sont dressés de désir et je sais qu'elle-même doit être en train de mouiller énormément. Je garde ma main sur le cou d'Alix et caresse la joue d'Amandine de l'autre, lui souriant. Jusqu'à attraper sa tignasse pour l'embrasser par-dessus l'épaule d'Alix qui, malgré la surprise, continue de caresser mon membre encore enfermé dans mon pantalon.
-- Tu vas t'occuper d'elle, petite chienne, pendant qu'elle va me montrer à quel point elle aime sucer des bites.
-- Oh oui, mon Maître, lâche-t-elle sur un ton presque suppliant, heureuse que je la mette à cette place.
Je me dépêche alors de me débarasser de mes fringues et remarque avec plaisir que notre petite étudiante sans vraiment de formes change de regard. Elle va même jusqu'à se lécher les babines en regardant mon pieu tendu alors que je m'asseois sur le canapé. Aussitôt, Amandine l'attrape par les cheveux et la force à s'agenouiller, puis lui approche elle-même la tête de mon entre-jambe.
Le visage juvénile d'Alix prend un air décidé. Sa douce et fine main attrape mon chibre et elle ouvre grand la bouche pour m'avaler d'un trait, mais impossible pour elle d'aller jusqu'à la garde. Elle remonte ses lèvres en bavant sur ma verge. Les mains sur sa croupe, Amandine la regarde faire avec intérêt mais elle ne voit pas comme moi les yeux pétillants qui se posent sur moi. Elle prend mon chibre des deux mains et le branle en me souriant:
-- J'ai jamais sucé une queue aussi longue...
Elle se met à serrer ma queue des deux mains et suçoter mon gland comme une forcenée, m'arrachant un râle de plaisir qui fait sourire ma blonde. Sans plus attendre, elle se penche entre les cuisses d'Alix et se met à lui dévorer la vulve, les mains écartant ses fesses et les yeux posés sur moi. Bordel, ce qu'elle m'excite. Alors dès que l'étudiante coulisse à nouveau ses lèvres sur mon pieu gorgé de sang, je plaque une main sur sa tête et appuie violemment, donnant de petits coups de reins qui la font tressauter de partout. Au bord de l'étouffement, je la relâche et sa bave coule abondament, autant que ses larmes. Plus loin, ma blonde lui claque les fesses au point de la faire se crisper:
-- On dirait qu'il y a pas que ta chatte que mon Maître veut défoncer!
Puis sans attendre, elle plonge sa langue entre ses fesses et Alix se remet à me branler d'une main en suçant mon gland qu'elle ne tarde pas à remettre au fond de sa gorge pour commencer à aller et venir en gémissant doucement.
-- Il paraît que t'as une petite chatte toute serrée, lui dis-je sans qu'elle ne s'arrête de pomper comme une enragée.
Avant même qu'elle n'ait l'idée de répondre, Amandine l'attrape par les cheveux et la relève:
-- Je te la mets en position, Maître. J'ai trop hâte de voir ça.
Pendant les petits geignements d'Alix qui se fait mettre à genoux sur le canapé, j'attrape une capote dans mon pantalon et la déroule rapidement sur ma queue devant le regard avide d'Amandine qui maintient l'étudiante dans la position.
Je les rejoins avec un sentiment de rage, mêlé à l'excitation que me procure cette croupe juvénile que je m'apprête à défoncer.
-- Vous pouvez me baiser sans capote, me dit Alix au moment où je pose mon gland contre sa vulve trempée.
-- Sûrement pas... Je sais pas où elle a traîné, petite salope.
Amandine ricane en la maintenant encore plus fermement, lui intimant de la fermer. Elle fixe ma queue qui pousse vers les profondeurs de notre étudiante avec une excitation proche de la folie. Et ça me rend dingue. Surtout que je dois forcer pour la pénétrer. Doucement, ses chairs s'ouvrent. Difficilement, même. Et lorsque mon gland a disparu entre ses lèvres, elle couine presque de douleur.
-- Vas-y, m'incite ma blonde en bavant presque devant le spectacle.
Alors j'y vais. Je lance mon bassin en avant et la jeune Alix lâche un cri aussitôt suivi du rire nerveux d'Amandine.
-- La vache! Elle est serrée! On dirait ton cul, fais-je à une Amandine sûrement pas loin de jouir sur place.
Je fais quelques allers-retours tout doucement, pour m'habituer à l'étroitesse du vagin d'Alix. Elle semble déjà sur le point de jouir. Je me demande un instant si elle est habituée aux orgasmes multiples. Parce qu'à ce rythme-là, elle n'a pas fini. Et mes impressions se confirment. Dès que j'accélère un peu, la jeune étudiante tombe la tête sur le dossier du canapé, crispée jusqu'autour de ma queue.
Je ne m'arrête pas pour autant. Au contraire, je me mets à la marteler, n'arrivant même pas à enfoncer ma queue entièrement. Je comprends mieux pourquoi elle aime jouer les jeunes adolescentes. Même sa chatte est restée comme à ses 15 ans, on dirait. Tout comme son cul quasiment plat auquel je peine à m'accrocher pour lui asséner des coups de boutoir sans vergogne. Je cogne au fond d'elle comme je n'ai jamais cogné au fond de personne. J'ai mal. Mais bordel, ce que c'est bon. Elle se met à crier et les coups de balai à l'étage ne tardent pas à se faire entendre.
Rien à foutre. Amandine ne lui tient plus que les cheveux d'une main et se branle de l'autre. Je me penche vers elle et l'embrasse à pleine bouche en continuant de frapper de mon mât au fond de son antre. Heureusement, elle mouille beaucoup. Et alors qu'elle semble partie loin de mon salon, ne faisant plus que subir mes assauts, je lui claque une fesse et lui demande:
-- Ce petit cul s'est déjà fait visité, dis-moi?
-- Juste mes doigts, couine-t-elle difficilement. Mais allez-y... J'en ai toujours rêvé.
-- Oh la chienne! s'exclame Amandine.
Cette dernière ressort ses doigts de son sexe et vient étaler sa cyprine sur la rondelle d'Alix, puis y enfoncer un doigt. Je la regarde faire avec un plaisir indéniable. Ce petit trou accueille facilement le doigt de ma blonde, qui se met à la doigter et la faire couiner. Mais je coupe court à son petit jeu, attrapant Alix par les hanches pour la faire descendre d'un cran, les genoux au sol, le buste sur l'assise du canapé. Je passe une jambe de chaque côté de ses reins et attrape ses tétons dans mes doigts, ne pouvant en prendre plus dans les mains. Je lui tire dessus sans vraiment me retenir et elle se crispe. Mais ne dit rien.
-- Écarte toi-même tes fesses, petite salope. Et toi, bébé, dirige ma queue vers sa rondelle.
Les deux s'exécutent. Alix tire comme une folle sur ses fesses, visiblement stressée mais plus que volontaire. Amandine, elle, s'empare de ma queue et la dirige vers l'anus de la jeune fille. Je pousse doucement, sentant le réflexe d'Alix de resserrer ses sphincters. Je donne des petits à-coups contre son entrée, mais il semblerait que je doive moi-même venir à bout de cette réaction instinctive. Je grogne en commençant à pousser plus fort, les dents serrées.
-- Prépare-toi, petite pute, ça va faire mal.
-- Déjà mal! s'exclame-t-elle au bord des larmes sans pour autant cesser d'écarter ses fesses.
Le visage tout rouge, elle se retient clairement de crier. Petit à petit, je sens mon gland lui ouvrir le cul, tout en m'écrasant littéralement, me faisant grogner de plus belle. À plusieurs reprises, Amandine crache sur sa rondelle et étale sa salive tout autour de mon gland. Ce qui m'aide, petit à petit, à l'enfoncer un peu plus. Jusqu'au moment où je sais que je vais pouvoir pousser plus fort.
-- Empêche-la de crier, dis-je à Amandine qui lâche aussitôt ma queue.
-- Tu vas voir ce que c'est de sentir une belle bite dans le cul, Alix, lui chuchote Amandine en plaquant sa main sur sa bouche.
J'ai la tête qui tourne déjà, je sens que dans ce cul-là, je ne vais pas durer longtemps. Alors dès que j'entends une réponse étouffée de la part d'Alix, je pousse d'un coup sec. Mon gland lui transperce l'anus, ainsi qu'une bonne partie de ma verge. Amandine doit la tenir des deux mains pour garder sa main sur sa bouche. Les yeux exorbités, les larmes se mettent à couler sur les joues de l'étudiante qui hurle dans la main de ma blonde, sa tête maintenue dans ses deux bras pour ne pas qu'elle se mette à se balancer dans tous les sens.
Moi-même, je ne sais plus où je suis. Je deviens écarlate en retenant le cri qui menace de sortir de ma gorge. Son cul est un véritable étau sur ma verge. Je me mets à haleter devant ma chienne aux anges, de me voir morfler ainsi. Et c'est peut-être ça qui me remet d'aplomb. Il ne sera pas dit que Julien n'a pas supporté une sodomie trop serrée!
Je grogne de plus belle et me mets à aller et venir, avec douceur, à tâtons. Les cris étouffés d'Alix reprennent. Je crache plusieurs fois sur son cul pour tenter de lubrifier encore et après un temps qui me paraît des heures, la jeune fille se calme, se détend. Je peux enfin aller et venir sur plus de longueur. Elle est à bout de force, mais ce qui sort de sa bouche est clairement du plaisir. Amandine deserre l'étau sur sa tête et je peux apprécier ses petits couinements.
-- Donne-moi ta chatte, petite chienne, dis-je entre deux souffles à ma blonde.
Et elle ne se fait pas prier. Debout sur le canapé, elle se retourne, une jambe de chaque côté du buste d'Alix, et tend sa croupe vers ma bouche, appuyée sur le dossier. Mes mains claquent ses fesses et je plonge littéralement en elle. Cette odeur, ce goût. Elle ondule sur ma langue, mon visage. Et je me mets à onduler avec elle. Tout en dévorant la fleur de ma belle, je me mets à baiser le cul de l'étudiante amorphe. Je me rends pourtant rapidement compte que ce n'est pas parce qu'elle ne bouge plus qu'elle ne prend pas de plaisir.
Ses râles sont remplis d'un plaisir intense, les contractions de son anus sur mon sexe sont de la violence de la jouissance. Au point que je ne tarde pas à sentir la mienne monter. Alors tout en m'accrochant aux hanches d'Amandine pour y glisser ma langue profondément pendant qu'elle se branle le clitoris comme une dingue, je me mets à pilonner le fondement d'Alix qui se remet à crier. Mais la douleur est oubliée, ou du moins endormie, enfouie sous un orgasme sans pareil.
Je me retire rapidement de son cul et claque une fesse d'Amandine. Elle se retourne pour me voir me reculer un peu, retirant la capote de mon membre prêt à exploser. Ma blonde aide Alix à se mettre à genoux devant moi, puis s'installe juste à côté d'elle, entourant le frêle corps de sa nouvelle amie d'un bras chaleureux. Alix fait de même et joue contre joue, ricanant ensemble, elles tirent la langue juste au moment où cette image m'achève. Je me vide sur leur visage, sur leurs langues en grognant comme un animal. Je n'ai jamais eu ma queue aussi serrée pendant aussi longtemps.
Je m'affale dans le fauteuil en les regardant s'embrasser, échangeant jusqu'à la dernière de mon foutre. Finalement, Amandine lui tourne le visage vers moi:
-- Je crois que tu devrais remercier le monsieur, Alix.
-- Merci Julien, dit timidement Alix. Je... J'oublierai jamais. Oh! J'ai pas vu l'heure!
Au regard interrogatif d'Amandine, elle répond, une fois relevée en train de se rhabiller:
-- J'ai un rendez-vous, je... Mon copain...
-- Qui n'en saura rien, hein? lui demande Amandine, légèrement moqueuse.
-- Oh non! Je... Tu ne lui diras rien, si tu le vois un jour? s'empresse de demander Alix en mode panique.
-- Ton secret est bien gardé, Alix...
Elle s'en va rapidement, oubliant de nettoyer le sperme qui a giclé dans ses cheveux. Je suis persuadé qu'Amandine aussi a vu, et je ne suis pas étonné qu'elle n'ait rien dit non plus. Et toute féline, elle s'approche de moi, une fois que nous sommes seuls:
-- Alors? Monsieur le déniaiseur de cul juvénile... Qu'est-ce qui avance autant, au boulot? On a l'intention de se taper sa secrétaire?
Un seul mot me vient en la voyant et l'entendant ainsi: extase. D'ailleurs, si un jour je lui donne un nom de soumise, comme ça se fait parfois, ce sera Ecstasy.
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