Acrostiche au trouble
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ADOLESCENCE
Acrostiche au trouble
Délirium très grand
Puis-je penser à lui avec du calme en moi ?
Revoir son beau visage ou enlacer ses doigts
Est pour moi le premier désir de la journée.
Ma soirée me ramène encore à mon aimé.
Il suffit qu’en esprit je le reconstitue,
Et en moi un frisson, doucement, s’insinue,
Reste de plaisir muet que rien n’atténue.
Alors, quand il me prend dans ses bras, son étreinte
Met le feu dans mon sang. Ma raison est éteinte.
Ouragan bouillonnant de délices, d’atteintes,
Un océan de lave embrase et puis déchire
Rapidement mes sens : l’amour est un délire.
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