Acrostiche à la cadette
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MATURITE
Acrostiche à la cadette
La petite
Laissez-la donc dormir ! Faites-lui une trêve !
Allez, je vous en prie, laissez-la à ses rêves !
Fendant sans énergie la torpeur de l’été,
Assommé de chaleur, chacun est hébété.
Mais, sans nous prévenir, vient la petite sœur.
Il se dégage alors un climat de fraîcheur.
L’un s’éveille d’un coup. L’autre se précipite.
Le cercle de famille, autour d’elle, s’agite.
Elle est notre passion, notre union, la petite.
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