Chapitre 8

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Hors de question de perdre tous mes talents buccaux, il n'y a qu'avec la pratique que l'on progresse. En deux trois temps mouvements, je me suis jetée sur l'attribut de mon partenaire pour entamer une fellation baveuse digne de ce nom. Je commence par le gland pour une petite mise en bouche en prenant soin de masturber la base de son sexe. Je le lèche avec aisance et une certaine dextérité lingale comme si je suçais une sucette. Qu'est-ce que j'aime veiller aux réactions des hommes avec qui je partage un moment sensuel et là, Maxime est tout tendu. Difficile d'enfiler la moitié de son sexe dans ma gorge et d'entamer de profonds va-et-vient. Pour cela je respire et cela me permet avec lenteur de gagner de précieux centimètres sans omettre sa paire de valseuses. J'aspire ses bourses et m'amuse à revenir faire des allers retours le long de sa hampe, je masse son scrotum du bout des ongles.

Il est en pleine extase, haletant, râlant d'une voix rauque. Son index me tapote l'épaule pour me prévenir qu'il risque de venir. Je ne peux pas m'arrêter si près du but, mon sourire est carnassier, j'ai faim, faim de sa bite. '' Gloups '', elle est au fond de ma gorge, mon buste s'agite pour accompagner les mouvements de ma tête, de ma bouche et de ma langue jusqu'à le sentir vibrer dans ma bouche. Mon palais est éclaboussé d'une belle quantité de sperme. Essoufflé, Maxime me remercie d'un délicat baiser.

  • J’ai très envie de te faire essayer quelque chose avant de passer aux choses sérieuses si tu es d’accord évidemment?

  • Je suis toute à toi ce soir, mais dis-moi de quoi s'agit-il au juste ?

  • D'une révolution orgasmique, s'exclame t-il. Un appareil de dernière génération, ça s'appelle un womanizer. Regarde il a une forme sympathique et c'est un donneur d'orgasme ! De belles sensations au niveau du clitoris.

  • Ecoute, je suis partante.

  • Le temps que je me reprenne.

Il m'adresse un beau sourire lorsqu'il me fait allonger sur le dos et m'ouvre doucement les jambes. Il approche l'appareil de mon clitoris et le met en route. Tout mon corps s'arc-boute, je fixe le plafond et ma bouche fait toutes sortes de grimaces. Je suis très réactive à ce jouet et encore plus quand Maxime caresse ma poitrine qui se soulève rapidement. Dans ses yeux je vois de la bienveillance et de l'attention pour ne pas que je me sente brusquée.

Montée de plaisir immédiate en moins de cinq minutes chrono. Tout mon corps se raidit, j'enfonce mes ongles dans les draps pour lutter mais impossible. Je soupire avec lenteur et je croise le regard excité de Maxime qui se remet à bander. Mon partenaire de jeu m'oblige à garder les cuisses ouvertes, je tremble, tente de me débattre avant d'enchaîner des gémissements aigus. Quel plaisir ! Mon orgasme est venu rapidement mais c'était à en faire trembler les murs.

Il déchire l'emballage du préservatif avec ses dents, je l'accompagne pour le dérouler puis le guide à l'entrée de mon vagin qu'il pénétre d'un coup de rein sec. Sur ses larges épaules, il remonte mes jambes et bouge son bassin doucement. Jamais je n'avais autant senti en homme en moi, je peux dire que ça fait beaucoup de bien.

Je me cramponne aux fesses du beau garçon que j'ai dégoté. Ses reins sont puissants et je dois admettre qu'il a beaucoup de force. J'essaye de me mettre en mouvement moi aussi mais mon sexfriend veut gérer la cadence.

  • Hum laisse toi faire... Je n'en peux plus...

Maxime ne tient pas longtemps avant de gicler dans la capote, mais j'en garderai un beau souvenir. Il se fait tard et le principe d'un copain de sexe ce n'est pas forcément de dormir ensemble alors nous décidons de nous dire au revoir et de rentrer chez nous chacun de notre côté. C'était tout simplement merveilleux, à cette allure je vais bien devenir accro ! Je ne nie pas avoir envie de retenter l'expérience avec lui ou avec un autre.

Ressourcée, j'arrive à mon petit appartement où je balance mes chaussures dans le hall d'entrée. Dans un état de fatigue important je n'enfile pas ma nuisette et me roule nue sous la couette bien chaude. Un petit sms à Méganne pour lui décrire en un mot ma soirée, les détails, ce sera pour une prochaine fois.


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