Jonathan se dégage de cette étreinte au grand désespoir de Sérena et se lève.

Où vas-tu comme ça ? l’interroge Sérena d’une voix remplie d’incompréhension.

Il se retourne, lui sourit puis se penche vers elle pour lui déposer un délicat baiser sur le bout des lèvres.

• Je vais dans la salle de bain chercher de quoi me couvrir, lui murmure t-il, ils sont dans ma trousse de toilette.
  
• Tu crois que l’on en a besoin ? rajoute t-elle d’un air malicieux.
  
• Je ne sais pas, répond t-il, mais c’est préférable pour tous les deux.
  

Le jeune homme sort de la chambre, la hampe au garde à vous, sous le regard amusé de la jeune femme qui le regarde partir.

• Dépêche toi, lui indique t-elle avec un petit rire, ou je me finis toute seule !
  
• Tu n’as pas intérêt, reprend t-il d’un air amusé et sans la regarder.
  

Il se dirige vers sa trousse, d'une main nerveuse il vient prendre le paquet de capotes et retourne vers sa belle. Dépose la boite sur la table de chevet après qu’il ait pris un sachet dans celle-ci. D'un geste lent, il glisse sous la couette pour rejoindre sa chérie. lorsqu'il déchire l’emballage pour sortir l’objet désiré, ses mains ne sont pas assurées. Serena les prend dans les siennes voyant la panique s'installer en lui, elle décide de prendre les devants.

• Laisse moi faire, lui chuchote t-elle. Un jeu d'enfant.
  

Jonathan s’allonge sur le dos et la laisse œuvrer pour son plus grand bonheur. Une fois la protection en place. Serena enjambe son homme et reprend cette douce danse de balancier sur l’attribut de celui-ci. Les yeux fermés, il apprécie ce traitement qu’elle lui fait subir. Son sexe est tendu à son maximum, il est positionné à l’entrée de son puits d’amour qui n’attend que d’être comblé. Serena devient impatiente, tout au fond d'elle elle le désire depuis un certain temps. Le rouge aux joues, elle imagine dans ses pensées la sensation que lui apportera ce pénis plein de vigueur.

Toujours assise sur lui, elle se laisse doucement descendre sur cette tige fièrement dréssée pour l’engloutir entièrement tout en balayant ses cheveux légèrement ondulés de la douche prise la veille. Une fois bien en place, Serena lâche un gémissement de bien-être. Elle reste un instant immobile pour savourer ce moment, puis commence par un petit mouvement de va et vient tout en délicatesse. Jonathan ouvre les yeux pour admirer sa petite femme « elle est vraiment magnifique » se dit-il. Son regard descend sur cette petite poitrine qui commence à bouger de haut en bas. C'est mains se dirige vers ces deux balanciers, les attrapes pour les caresses. Sa peau est si douce, c’est un vrai régal pour ses doigts. Sa bouche rentre en contact avec une deux aréoles pour la choyer et passe à l’autre qui demande d’avoir le même traitement. C’est Serena qui mène la danse, elle a un contrôle total de la situation et ne veut surtout pas le perdre. Des frissons et des décharges électriques partent de ses petites montagnes qui sont monopolisées par l’homme qu’elle chérit, se diffusant partout dans son corps.

• Mmm… encore, souffle t-elle, ne t’arrête pas, c’est trop bon.
  

Tout le corps de Serena répond à ce doux plaisir entêtant, ses courbes s'arc-boutent, ses mains viennent agripper les poignets de Jonathan, plaisir bien présent.

Sous ses encouragements et ce corps frémissant, il redouble ses caresses buccales. Sous ses coups de langue, elle accélère les mouvements sur ce pieux qui la fait monter dans les tours de l’excitation. Ses formes menues ballotent gaiement à chacun de ses mouvements de bassin qui commencent à empêcher toute la concentration de Jonathan sur cette poitrine si accueillante.

Les fourmillements que lui procure ce mouvement de montée et de descente sur son attribut est simplement divin. Il sait que si elle continue comme ça, il va vite arriver au point de non-retour. Jonathan remonte la tête pour abandonner ses deux tétons durcis, pour retrouver ses lèvres qui le dévorent avec enthousiasme. Ses deux menottes qui passent de ses seins et font route vers ses fesses pour lui faire ralentir la cadence. Il veut prendre le contrôle, la fait basculer sur le côté pour qu’ils se retrouvent en sens inverse pour pouvoir prendre les rennes. Une de ses mains passe entre les deux corps, elle dégage les obstacles pour atteindre le bourgeon bien irrigué. Il le prend entre ses doigts puis commence à le malaxer délicatement, repend les navettes dans la chaleur de ce fourreau accueillant.

Serena ouvre la bouche de plaisir. Les yeux fermés, elle savoure ce doux traitement qui lui est prodigué. Elle sent qu’elle va bien exploser, se mord les lèvres, ses deux mains agrippent le dos du bel homme et lui pantent ses griffes dû au plaisir foudroyant. Elle lâche un crie qui annonce l’arrivée d’un puissant orgasme. Jonathan ne peut résister plus longtemps et lui aussi après l'avoir entendue s'exprimer, se lâche pour exploser dans une jouissance dévastatrice. Tous les deux s’écroulent et restent un long moment sans bouger emboités l’un dans l’autre.

Jonathan reprend ses esprits, se redresse sur ses bras et se dégage de cette étreinte qu'ils viennent d'avoir. Il s'allonge à coté de son amour, la regarde tout en lui caressant la joue. Serena émerge progressivement de ce monde d’où son homme l'a transportée. Un sourire sur son visage, elle le regarde avec douceur et passion « qu'est ce qu'il m'a fait, je n'ai jamais connu ça, avoir un plaisir aussi intense et aussi grand. Oh putain, mais quel pied.... » pense t-elle.

• 
  Je t'aime, susurre t-elle en se lovant dans ses bras accueillants.
• 
  Moi aussi, je t'aime, répond il d'une voix aussi douce.

En à peine quelques secondes, ils sont repartis dans le monde des rêves avec un grand sourire aux lèvres.