Chapitre deux : débat politique
Chapitre Deux : Débat politique
Marianne rentra chez elle, sourire aux lèvres.
Elle était impatiente des résultats du test.
Elle apprit la mort de son grand-père âgé de quatre-vingt neuf ans. Elle l’apprit par un cousin qui lui avait laissé un message.
Elle se rendit chez lui, il vivait seul.
Il était dix-huit heure vingt. Elle chercha dans la maison de son grand-père des dossiers policiers car il fut jadis policier.
Il avait vécu les attentat du Bataclan le treize Novembre deux-mille quinze.
Elle trouva le dossier qui demeurait secret.
« J’ai tiré vers ces terroristes, j’avais peur. J’étais en face d’eux, de ces ignominies. Une honte pour déclarer une guerre … Ils ont tués nombreuses personnes. »
« Grand-père, je te prends ces dossiers, ma curiosité est telle. Tu me cachais ces choses là, j’en ai besoin ! Désolé ! »
Elle prit les dossiers et s’en alla.
Ce soir-là, elle se commanda pizza et regarda l’émission documentaire « Antisémitisme, est ce la fin ? » sur France deux.
« Nous pourrions parler d’antisémitisme, la violence a augmenté ces dernières années.
Je pense que la société régresse et oublient ses fautes. »
Marianne écouta attentivement. Elle fut captivés par nombreuses archives politiques Antisémite.
Les jours défilèrent, Marianne s’acheta un livre documenté sur l’antisémite.
Elle en avait déjà tout un rayon !
Elle reçu un appel de Katia.
« Oui Katia ? »
« Ils ont retrouvés cinq coupables sur dix. »
« Bonne nouvelle. »
« Merci d’être venu l’autre jour. »
« Tu sais l’antisémitisme existe encore, la violence monte dans tous les pays.
Fais gaffe à toi. »
« Je sais. »
« Katia, on t’aime, on t’apprécie. Méfie toi, les gens ont des vices … Ce n’est plus la société des années quatre vingt. »
Aux informations, on parlait pas du tout d’antisémitisme.
Ce qui choqua Marianne, on parle que de violences sociales et d’arnaques politiques.
Elle décida de passer en surprise chez BFM TV.
« Je veux débattre avec un élu sur l’antisémitisme. »
« On veut de l’audience nous ! »
« Il me semble important d’aborder le sujet. »
« Non ! »
Un haut gradé éditorialiste arriva. L’autre lui murmura.
« Elle débarque comme ça. »
« Bon, allez y ! aujourd’hui c’est l’élu Frank Kidiar, bon courage. »
« Attendez, votre nom ? »
« Marianne. »
« Allez y ! »
Les deux éditorialistes discutèrent.
« Elle va casser l’audience TV »
« Elle débarque d’oû ? »
« Apparemment, elle était enseignante philosophique. »
« Tu sais ça ? »
« Elle travaille à Paris, mais ... »
« Ta chercher son nom et prénom sur le net, juste là. »
« Bon laissons les débattre, Paulanne les écoute. Elle nous en dira plus ce soir. »
Frank ne cessa d’interrompre la belle Marianne.
« Mais madame, l’antisémitisme, on se bat tous les jours pour l’éteindre ! »
« Non, vous augmenté la violence dans notre pays, vous dissimulez les couches d’informations. »
« Nous sommes la raison de l’état, nous avons été élus. »
« Vous ne comprenez pas, vous manquez de respect, vous me coupez la parole. Vous êtes arrogant ! »
« Vous osez m’injurier ! »
« Non, je dis la vérité qui semble être. »
« Je protège l’état des individu comme vous. On parle d’antisémitisme. »
« Pas assez ! Vous devriez plus en parler car on avance pas ! Y a des crimes odieux tous les jours. »
« Vous oubliez ... »
« Oui y a deux ans et même quinze ans de ça, des tombes ont été écrites MORTS AUXJUIFS. »
« Vous faites quoi comme métier ? »
« On s’éloigne du débat. » Dit Paulanne autoritairement.
Étrangement, dans deux écoles apprenti-politologues, ils regardèrent le débat à chaud avec la tension nécessaire entre Frank et Marianne.
Ça commençait à dégénérer.
Les idées divisèrent même à l’intérieur de l’état.
Faut il parler d’antisémitisme ? Ou est-ce encore tabou ?
« C’est un débat sauce vinaigre madame »
« Vous m’insultez ! Je défends les juifs de tout pays, y a des causes justes. On parle que de violences sociales ! »
« Vous revenez au même point, nous agissons contre ces actes ignobles. Nous défendons les gens. »
« L’état les enfonce, pour renouveler le pouvoir. Vous croyez que les gens sont bêtes ? C’’est quoi vos mesures ? »
« La justice s’en occupe très bien. »
« Vous vous foutez de nous, les juifs sont menacés. Vous êtes des manipulateurs ! »
« Calmez vous ! » Dit Paulanne regard froid.
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