Chapitre Cinq : Le concours s’accélère
Chapitre Cinq : Le concours s’accélère
Le jour J arriva. Marianne fut devant le bâtiment avec sa convocation.
Ils fouillèrent les poches et sacs.
Marianne resta cool et détendue.
« Je n’ai pas peur, c’est un concours.»
Un candidat charismatique au nom d’Eric, cheveux tressés et très atypique fut entendu partout.
Des rumeurs couraient sur lui, sur sa famille.
Il était imposant et remarquable.
« La police ce n’est pas pour les mauviettes avec zéro de QI.»
Une bagarre se déclencha entre lui et trois autres hommes.
« Calmez vous, le président arrive.» Dit une femme assez discrète.
« Eric, dans mon bureau.»
« Ils m’ont frappés !»
« Suffit ! Le concours va commencer.»
dix minutes plus tard, Eric revînt avec le sourire.
Marianne s’interrogea sur cet étrange personnage.
« C’est un raté.» Dit une jeune femme tatouée.
« Bien le bonjour, je suis Elysandri un des juges, être policier ; c’est aussi suivre l’histoire, suivre la culture de nos pays. Je vous souhaite bonne chance.»
Le président du concours Antoine, avec ses lunettes rondes fines noires ajouta des précisions.
« trois fautes, vous serez éliminé. Alors rester ou partir ? Être police demande beaucoup d’efforts, alors nous avons endurcis les règles. Pas de triches autorisés.»
« Bonne chance.»
Marianne regarda le papier et les questions.
« Pas plus de trois fautes ...»
La salle était calme.
On avait une heure, une heure pour répondre à soixante et une questions, soit une minute par question.
Les juges nous observèrent.
« Je peux le faire» Dit cette voix dans ma tête.
Grâce au courage et à la détermination, nous pouvons nous dépasser et sur surprendre.
« Je ne suis pas arriver là pour être recaler.»
La tension monta d’un cran. Vingt minutes écoulés et je pense avoir répondue faux à deux questions.
Les juges demeurèrent impassibles.
« Vingt minutes !» Dit un juge.
Je ressentit la pression, ce stress qui permettait de réussir.
« Je vais réussir. Je ne suis ...»
« Arrête de penser.» Dit un homme à côté de moi.
Je me tus.
Le concours s’acheva, tout le monde interrogea tout le monde sur ces questions.
Certains eurent peurs d’être recalés. Ce qu’est compréhensible.
Eric sortit en dernier.
« Je serai votre meneur, alors taisez vous. Vous allez voir quand vous serez policiers.»
« Ne joue pas les durs à cuirs.» Dit la femme discrète.
« Madame devrait fermer sa pétasse de gueule.»
Je repartis chez moi l’air serein.
Je décortiqua les dossiers de mon grand-père.
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