La découverte
Deux semaines plus tard, Le soleil montait lentement dans le ciel apportant sa douce chaleur.
Pdv de Alice
Ce jour était un peu particulier, ma Maitresse était partie le soir d’avant pour son travail j’étais donc seule dans la demeure. J’émergeais donc avec peine dans le lit dans ma chambre, l’envie de faire quelque chose était absente. Après plusieurs minutes, je décidai enfin de sortir faire mon sport pour me réveiller un peu puis d’aller prendre une douche pour bien me reveiller.la nuit avait été très long et agité.
Lorsque je fus habillée et coiffée, je descendis me préparer un semblant de petit déjeuné, une fois cela fait, je remontai dans ma pièce pour allumer mon ordinateur et commencer à écouter de la musique en mangeant.
Une fois que mon bol et mon verre étaient finis, je me dirigeais à la cuisine faire ma vaisselle pour ensuite remonter rêvasser en continuant d’écouter de la musique.
Vers midi j’éteignis mon ordi et pris la note que la jeune fille m’avait laissée, ses consignes étaient ;
Je ne devais pas dormir dans sa chambre, interdiction d’aller dans les salles de jeux pour m’y amuser, faire mon sport et mon yoga, je devais entretenir un peu la maison et surtout être prête lorsqu’elle reviendrait. La note lue, j’allai faire une redécouverte du manoir un peu plus poussé, en respectant les interdits. La bâtisse était tellement grande que je me demandais comment ma Dominante faisait pour vivre seule à l’intérieur avant. Au sous-sol se trouvait une grande cave avec une réserve remplie de toutes sortes d’aliments, une petite salle de sport avec un tapis de cours et deux machines de renforcement musculaire et une buanderie bien équipée.
Au rez-de-chaussée, il y avait la salle à manger où on peut tout à fait accueillir un banquet d’une vingtaine de convives. Le salon était meublé avec gouts, il n’y avait pas trop d’espace inutile et vide, il y avait assez de sièges pour une réunion d’entreprise, une table en bois, des tableaux, des armoires remplies de livre ou de couverture, un immense canapé en cuir et un grand fauteuil en cuir dans un coin de la pièce près d’une grande cheminée.
Au premier étage se trouvait ma petite chambre, comportant un lit, une armoire et mon bureau.
En face de ma salle, il y avait la chambre de ma Maitresse avec son lit, ses armoires et le tapis sur lequel je dormais.
Le bureau de la jeune femme se trouvait juste à côté de sa chambre, il y avait à l’intérieur son ordinateur, un grand bureau en bois massif et une grande bibliothèque.
Il y avait de l’autre côté de la chambre de ma Maitresse une grande salle de bain avec une grande baignoire et une douche tropicale.
Il y avait aussi une chambre pour des invités, avec un grand lit et quelques meubles tels qu’un panier dans lequel on pouvait dormir, des armoires et une table avec quatre chaises autour.
Il y avait aussi une ancienne chambre peu meublée à côté de la mienne,
tout au fond du couloir, se trouve une salle que je n’aimais pas trop, la chambre de solitude. Dans la quel j’ai déjà dû passer quelques lunes. Chaque fois que je devais y dormir, les nuits sont longues et difficiles à supporter. Les seuls meubles étaient des chandeliers et un vieux matelas.
Il y avait aussi une pièce, fermer avec un cadenas, dans une tour du manoir où je n’étais encore jamais entrée.
À l’étage du dessus, se trouvait la salle de rituel avec son coussin et ses chandeliers muraux, c’est le seul endroit où, ma Maitresse remplaçait mon collier en cuir par un collier de session en acier. Je touchai alors timidement mon cou orné d’un mince bijou en cuir tressé. À ce niveau se trouvait aussi une salle avec des poutres et plusieurs miroirs où j’aimais méditer si j’en avais la permission, où je pouvais aller faire du yoga et une salle remplie de meuble pour des sessions ou des punitions, notre donjon.
Lorsque la nuit apparut lentement, j’allai me mettre sur un banc dans le jardin de la demeure, puis mon esprit commença alors à vagabonder aux premières lueurs de la lune.
Quand les étoiles remplirent le ciel, je rentrai me préparer un repas rapide et allais me coucher, une fois au lit, je commençais à compter les jours avant le retour de ma douce maitresse.
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