La clef de la solution

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Plusieurs jours plus tard

Le soleil se levait lentement dans l’horizon, les quelques marques de gèle fondaient au rayon de cette dernière.

Pdv de Alice

J’ouvrais avec lenteur mes yeux sur le tapis, je m’étirais doucement en faisant craquer mes vertèbres.

Je poussais ensuite ma couverture et me rappelais, en voyant à la ceinture à ma taille et le haut en métal, que j’avais fait une faute assez grave envers ma maitresse quelques jours avant.

Mes jours de repos avaient été un peu durs à supporter, car ma frustration était toujours présente pendant ces derniers.

Les jours suivants furent encore pires, j’enchainais les erreurs et les fautes tellement mon envie était forte, ce qui m’avais fallu la rajoute de jour en plus et le haut en métal qui enfermais ma poitrine.

Ma maitresse n’avait pas non plus aidé, car chaque soir pendant mes jours de travail, elle augmentait un peu plus ma frustration avec l’aide de ma sœur.

Je ne pouvais même pas espère me soulage un peu sous la douche, car je devais aussi garder ces accessoires sous l’eau.

Je me levais finalement et alla ranger ma couverture a sa place, je me dirigeais ensuite vers Margaux.

À peine étais-je vers elle, que ma sœur se leva et me fit signe de la suivre en direction du sous-sol, elle m’encouragea autant qu’elle pouvait pendant ma course puis nous allâmes dans la cuisine.

Une fois dans la pièce, elle ne commença par me servir une salade de fruits et un jus de fruits. Puis se lança dans la préparation du petit déjeune de notre maitresse.

Une fois mon petit déjeune fini et le plateau chargé, elle me tendit ce dernier puis partit se préparé.

Je montais donc les escaliers en faisant bien attention de ne pas faire tombe la moindre chose.

Une fois devant la porte de notre maitresse je toquais comme à mon habitude à la porte et attendit sa réponse.

La voix encore bien endormie de notre maitresse me donna la permission quelque seconde après.

J’entrais donc et allais déposer le plateau auprès de ma maitresse.

Elle me sourit puis commença à mange pendant que j’allais voir si Margaux avait besoin d’aide.

Lorsque j’arrivais devant la porte, je tombais nez à nez avec Luna.

Elle me regarda quelque seconde puis me serra contre elle pour me donne la force pour la journée puis nous allions ensemble vers la chambre de notre maitresse.

Une fois dans la salle, la jeune chatte va sur le lit pour demande un petit morceau de pain avec de la confiture, et vérifier si le petit déjeune avait plu a note maitresse.

Quant à moi je vais me mettre à genoux à côté du lit de notre dominante pour attendre ses ordres.

Après m’avoir proposé de finir son assiette et avoir donné une demi-tartine à Luna, maitresse rosalie sortie du lit et m attendit pour l’aider à mettre sa robe turquoise et un serre taille blanc.

Une fois habillée, elle sortit de son armoire les bracelets que je devais porter au niveau de mes bras, mes cuisses et mes chevilles, des menottes et les chainettes avec des petits cadenas. Elle prit ensuite une tenue de servante dans une autre armoire.

Une fois qu’elle avait tout récupéré, elle revint vers moi pour me tendre la tenue.

Lorsque j’avais mis la tenue, elle mit chaque accessoire à sa place. Une fois bien équipés, mes mouvements étaient très restreints.

Maitresse rosalie m ordonna ensuite de partir faire mes tâches. Malgré ces légers handicape, je me mis au travail pour être à la hauteur des attentes de dame Rosalie.

Vers midi à ma grande surprise j’étais dans les temps, je partis donc faire à manger essaye de faire quelque chose de bon malgré la contrainte que je porte.

Une fois les plats vides et la vaisselle faits, je repartis faire mes tâches de l’après-midi.

Quand vint l’heure du repas, je finis avec un peu de difficulté un rôti avec des pommes de terre au four pour ma maitresse et moi, des sushis pour Luna.

Après avoir fini son repas, maitresse Rosalie me dit qu’avant de venir manger elle avait vérifié mon travail et que je pouvais partir en quartier libre.

Je fus soulage, mais ma joie fut de courte durée, car elle me prévint que je devrais garde comme le jour d’avant les objets sur moi comme punition pour avoir tenté deux jours avant de me défrustrer pendant la nuit et pour avoir sauté des jours de sport.

Juste avant de monter je demandais à maitresse rosalie si je pouvais allez dans la salle au bambou pour méditer un peu après m’être changé, la jeune fille me regard quelque seconde puis dit que je pouvais y reste jusqu’à ce qu’elle me rejoigne avec Margaux tout en me donnant la clef pour les cadenas, je la remerciais avec respecte.

J’allais donc dans ma chambre mettre une simple robe noire après avoir ouvert les chainettes qui me tombait au niveau des genoux puis remis les liens au niveau de mes bras et les verrouilla grâce au petit cadenas.

Une fois à l’intérieur, je me mis en tailleur et ferma les yeux puis essaya de me concentre sur moi-même et réfléchir à ce qu’il allait arrive quand Margaux et notre maitresse allaient venir.

Deux heures plus tard.

J’entendis la porte dans mon dos coulisser et des bruits de pas, je levais alors les yeux et vis dans le reflet de la fenêtre ma maitresse dans un magnifique ensemble violet et bleu en latex, Margaux quant à elle portait une simple robe turquoise en tissus.

Lorsqu’elles furent près de moi, maitresse rosalie m’enleva les chainettes et les menottes, mais laissa les bracelets que je portais aux bras et aux cuisses, elle ordonna ensuite à Margaux d’aller chercher dans une commode un petit sac de toile.

Quand ma sœur revint avec son chargement, ma maitresse le prit, le déposa sur le sol puis l’ouvrit laissant apparaitre plusieurs rouleaux de cordes blanches.

Notre dominante en prit une première corde qu’elle plia en deux, elle m’ordonna d’enlever ma tenue puis elle retira ma ceinture et le haut en métal, je poussais alors un petit soupir de soulagement, elle me lia ensuite les poignets ensemble dans mon dos. Elle fit passer ensuite la corde d’abord au-dessus du bracelet de mes bras puis au-dessus, en faisait bien attention à ce qu’il n’y aille aucune torsion.

Une fois mon buste bien attaché, elle me fit me lever, elle relia ensuite ce dernier au bambou qui pendait.

Elle attacha ensuite mes jambes séparément et me fit bascule avec l’aide de Margaux en avant de façon à ce que mes jambes étaient plus hautes que ma tête et ma poitrine.

Elle prit ensuite un bandeau en tissus dans le sac et me priva de la vue.

Après quelque instant, une paire de mains commença à me caresses le corps.

Le fait de ne rien pouvoir voir ni bouger multiplia mon excitation.

Malgré mon envie de venir, je me retenais de gémir ou de demande la permission.

Soudain je sentis sur mon dos qu’on passait une roulette à pique, je poussais donc un petit cri de surprise puis un gémissement de plaisir et douleur.

Après quelque minutes je sentis qu’on attachait ce qui semblait un vibromasseur au niveau de mon entre jambes, juste avant de l’allumer la voix douce de ma maitresse m’ordonna de ne pas venir sans sa permission.

J’avalais donc ma salive et lui dis que je ferai mon possible pour ne pas la décevoir.

Alors que j’étais dans un monde noir, de plaisir et silencieux, j’entendis ma sœur commencer à gémir de plaisir.

À chaque cri de plaisir de ma sœur, la vitesse du vibromasseur augmentait ou réduisait de manière à augmenter mon plaisir et ma frustration qui étaient déjà à leur niveau maximum.

Je suppliais, après plusieurs minutes, maitresse Rosalie de me laisser venir, car j’étais bientôt à ma limite.

Comme seule réponse, ma maitresse augmenta la vitesse du vibromasseur, et m’ordonna de tenir encore un peu. Je serrais donc les dents pour essayer de me retenir, mais le plaisir que je ressentais et ma frustration me faisaient perdre complètement la tête.

Quelques minutes, Margaux demande à son tour si elle pouvait venir, ma maitresse lui donna la permission, ce qui augmenta encore plus ma frustration.

Après ce qui me sembla une éternité, maitresse rosalie me donna finalement la permission, avec un long et fort râle je puis enfin venir après six très longs jours de frustration.

Une fois mon intense orgasme fini, on me fit lentement descendre au niveau du sol et on me libéra des cordes et enfin des accessoires en métal

Je fermais alors les yeux et sentis des larmes couler de ces derniers, je sentis alors qu’on me relevait et me serrait très fort dans des bras, la voix douce de ma maitresse me chuchota que j’avais été très forte et courage d’avoir réussi à tenir autant de temps. Je sentis ensuite qu’une personne se mettait devant moi et me serrait aussi dans ses bras, la voix de Margaux me dit d’une petite voix douce qu’elle était très fière de moi et que j’étais un modèle pour elle. En entendant ces paroles, je commençais à pleure à chaudes larmes.

Une fois notre câlin et mes larmes finie, maitresse Rosalie me prit dans ses bras et m’amena dans la salle de bain ou m’attendait un bain chaud. La jeune fille me dit avec douceur dans l’eau, elle enleva avec l’aide de Margaux sa tenue puis elles vinrent dans l’eau avec moi.

Une heure plus tard, nous sortîmes du bain qui était devenu froid puis nous nous dirigions vers la chambre de maitresse Rosalie.

Exceptionnellement, je pouvais dormir dans le même lit que ma maitresse, Margaux quant à elle approcha son panier du lit pour être près de nous.

Après les avoir toutes les deux remerciées, je finis par m’endormir à épuiser, mais comblée.

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