Pdv de Alice

Notre hôte nous propose de monte dans son grenier puis de l’attendre, car elle devait quand même libre sa femme de sa tenue.

Nous montâmes donc vers notre destination.

Alors que nous étions dans la pièce ; maitresse Rosalie, dame Hanna et Cléo sur un grand canapé, quant à Margaux elle était à genoux sur son sac à dos devant maitresse rosalie et moi, je me rendis compte que dame Sanae ne m’avait pas dit ou était son matériel pour pratiquer.

Au moment où j’allais partir demander, Margaux me chuchota qu’elle avait pris nos cordes dans le petit sac qu’elle avait sous les genoux, elle m’avoua avec un petit sourire qu’elle pensait peut-être j’en aurai besoin pendant notre séjour.

Je l’attrapais alors par son collier, je la tirai vers moi et lui chuchota que je la remerciais, mais que je ne serai pas plus gentille pour sa punition.

D’une voix un peu provocante, elle me répondit qu’elle n’en espérait pas moins de moi.

À ces mots je ne savais pas vraiment quoi répondre.

Maitresse rosalie, qui s’était glissé dans son dos, lui chuchota à son tour que vu la tournure de la situation cela serait mieux si nous étions deux pour nous occuper d’elle, si bien sûr j’acceptais son aide

tout en disant cela elle prit délicatement les poignets de Orphéa pour les maintenir dans son dos.

Je ne répondis pas à ma maitresse, mais à mon regard elle comprit que je la remerciai d’être venue à mon aide.

Avec une petite voix malicieuse, dame Hanna prévint ma soumise qu’elle avait dans sa valise un instrumente tout à fait parfait pour punir les rebelles.

Cléo quant à lui ne savait pas trop où se mettre.

Je remerciais respectueusement dame Hanna pour sa proposition, mais que je préférais utilise pour le moment mes mains pour tous qui était impacte.

À ce moment-là, la porte dans notre dos s’ouvrit, laisse apparaitre dame Sanae et Elsa dans une simple robe bordeau en soie.

Alors que je voulais me relever pour lui laisse le passage sur le canapé, elle me fit un petit sourire, puis ordonna à sa femme de se mettre à quatre pattes pour lui servir de siège, une fois bien installée elle nous dit qu’elle était prête à regard et savourer chaque instant.

D’une voix un peu tremblante, j’ordonnais a Orphéa de retire tous ses vêtements, sauf ses sous-vêtements, puis de m’attendre sous la poutre à genoux.

Je pris une grande inspiration, et je la rejoins avec Maitresse Rosalie après avoir sorti plusieurs rouleaux de cordes du sac.

Une fois près d’elle, je ne commençais pas lui lier le buste et les bras de mes mains légèrement tremblantes, après vingt bonnes minutes, notre soumise ne pouvait plus bouge.

Je fis vérifier mon harnais et mes passages de corde à Rosalie (comme j’étais dans un jour de repose et que je remettais Margaux à l’ordre, je pouvais appelle maitresse rosalie simplement rosalie) elle me sourit et me dit que tout allait bien.

Je m’attaquais ensuite à attacher le bassin d’Orphéa et ses jambes toujours avec mes mains qui tremblaient.

Une fois que j’ai fini, je refais vérifier l’ensemble de mon œuvre à la jeune fille, qui à nouveau me donne son feu vert pour continuer.

Je pris une corde, que je double, je relis le bassin de Orphéa et la poutre.

Je la fais ensuite lentement monter grâce à l’aide de Rosalie en suspension inverser.

Une fois qu’elle est en position, je la regarde quelques minutes.

À sœur en tailleur était la tête en bas à trente centimètres du sol, les bras liés dans le dos. Il y avait des cordes qui la retenaient de tombe accroche au niveau de ses jambes, son dos et ses hanches.

Dans son regard, je vis qu’elle semblait être dans sa subspace, pourtant quelque chose me perturbait.

Après un petit moment, je compris ce qui n’allait pas : Margaux avait toujours les yeux ouverts comme si elle n’arrivait pas à se laisser aller.

Alors que je me voulais me précipite pour la libère, je sentis la main de maitresse rosalie sur mon épaule, a ce geste je compris que ma sœur ne courrait pas de risque, car le seul risque qu’elle avait c’était mon manque de confiance dans mes capacités.

Maitresse rosalie s’approcha de moi et me chuchota que tout allait bien, je faisais du très bon travaille.

À ses mots je pris une grande respiration, puis alla m’agenouiller près du visage de Margaux.

Je lui dis d’une voix très calme que pour son petit caprice j’allais lui donner vingt fessées et qu’elle devait les compter à haute voix.

Elle hocha comme elle put la tête de bas en haute.

Je commençais par donne une légère frappe sur sa fesse gauche, elle dit « un »

Je donnais la suivante un peu plus forte sur son autre fesse, elle continua « deux »

Je continuais d’alterner jusqu’à ce qu’elle pousse un petit cri de douleur

Je demandais si tout allait bien.

Margaux répondit que oui tout allait bien et que je n’avais pas à m’en faire.

Je donnais un coup et au lieu de compte un de plus elle redit le coup qu’elle n’avait pas dit avant.

À dix, je laissais Maitresse rosalie donner le reste des coups pendant que je restais à genoux devant ma sœur pour l’encourager.

Une fois qu’elle a reçu tous les coups, je lui déposais un baiser sur ses lèvres et la félicitais pour son endurance.

Nous la faisons ensuite descendre pour commencer une après-session ; moi dans son dos et maitresse rosalie qui défait petit à petit les cordes.

Une fois qu’elle ne porte plus aucune corde, dame Sanae apporte une couverture très douce que je déposer sur Margaux qui revenait lentement à la réalité couchée contre mon ventre.

Maitresse rosalie vint alors se mettre dans mon dos pour me soutenir.

La jeune fille dans mon dos me chuchota des compliments et m’encouragea à me faire plus confiance.

Une fois que ma sœur fut de retour, nos hôtes nous remercièrent pour le spectacle, puis nous proposa d’aller prendre un petit en-cas dans le salon une fois que ma sœur était habillée, nous acceptions avec joie leur proposition.

Une fois dans le salon, Elsa alla chercher dans la cuisine un plateau sur lequel se trouvait une carafe de citronnade, des verres, des petites assiettes et une tarte pommes et poires.

Quand la tarte et la citronnade furent finies, dame Hanna nous félicita encore pour notre performance.

Je rougis un peu et la remercia, que c’était une première pour moi et que j’espérais avoir été à la hauteur de ses éloges.

Notre maitresse me donna un petit coup de coude, je me tus alors.

Dame Sanae proposa qu’avant le repas du soir, nous allons faire un tour dans le jardin pour décompresser et que demain elle nous ferait visite sa maison.

Nous partîmes donc Cléo Margaux et moi à l’extérieur tandis que maitresse rosalie reste pour parle un peu avec dame Sanae et dame Hanna

Nous marchâmes quelque minute dans le jardin puis trouvions un banc sous un arbre, nous nous y installions ; moi sur le meuble avec ma sœur qui a la tête sur une de mes jambes quant à Cléo il se mit dos à nous pour regard le paysage.

Je voulais pose des questions et savoir comme se sentait Cléo, car c’était la première fois depuis son arrivée qu’il voyait une session de remise à l’ordre.

Je n’eus pas trop à attendre, Cléo se tourna vers nous, puis demanda si cela arrivait souvent ce genre de choses.

Je répondis que non, de plus normalement c’était même plus impressionnant, mais que comme il était là et que je n’étais pas vraiment à l’aise, j’avais préféré faire quelque chose de rapide.

Avec un petit rire, il me dit que deux heures ce n’était pas si rapide, mais qu’en tout cas il avait été impressionné en bien de tout ce que je savais faire.

Je rougis à nouveau, il me demanda alors si je pouvais lui apprendre un peu plus, car il comme il était chez nous, il ne pouvait pas vraiment allez à ses cours avec Alicia et Alison.

Je dis que je pensais que le mieux cela serait de demande a maitresse rosalie de lui montre, car tous que je savais faire était grâce à elle.

Margaux ouvrit alors un œil, et dit que oui cela pourrait être sympa d’avoir une personne du même niveau qu’elle pour un cours shibari.

Cléo en entendant ça rougit un peu, je lui demandais alors la raison de sa réaction.

Après quelques minutes de silence, il me dit que oui cela serait sympa comme idée, mais qu’il ne savait pas vraiment s’il oserait m’attacher pour un cours avec ma maitresse ou même être attaché par cette dernière.

D’une voix douce, ma sœur le rassura sur le fait que maitresse rosalie était gentille et qu’elle accepterait surement de lui donner des cours et que si vraiment il besoin elle était prête à lui servir de supporte pour les cordes si Maitresse rosalie et moi étions d’accord.

Avec un petit sourire je dis que je ne voyais pas de soucis et que surement que notre maitresse serait d’accord avec moi.

Avec un petit sourire, Cléo accepte la proposition de ma sœur de soumission.

Je lui demandais ensuite son ressenti et ce qu’il avait pensé de ma performance.

Il me répondit qu’il avait été très impressionné par l’énergie que nous dégagions toutes les trois pendant la séance.

Parlions ensuite de tout et de rien, et cela jusqu’à ce qu’Elsa vienne nous chercher.

Lorsque nous arrivions dans la salle à manger, je vis qu’il avait une soupe orange devant cinq chaises et dans une gamelle à côté de la place qui semble être celle de la femme de Elsa, maitresse rosalie me dit que comme nous étions chez dame Sanae, Margaux pouvait manger à la même hauteur que nous, qu’elle en avait parlé avec nos hôtes et que cela ne les dérangeait pas.

Je pris donc place à côté de Margaux qui était à côté de Maitresse rosalie et en face de Cléo qui était à côté de dame Hanna, dame Sanae était en bout de table.

Une fois nos bols finis, Elsa les débarrassa et alla chercher dans la cuisine le plat principal ; du cerf avec des nouilles sauce chanterelle, elle ensuite manger son assiette au pied de sa maitresse quand elle reçut la permission.

Une fois le dessert finit ; un gâteau chocolat et fraise, dame Sanae nous dit il y avait une grande salle de bain avec une grande baignoire ou une douche, à gauche de la chambre que nous habitions, si nous voulions nous rafraîchir avant d’aller dormir.

Dame Hanna avait déjà sa chambre attitrée.

Après s’être repartie les places dans la chambre ; Margaux et moi au pied du lit de maitresse rosalie et Cléo dans le canapé-lit.

Nous laissâmes d’abord Cléo prendre une douche, puis ce fut le tour de dame Hanna puis nous allâmes enfin toutes les trois prendre un bon bain chaud pendant lequel Maitresse Rosalie nous félicitait encore une fois Margaux et moi pour notre performance.

Une fois que nous fûmes sortis de la salle de bain. Nous allâmes enfin nous coucher.