Le calvaire
Pdv de Alice
Une fois que les deux femmes étaient un peu éloignées et que le bruit de la porte se fit entendre, Eva me fit signe de me relever, comme je ne m’exécutais pas assez vite, je reçus une autre décharge un peu plus fort.
Une fois debout, la Dame me libéra et me murmura à l’oreille qu’avait espère que mon dernier séjour ici me servirait de leçon, mais que malgré sa déception elle saurait bien s’occupe de moi et m’apprendre le vrai sens de la soumission et que aucun moment il n’y aurait pas de mots d’arrêt accepte sauf un seul « Rosalie » à utiliser si je n’étais pas loin de perdre connaissance. J’avalais avec peine ma salive et attendis la permission pour lui répondre ou parle.
Finalement je ne pus même pas me justifier, accepter ou m’excuser, la Dominante me fit signe de la suivre vers une table massive sur là quel je devais m’allonge sur le ventre.
Elle m’ordonna de ne pas bouger, puis alla décrocher d’un mur plusieurs objets qu’elle déposa sur la table, la jeune femme commença à me caresse ensuite les fesses avec une petite et fine baguette en bois.
Son premier coup fut léger, je commençais donc à compte. Au choc que je reçus je compris que cela ne servait à rien, je commençais donc à rentre dans ma subspace.
Au bout de quelque coup, Eva changea et prit un martinet avec les lanières en cuir tressé, je serais les dents quand ses coups recommencèrent à me fouetter.
Une fois mes fesses bien rougies et marquées, la femme prit un long fouet aussi en cuir tressé, je sursautais quand le premier coup me toucha ce qui me vaut une décharge qui me fit pousser un cri de douleur.
Quand finalement elle s’arrêta, elle me fit signe de descendre, je sentis que les marques me brulaient terriblement.
La Dominante me fit ensuite signe de la suivre à quatre pattes, nous allions vers une croix de Saint-André sur laquelle elle m’attacha.
Je reconnais alors la petite boite posée sur la commode à côté de moi. Quand, la sadique sortit la première aiguille, je commençais à respirer, calment, quand la point traversa ma peau au-dessus de mon téton, je poussais un long soupir comme lors de mon piercing pour adoucir la douleur.
Mon bourreau planta une autre aiguille au-dessus de mon autre téton, puis commença à rajouter un peu partout sur mon corps, au bout de trente aiguilles, elle me regarda avec un petit sourire.
Au moment où je sentais que mes larmes allaient sortir, je vis apparaitre Rosalie derrière Eva, je me retiens donc de pleurer et chercher du regard Margaux, finalement, Rosalie repartit dans la salle d ou elle venait sans un mot en laissant coule quelques larmes.
Je fermais alors mes yeux pour me retenir pour pas donne au côté sadique d’Eva le plaisir de me voir pleurer.
Je gardais les yeux fermés et la tête baissée quelque minute, j’entendis alors des bruits de cuir frappant de la peau retentir de la salle voisine.
Quand j’ouvris les yeux, Dame Eva se tenait devant moi avec un tube crème pour apaiser la douleur. Quand les aiguilles étaient enfin enlevées et que j’avais été décroché de la croix, je me laissais avec peine tomber à genoux en attendant les ordres.
La jeune femme se mit aussi à genoux puis étale une fine couche de crème, elle me fit ensuite signe de la suivre toujours à quatre pattes et nous allions vers un meuble en cuir noir avec des lanières en cuir sur les côtés. Elle m’ordonna de monter dessus et de couche à plat ventre.
Une fois installée et mes poignet et cheville attachés, je me retrouve à genoux avec le corps coller à l’instrument. Les petites piqures sur ma peau me faisaient mal, mais c’était supportable.
La jeune femme partit ensuite chercher quelque chose et le déposa sur mon dos, quand j’entendis le bruit d’une allumette, je compris ce qu’elle était allée chercher. Quand les premières coulures de cires me touchaient, je serais les dents pour ne pas crier de douleur.
Quand toutes les bougies furent éteintes, elle commença lentement à les enlever avec un couteau.
Lorsqu’elle avait fini, la jeune femme alla chercher un petit chariot sur lequel se trouvaient des petites coupes en verre et un scalpel sous vide.
La Dominante me fit une très légère entaille avec la lame et fit ensuite chauffe un bol qu’elle déposa sur ma peau, avec le vide d’air il resta colle.
Mon bourreau recommence cette opération une dizaine de fois, puis se recule pour regarder son œuvre. Je serrais les dents et sentis un liquide tiède remplir les ventouses.
Après de longues minutes de douleur, elle me libéra et m’aida à descendre du meuble. Je sentis au fond de moi que j’atteignais bientôt ma limite, mais je tenais le coup autant pour ma Maitresse que pour ma sœur.
La Dominante me laissa de longues minutes pour reprendre mon souffle et récupérer un peu, puis elle se dirigea vers une commode. Quand elle revint, je reçus une longue robe rouge qui couvait toutes les marques, des bracelets en métal relier par une courte chaine.
Puis Dame Eva m’ordonna de monter préparer quelque chose pour ma sœur, ma Dominante et elle-même. Comme encouragement elle m’envoya une décharge électrique.
Je me dépêchais de monter et regarde si je pouvais préparer quelque chose de somptueux malgré la douleur et le peu de force qui me restait.
Pdv de maitresse rosalie
J’avais à peine de temps de servir le gratin et le jambon rouler, que les trois femmes entrèrent dans la salle pour venir s’installe à la table.
Je me mis un peu en arrière puis dans la position que dame Eva m’imposait puis observais si Margaux avait des marques, mais elle portait une longue robe bleu foncé qui cachait son corps. La seule chose que je pus observer était qu’elle portait un lourd collier à anneaux.
Finalement, Eva posa à côté de sa chaise une demie assiette avec de la viande et du gratin, je m’approchais lentement me et m’agenouillais pour commencer à manger avec mes mains. Eva envoya alors une décharge, qui me fit faire un cri de douleur, et me dit ensuite que je ne méritais même pas de mange comme un être humain, mais comme la chienne que j’étais, et que je n’avais pas intérêt à laisser la moindre miette dans mon assiette. J’enfonçais donc la tête dans mon repas, laissant couler mes larmes de douleur.
Le repas fini, je débarrassais les assiettes et alla les laver.
Lorsque que j’étais entrainé de faire la vaisselle, je sentis une présence dans mon dos, quand je me retournais je tombais alors nez à nez avec Rosalie qui commença à me regarde de la tête au pied, je baissais alors la tête en signe de soumission, je vis l’ombre de sa main s’approcher de moi pour finalement se ravir et disparaitre du sol de la cuisine.
Quand vint enfin l’heure de dormir, je m’attendais à devoir dormir à la cave dans une cage comme la dernière fois, mais Eva me fit monte à l’étage et me guida jusqu’à une petite chambre sans fenêtre avec une salle de bain à côté.
Une fois, le collier électrique enlever et remplacer par un en fer et mes poignets libérer, elle m’amena dans la salle d’eau, là m’ordonna de la déshabiller et de me mettre nue, je rentrais avec elle sous l’eau, puis commença à la laver avec soin, lorsque j’avais fini elle fit de même avec moi, le savon d’infectant me fit grimacer de douleur.
Une fois sorti et elle enroula dans un linge, la jeune femme me sèche, puis m’aida alors à mettre une courte nuisette noire transparente puis me remis le collier électrique. Une fois dans le lit, elle prévient, avant de sortir, que ma punition n’était pas encore finie, mais que je devais un peu me reposer, puis parti en fermant la porte à clef.
Malgré mes châtiments et la fatigue, je n’arrivai pas à trouver le sommeil avant de longue heure. heures.
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