Une rencontre surprenante
Pdv de dame Eva du chapitre du second souffle
Le soleil se levait lentement dans l’horizon. Ses rayons traversaient les fins rideaux de ma chambre.
Lorsque mon réveille sonna à 7 h je l’éteignais puis partis prendre une douche rapide pour m’aider à émerger avant mon rendez-vous.
À peine avais-je fini d’enfiler ma tenue que la sonnerie de la porte d’entrer rendit, je regardais donc ma montre, qui indiquait 8 h, en me disant « tiens, tiens, je pense que c’est Laureline qui a dû conduire vu qu’elles sont à l’heure. »
Je déverrouillais la porte en prenant une grande respiration pour entre dans mon rôle de dominante.
- Bonjour Maya et ma chère akio. Annonçais-je d’une voix calme en ouvrant la porte. Vous êtes pile à l’heure cette fois.
- Bonjour dame Eva. Dis d’une voix un peu timide mon apprentie.
- Bonjour à vous, madame Eva. Dis à son tour l’autre jeune fille.
- J’avais cru que j’allais devoir vous punir tous les deux cette fois encore. Continuais-je en les invitant de la main à entrer.
- C’est une menace ? demanda Maya d’une voix de défis en me dévisageant.
- Certes je dois enseigner l’art de domine à ton amie. Dis-je d’une voix amusée. Mais je n’ai jamais accepté qu’on me manque de respecte, qui plus est sur mon terrain.
- J’ai tellement peur. Dis la jeune fille rebelle. Sache que je me fais plus de bleu moi-même que vous.
- Zoé s’il te plait ne rend pas la chose plus dure. Essaye de calme Laureline. En plus dame Eva Est assez gentille pour pas nous demande de venir déjà en tenue chez elle.
La concernée poussa un petit soupire puis me regarda avec un peu plus de respecte en s’excusant.
Une fois leurs vestes enlevées, je lui proposais d’aller se changer au sous-sol, car leur tenue les attendait en bas.
Le temps qu’elles se préparèrent, j’allais chercher dans ma chambre leurs marques de soumission et d’apprentissage, je partis ensuite en direction de ma cave.
Lorsque j’arrivais dans la pièce, akio avait déjà mis sa tenue et m’attendait à genoux les bras dans le dos.
Maya quant à elle portait encore ses habits civils et était appuyée contre un mur en signe de défis.
Je regardais avec un petit sourire la scène en pensant « heureusement que ma petite rose et ses soumises viennent me donner un coup de main pour apprendre à akio avec des soumises qui ne se rebelle pas »
Je posais d’abord les deux boites en bois sur un chariot à roulette, puis je m’approchais de la jeune fille rebelle.
Une fois près d’elle, je la regardais quelque minute puis lui annonçait.
- Que ce que je vais bien pouvoir faire de toi.
- Je ne sais pas trop peut-être me remettre dans le droit chemin. Répondit la jeune fille avec un petit sourire de défis.
- Tant que tu ne portes pas ton collier de travail, je ne ferais rien. Dis-je sur un ton légèrement glacial.
- Halala, vous deviez bien être la seule qui n’a jamais abandonné et qui arrive à mater. Dis la jeune fille en enlevant ses habits en gardant un fin collier en cuir puis en allant se mettre à genoux à côté de l’autre fille.
- Tu en vaux la peine. Commençais-je sur le même ton en allant chercher son collier en métal. En plus cela me met un peu de défis.
- Vous êtes vraiment têtus. Continua la jeune fille en remontant ses cheveux.
- Pas têtus. Annonçais-je en enlevant sa marque en cuir puis en fermant le collier au cou de la jeune fille. J’ai déjà refusé de travaille avec des soumis, car de mon point de vue je risquais de perdre du temps et de l’énergie pour rien.
- Je veux bien te croire. Dis la jeune fille sur un ton de défis.
- Je vais devoir punir cet affront. Annonçais-je d’une voix froide en allant chercher le deuxième collier sur le meuble. Mais d’abord je vais mettre la marque à akio.
- En seriez-vous capable, madame Eva ? Me défia la jeune rebelle.
Je ne répondis pas à sa provocation.
Une fois le collier en cuir attacher au cou de Laureline, je vais chercher une badine contre le mur. J’ordonnais ensuite à Maya de se lever puis de mettre ses mains sur sa nuque.
Avec un petit sourire, la jeune fille s’exécuta puis attendit de voir ce qui allait se passer.
Je commençais par caresse le dos de la rebelle avec mon instrument, je descendis ensuite mes caresses vers ses fesses puis donnais un premier coup sur ses dernières.
La jeune fille poussa un petit cri de surprise puis commença à compte.
Après une série de quinze coups, la jeune fille me dit sur un ton défis :
- C’est tout que vous pouvez faire ? Demanda la jeune fille les larmes aux yeux.
- Je pense que je vais devoir être un peu plus sévère dans ta punition. Dis-je en souriant d’une manière animale en donnant un coup assez fort sur ses fesses.
- Seize, merci, madame. Dit la jeune fille en laissant couler une larmes.je suis désole de mon comportement.
- Excuse accepte zoé. Dis-je en allant vers une armoire. Pour la peine tu ne resteras que quarante minutes dans le vacbed.
- Bien, madame Eva. Lâcha la jeune fille se caresse ses fesses.
Une fois que j’ai installé la toile en latex, j’ordonnais à la jeune fille de me rejoindre. Je l’installais ensuite dans sa punition puis regarda akio qui était toujours à genoux ne sachant pas vraiment ou se mettre quand son amie faisait sa brat.
Je lui demandais si elle trouvait que j’allais trop loin dans ma punition, elle ne suit pas vraiment quoi dire.je poussais alors un petit soupire puis lui ordonnais de s’approche de moi.
Laureline se leva donc puis me rejoint en gardant la tête baisser.
Une fois qu’elle était agenouillée à côté de moi et de zoé, je lui reposais la question sur un ton autoritaire en posant ma main sur la valve di masque à gaz.
Après quelque seconde d’hésitation, mon apprentie m’annonça qu’elle trouvait que la punition de son amie était méritée, mais que jamais elle n’oserait le faire d’elle-même, car elle aurait trop peur de ne pas savoir gérer et te blesse Maya. Je poussais alors un petit soupire.
Au moment où j’allais lui rappelle qu’elle était en apprentissage, la porte d’entrée sonna.
J’ordonnais donc à la jeune fille d’aller répondre à la porte et d’ensuite de revenir.
Pendant que mon apprentie était à l’étage, mon attention retourna sur la jeune fille enfermée.
Cette dernière me dévisage en signe de défis, je décidais donc de ferme la valve qui lui permettais de respire.
Quand la porte s’ouvrît, je levais la tête pour poser observer Rosalie, ses deux soumises et akio entrer dans la pièce.
Je les regardais quelque instant puis remarquais que Maya commençait à se débattre sous la toile, je ramenais donc toute mon attention vers cette dernière en ouvrant l’entrée d’air.
Quand je le fis, la jeune fille se calma puis recommença à respirer lentement.
- Akio amène un fauteuil pour mon invité. Commençais-je d’une voix glaciale en ne quittant plus Zoé des yeux. Et sort des coussins pour ses soumises.
Comme seule réponse la jeune fille hocha la tête puis s’exécuta en sortant d’une armoire deux traversins.
- Je vous attendais un peu plus tôt ma chère rose. Dis-je pendant que l’apprentie dominante était en haut.
- Je suis désolé Eva. J’ai pris un peu plus de temps que prévu pour choisir une belle tenue. S’excusa la jeune fille en se penchant en avant.
- Il y a du relâchement. Continuais-je en poussant un soupire tout en me disant « elle protège une de ses soumises qui a dû faire un caprice ». Tu mériterais presque de revenir en apprentissage avec akio et Maya.
À peine avais-je fini que Laureline arriva avec son chargement, qu’elle installa entre les deux coussins.
Mon ancienne élève et ses soumises prirent donc place.
Quant à akio, elle revint s’agenouiller près de moi puis commença à observer ma manière de faire quand je coupe l arrivé d’oxygène et quand je la remets.
Au bout d’une heure je décidais que Maya avait été assez punit, je commençais par lui enlever son masque puis ouvrit la toile en latex et l’aidais enfin à sortir.
Maya malgré son châtiment me dévisagea en signe de défis, je poussais un alors un soupire et nous fîmes une bataille de regard puis l’attrapais par la boucle de son collier et la tira vers moi de manière à l’étrangler avec ce dernier.
La voyante suffoque un peu je souris.
- je… je suis désolé madame Eva. Articula avec peine Zoé. S’il vous plaît veuillez m’excuse pour mon comportement.
Je la lâchais alors la laissant tomber à genoux au sol puis elle commença à respirer lentement.
- ma chère akio. Annonçais-je en me tournant vers l’intéressée. Tu es venue ici pour apprendre donc aimerais-tu punir ta camarade pour son comportement ou aurais-tu une idée de punition pour elle ?
- je ne sais pas trop. Annonça Laureline sur un ton hésitant. Peut-être que trente coups et devoir mangé agenouillé sur du riz dur devraient suffire.
- je trouve que c’est une très bonne idée. Dit d’une voix très calme. Très bon jugement.
- je vous remercie madame. Dis la jeune fille en poussant un soupir de soulagement.
- je propose donc que cela soit toi qui les donnes. Annonçais d’une voix solennelle.
- bi… bien madame. Articula akio après s’être étouffé de surprise.
Après avoir pris une grande respiration pour se donner du courage, Laureline ordonna d’une voix peu assurée à son amie de se lève et de se mettre vers La Croix de saint André.
Sans surprise, Maya ne bougea pas à son ordre, mais le fit quand je lui ordonnais de le faire.
Une fois qu’elle avait enfermé les poignets de zoé, akio alla prendre un martinet assez souple pour donner les coups.
Je me raclais alors la gorge pour lui signifier qu’elle devait prendre quelque chose de plus impactant. Son choix se porta donc sur un fouet pour des soumis expérimenté.
Quand mon apprentie donna son premier coup de façon hésitante, la jeune rebelle sursauta, mais ne compta pas.
Avant que j’aille eu à le dire, akio donna un nouveau coup plus sûr et plus fort sur la fesse droite de son amie, zoé poussa alors un petit cri puis commença à compter.
Une fois tous les coups donnés avec cinq en plus pour une provocation de la part de la fille rebelle.
- je vous remercie pour cette punition et de me rappelle ma place. Articulée, cette dernière à bout de souffle.
- je te félicite pour ta résistance Maya. Dit d’une voix douce akio en pliant son fouet.et de ton courage.
La jeune fille alla raccrocher le fouet au mur puis retourna vers son amie pour la libérée.
- je pense qu’une petite pause serait de rigueur. Dis-je en m’approche des deux filles avec un tube de crème apaisante. Laureline après avoir mis cette crème sur les zones rouges de zoé bien sûr.
- Attends, mais oui c’est toi. Cria soudain Alice regrettant d’avoir brisé le silence en parlant.
- tout se passe bien ? demandais-je d’une voix glaciale en me tournant vers elle puis en la dévisageant.
- Ou… oui tout va bien, madame Eva. Articula, la soumise de rosalie en se penchant en avant pour s’excuser. Je suis désolé.
Je m’approchais d’elle puis lui chuchote que :
- si cela tenait qu’à moi je t’aurais puni pour ça. Mais cela ne semble pas avoir dérangé, je ne vais pas t’en tenir rigueur.
- je meure e faim et si nous allions prendre ce déjeune. Proposa Rosalie en venant au secours de sa soumise. Remonte le fauteuil Libra, nous n’allons pas oblige Akio à faire ton travail.
Nous remontâmes donc toutes en haut, je remarquais alors que Alice avait oublié de récupère le siège. « J’espère que cette fois ma petite rose va réagir comme son rôle le veut ».
En arrivant au Rez-de-chaussée je fis remarque que Libra n’avait pas accompli la tâche qu’on lui avait demandée et que par conséquent Rosalie n’avait pas d’endroit pour se mettre.
Au lieu que cela soit rosalie qui me réagit correctement, cela fut Alice.
- Maitresse rosalie je suis vraiment désolé. S’excusa la soumise en s’agenouillant devant sa dominante.
- tu aurais une idée de quelle punition tu mériterais ? demanda la jeune fille avec un petit sourire malicieux après avoir observé sa soumise.
- vingt coups de cravache ? Proposa timidement Libra après quelque seconde de réflexions.
- hum c’est une bonne idée, mais je me dis que peut-être. Annonça sa dominante avec un plus grand sourire. Tu devras plutôt être enfermé dans la toile en latex le temps du déjeuner.
- vous n’êtes là personne la mieux place pour choisir mon châtiment. Répondit sa soumise en rougissant.
Pendant tout leur échange, je ne compris pas vraiment le comportement de mon ancienne élève, mais quand elles parlèrent du vacbed, je compris ou Rosalie voulait en venir.
Tout en les observant, je pensais « Rosalie est un peu trop gentille avec Libra, elle veut lui permettre d’expérimenter la suffocation, et comme elle ne s’y connait pas assez elle préfère que cela soit moi qui le fasse ».
Je poussais un petit soupire d’exaspération, puis ordonnais à Laureline de prépare la punition de zoé puis de servir le repas froid dans le frigo. Je descendis ensuite avec Margaux et Libra dans ma cave.
Une fois que sa sœur fut remontée, je nettoyais et désinfectais rapidement la toile en latex, en conseillant a Libra de retire sa tenue, car elle risquait de mourir de chaud dans le vacbed.
Une fois qu’elle fut nue, elle entra avec un peu d’appréhension dans la toile en latex, je fermais ensuite lentement le vacbed en mettant une petite télécommande pour envoyer un signal sur mon téléphone.
- Bon, ma petite Libra. Commençais-je de ma voix de dominante tout en posant le masque sur son visage. Le système sur la bonbonne est le suivant, toutes les quatre minutes l’air va se couper, il reviendra au bout de cinq minutes.
La jeune fille masquée hocha la tête de bas en haut puis commença à respirer calmement.
- J’enverrai quelqu’un dans quarante minutes pour te surveille et vérifier que tout se passe bien. Dis-je d’une voix soudaine, douce. Si jamais il y a le moindre problème, appuie sur le bouton et je viendrais.
Je montais ensuite vers ma salle à mange pour rejoindre mes autres invitées.
Lorsque je fus dans la pièce, je vis que Zoé avait respecté sa punition et mangeais donc agenouiller sur du riz.
Je pris place devant mon assiette tout en réfléchissant qui j’allais envoyer surveiller le bon déroulement de la punition de Libra.
Lorsque je remarquais que Laureline et Rosalie avaient fini de manger, j’observais qu’elles n’avaient pas touché leur assiette comme s’il y avait quelque chose qui les travaillait.
- Tout se passe bien ma chère Akio ? demandais-je en prenant une nouvelle bouchée. Tu n’as presque pas touché ton assiette.
- Tout va bien dame Eva. Dis la jeune fille un peu gênée.
- Tu as pu faire un peu connaissance avec Rosalie ? dit en finissant mon assiette.
- Non pas vraiment, j’étais plutôt concentré sur le fait que la punition de Maya se passe bien. Avoua-t-elle un peu gêner.
- Je vois… commençais-je sur un ton très lent. Va te changer ta tenue pour cette après-midi est accrochée à mon armoire. Tu descendras ensuite voir la soumise de Rosalie
- Bien Dame Eva. Dis la jeune fille qui semblait soulagée de quitter la table.
Une fois que Laureline fut partie, je me tournais en direction de rosalie qui semblait elle aussi ailleurs.
« Qu’est-ce qui s’est encore passé pendant que j’étais en bas. » Pensais-je alors que la nouvelle soumise de mon amie rangeait les assiettes et allait les mettre dans l’évier.
- Tout se passe bien ma petite rose ? demandais-je après quelques minutes de silence.
- Heu, oui. Lâche sur une voix très hésitante, mon amie.
- Tu n’as rien à me dire ? continuais-je en m’enfonçant sur la chaise.
- … elle ne sut pas vraiment quoi dire.
- Rosalie, je te connais depuis assez longtemps pour savoir quand tu as un souci.
- Voilà j’ai l’impression que Laureline m’évite… m avoua mon amie à demi voix
- hum. Je vois, tu pourras lui demande directement non ? dis-je d’une voix douce.
- J’ai essayé, mais elle a peur de moi. Dis Rosalie d’une voix un peu tremblante.
- Elle a juste peur par ce que vous avez été l’élève de dame Eva. Dis tout à coup Zoé. Et c’est dans son caractère autant de tous les jours que en tant que soumise.
- Commença ? questionna Rosalie en se tournant vers la jeune fille agenouillée.
- Vous êtes une dominante. Continua l’autre jeune fille.et même si elle est en transition pour en devenir une aussi elle reste pour le moment une soumise très passive.
- Je vois, je vais lui en touche deux mots. Dis-je après les avoir écoutés. Tu as autre chose qui te travaille ?
- Je voulais savoir. Commença mon ancienne élève. Sans être méchante pourquoi est-ce que tu t’occuper de Maya alors que ce n’est pas ta soumise ?
- Parce que c’est la seule personne avec qui je peux vivre ma vision du bdsm. Répondit Zoé à ma place d’une voix un peu gênée.
- Je ne comprends pas vraiment, tu m’avais dit que tu ne prendrais jamais une soumise à plein temps pour le moment. Dis mon amie déboussolée.
- Maya m’a demandé il y a quelque temps un service après que sa dernière dominante avait arrêté leur relation. Annonçais-je d’une voix calme.
- Je comprendre pas vraiment. Annonça Rosalie de plus en plus perdue.
- J’aime beaucoup faire ma rebelle, mais si j’ai envie d’être une bonne soumise avec mon amie. Avoua zoé en rougissant.je dois apprendre à savoir avec qui je peux le faire et avoir un endroit où je peux être une brat.
Après l’aveu de la jeune fille, un silence s’installa.
Ce fut Margaux qui le brisa en me demande avec respecte si elle pouvait mettre dans une assiette les restes pour sa sœur qui devait mourir de faim en bas, je lui demandais alors d’une voix douce et amusée comme elle comptait nourrir Libra, la jeune fille dit d’une voix peut assurer qu’elle se portait volontaire pour lui donner à manger.
Je fis un léger sourire tout en pensant « je crois bien que ma petite rosalie a trouvé deux soumises qui lui corresponde bien, l’une expérimenté, mais peu maladroite et une qui essaye toujours de faire de son mieux malgré son peu d’expériences. »
Je donnais donc ma permission et dis à mon ancienne élève et sa soumise de déjà descendre, car je devais m’occuper de Maya le temps que mes deux élèves parlèrent.
- Tu crois que cela va bien se passer ? demanda zoé la tête encore baissée, mais sur un ton de défis.
- Oui cela va bien se passer. Dit en me levant puis à m approchant de la jeune fille. Rosalie et Laureline sont finalement assez identiques pendant leur formation.
- Peut-être que tu as raison. Continua la jeune fille sur le même ton.
- Tu sais ma petite Maya. Commençais-je en me mettant dans son dos. Tu portes ma marque encore et la pause est finie.
- Et donc ? me défia la jeune fille en relevant la tête.
- Je vais devoir te punir. Dis-je en attrapant son collier.
- C’est une promesse ou une menace ? demande la jeune fille amusée.
- Je pense que te priver de ta vue et de mouvements devrait convenir. Dis-je sur un ton froid. Et cela tant que serait pas de retour avec mes invitées.
- Je vous préfère comme ça, dame Eva. Dis la jeune fille, le sourire aux lèvres. J’avais l’impression que vous ne vous occupez pas de moi.
- Ho ça pour m’occupe de toi. Dis-je en la forçant à se lever. Je vais bien m’occuper de toi.
- J’ai peur. Blagua, la jeune fille en se levant.
Une fois debout, je la tirais vers ma chambre.
Une fois arrivé, je lui ordonnais de ne pas bouger et de mettre ses mains dans son dos. Elle fit mine de ne pas vouloir le faire, mais quand je lui donnais une claque sur ses fesses, elle poussa un petit cri puis se mis en position. J’allais donc chercher dans ma table de nuit un rouleau de cordes et un foulard.
Une fois qu’elle ne put plus bouger les bras et les mains et voir, je la fis s’agenouiller et lui mis sans sa bouche une clochette pour si elle trouvait le temps trop loin pour pouvoir m’appelle.
Elle la fit sonner une fois en signe de provocation, ce qui eut pour effectue qu’elle reçut de ma part six coups de cravache sur les cuisses.
Malgré la douleur elle ne lâcha pas la clochette et articula une excuse de son comportement.
Le reste de la journée se passa plutôt bien, Libra fis quelque erreur, mais rien de vraiment grave, ce qui permit à Akio de voir comment devait se comporte une soumise avec elle.
Zoé quant à elle fit quelque provocation, ce qui a pour effet qu’autant moi que son amie la punîmes.
Margaux resta à sa place et exécuta les tâches en habits civils, car elle ne se sentait plus à l’aise.
Rosalie aida et conseilla autant qu’elle put Akio qui se détendit petit à petit et prenais confiance dans son rôle de dominante.
Vers la fin de la journée, Zoé et Laureline rentrèrent chez elles, car elles avaient leur travail respectif le lendemain.
Je passais donc la soirée et la nuit avec rosalie et ses soumises pendant la quel je me laissais être un peu plus étendue, mais je gardais quand même mes distances, car je préférais que Alice et Margaux gardent en tête l’image de moi en tant que dominante très stricte.
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