Chapitre quatre
Il fit la connaissance d’un chat sauvage, qui se montra très affectueux avec lui et décida d’aller habiter chez lui. Et un jour, alors que Godric se promenait, il croisa un jeune loup. Il n’eut pas peur, et cela, le loup dû le sentir car il ne se montra pas agressif. Des oiseaux firent leur nid sur le toit de la maison et Godric les entendait souvent pépier. Il croisa le loup plusieurs fois, et celui-ci finit par se rapprocher de lui et, un jour, il le renifla et lui lécha la main. Dès lors, il fit de Godric son compagnon de jeux. Le loup passait le voir environ une fois par jour et ils jouaient à la bagarre. Godric s’était très bien fait à sa nouvelle vie près des animaux, auprès desquels il trouvait la vie plus simple qu’auprès des humains.
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