Comme chaque soirée, je me trouvais dans le salon de notre grand manoir, accompagnée de mes autres sœurs, chacune vaquant à son occupation pour tuer le temps. De mon côté, j’étais en pleine réflexion, je suis Lusty, clone de la luxure de Lavril, mais pourtant je n’ai jamais goûté une seule fois au plaisir charnelle avec Joy. J’ai beau chauffer différentes filles que je juge mignonne mais cela ne va pas plus loin… Je devrais tenter ce soir même, après tout l’originale était déjà passé à l’acte, alors pourquoi pas moi ?

Après quelques minutes, l’humaine à la chevelure blonde arriva enfin parmi nous, je fus la première à l’accueillir et à la faire dévier de sa trajectoire à destination de ma chambre. Une fois assise sur le lit, elle se mit à prendre la parole.

« Il y a un souci Lusty ? Je sais que je dois passer du temps avec toi mais c’est si soudain.

• Kufufu, j’en suis désolée ma belle, mais j’aimerais découvrir quelque chose que Dame Lavril a découvert avant moi. Enfin… Si tu m’en donne l’autorisation. Je n’aimerais pas te forcer la main, sauf dans un scénario.
• Aaa !! C’est vrai que tu es la perverse des clones…
• C'est comme ça que le monde me voit...
• Ah mais c’est juste un détail, je n’ai pas dis que je ne t’aimais pas… Mais si tu veux découvrir quelque chose je veux bien être ton cobaye.
• On dirait que je te propose un délire sadomasochiste… Mais pas maintenant. Je veux juste goûter au plaisir du sexe avec vous.
• Je vois, je m’offre à toi donc. Oublie pour l’instant que je suis ton maître et fais toi plaisir ? »

Il ne m’en fallait pas plus pour me mettre à l’action, je poussai donc gentiment la magnifique blonde aux yeux bleus de façon qu’elle atterrit sur son dos, puis je me baissai vers cette dernière pour coller mes lèvres contre les siennes. Pendant cet échange, nos langues semblaient effectuer une danse, notre salive se mélangeait mais étrangement cela ne me gênait pas tant que ça. Tout se passa bien à ma grande surprise, comme si je l’avais déjà fait, l’une de mes mains se posa sur l’un de ses seins que je pressai avec envie, profitant de ses gémissements étouffés, cependant pour que cela plus agréable à entendre, je stoppai notre baiser.

Maintenant que j’étais à califourchon sur elle, je déboutonnai lentement sa chemise blanche pour libérer sa poitrine, sans vouloir me vanter j’avais bien plus qu’elle au balcon. Mes deux mains glissaient derrière son dos pour détacher son tissu qui me séparait de mes nouveaux amuse-gueules. Rapprochant lentement ma bouche au téton gauche pour le mordiller, je profitais de la douce voix de ma partenaire qui prenait du plaisir avec le début de ma prestation. Cette forme ronde semblait si moelleuse que je me mis à mordre à pleines dents, jouant avec le solitaire d’une main, Joy avait maintenant plus de mal à retenir ses cris.

Je voulais continuer à découvrir davantage ce cadeau fantastique, je continuai à longer son corps avec ma langue jusqu’à la limite de sa jupe bleue. Tout en la retirant, je voulais vérifier l’état de ma partenaire qui semblait haleter.

« Tout va bien de ton côté ?

• Aaah…oui ne t’inquiètes pas, je t’ai dit de ne pas te soucier de moi…
• Kufufu, je sais mais tu es importante pour moi, mais promis, un jour je serais stricte avec toi… petite dépravée. »

Une fois débarrassée des entraves de son intimité, je pouvais voir un petit bouton rôsé entre ses jambes, j’étais indécise pour la suite, ce qui se voyait par mes mains qui parcouraient ses cuisses du haut vers le bas. Il fallait que je me reprenne, je devais faire honneur à mon émotion, je ferais quoi si Scary y passait avant moi ? Prise une fois de plus par l’avidité, je glissa deux doigts dans cette fente humide qui me sembla proche des lèvres de l’humaine, pas désagréable comme sensation, la fille semblait plus sensible dans cette partie-là en vue de ses tremblements et de ses rougeurs. Pour ma part, je m’amusais à faire des va et vients avant de retirer mon index et mon majeur pour laisser place à ma langue. La saveur n’était ni bonne ni mauvaise, simplement moyenne, peut-être dû à ce liquide corporel ?

Si je me fis à mes études, maintenant je dois aussi me mettre à égalité, je me dévêtis donc complètement face à la blondinette pour laisser visible un organe génital différent du sien, si j’en crois ce que j’ai vu, c’est celui-ci qui s’adapte au sexe féminin. Je le pris en main pour le diriger vers le vagin de la fille, pour enfin entrer dans la zone sensible. Je ne comprends pas comment on peut entrer dans un si petit trou si étroit, mais le plaisir était là, j’avais lâché mon premier soupir. Je me servais de ses épaules comme appuis pour mes mouvements de bassins, au début j’y allais doucement, mais l’envie me prit d’accélérer, allant presque à la heurté plusieurs fois. Nos gémissements étaient synchronisés, Joy se tenait à moi tout en me fixant de son regard, puis à cause de tous ces spasmes, quelque chose fut éjecté de mon corps pour entrer dans le sien, après cela, je m’allongea sur son corps dont la température avait augmenté.

« Ce n’est pas mauvais, je comprends mieux pourquoi les humains aiment cela, je devrais essayer d’autres choses… Mais pour le moment, je vais me contenter de ça.

• Fiou… Je suis bien contente d’avoir pu t’aider, j’admets que c’était bien…
• La prochaine fois, je ferais beaucoup mieux, je ne vais pas me contenter d’un petit entraînement, j’irais plus loin et je ne parle pas de la pénétration, Kufufu »

Je voulais bien continuer, mais vu son état après être rentré de mission, pas question de la fatiguer davantage, mieux attendre qu’elle soit en pleine forme pour la vider entièrement.