Chapitre Six : Mon nom est partout

Le psychiatre me prit en rendez-vous.

« Vous êtes devenue la coqueluche des médias ! Vous êtes encore fragile et instable !

Alors pas de folies … pas de je voulais …

Le monde n’a pas changé depuis votre coma, il y a toujours des imbéciles, certes votre courage a fait le tour du monde, je ... »

« Mais … Je pensais faire bien ... »

« On a besoin de protéger des gens comme vous, ce charisme, cette audace ... »

« J’ai vingt-trois ... »

« Vous êtes jeune, cet accident vous a changé c’est sûr. Alors on note ces cachets pour pas faiblir, votre coma vous a ... »

« Je sais ... »

« Sortez ! »

Simus m’attendit dehors.

« Je voulais vous dire ... »

« Je vous déteste ! c’est ma vie, pas la vôtre enfoirés ! »

« Calmez-vous, on doit vous protéger. »

« Protéger que ça en bouche connard ! »

« Calmez vous ! »

Il me rattrapa près d’un passage piéton ou les voitures traversèrent.

« Merci Simus. »

« Vous aurez pu mourir là ! Vous comprenez ? »

Les gens m’observèrent.

« C’est elle la femme qui ... »

« Taisez-vous ! Je hais ce monde, depuis le début, on veut détruire ma vie ! »

Simus me maintenu et respira un bon coup.

« Ludivina ! Vous êtes insupportable là ! »

« Mon nom est partout, je vous emmerde car personne ne doit diriger ma vie. »

« Qui vous a aidé après le coma ? Qui vous a sauvé au passage piéton ? »

« Mais merde ! Lâchez-moi ! »

« Non, car des personnes tiennent à vous. »

Puis je me calma, on rentra chez Simus dans un bureau de Paris.

La femme de Simus était là, Elorie.

« Salut Simus, Ludivina ... »

« Elle est un peu énervée là … »

« Reposez-vous Ludivina. » Conseilla Elorie.

« Je suis privé de liberté pour soi disant me protéger ! »

Elorie alluma la télévision.

« Ludivina, cette femme dont le monde admire, certains veulent la rencontrer. Son nom est partout.

Son histoire fascine le monde et les médias.

Pourquoi cet acharnement médiatique ? Sa personnalité marque l’honneur humain et l’humanité ... »

« éteins ça Elorie. » Demanda Simus.

« Désolé ... »

« Je suis fatigué, cette femme a un énorme potentiel, elle a réussi à survivre et sortir de ce coma. Elle a encore des problèmes. »

« Je te comprends Simus ... » Dit sa femme.