ODE à L’HERMINE
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L’aube, les couleurs se réveillent.
Les chants des oiseaux s’élèvent,
La brume fuit devant les rayons de soleil,
Et le parfum de rosé m’enivre.
Là, dans toute sa grâce et sa délicatesse,
Princesse à robe blanche secoue sa frimousse.
Nettoie son pelage délicat avec tendresse
Et repart en se dandinant sur les tapis de mousse.
O, petite sœur de liberté,
Avec ta robe blanche immaculée,
Montre-moi, encore, ta danse sacrée
Ta paix et ta ruse tant recherchées.
Secoue ton petit pinceau noir
Afin que je m’imprègne de ton savoir.
O, esprit aux yeux de velours,
Va en paix sur ton territoire de toujours.
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