Un moment de consolation délicieux !
Tu me serrerais contre ton torse bien musclé, ma joue serait posée contre tes pectoraux, et tu essuierais maladroitement de tes doigts une larme qui coulait sur ma joue. Tu m'aurais pris le menton pour relever ma tête et me faire ton sourire le plus charmeur. Je me serais mise sur la pointe des pieds, nos bouches ne seraient qu'à quelques centimètres l'une de l'autre pendant que ta main gauche m'attraperait les hanches.
Tu t'approcherais et tu m'embrasserais langoureusement, aspirerais ma peine et installerais en moi une sensation de bien-être et de plaisir.Ce court instant m'aurait paru durer une éternité. Nous aurions repris notre souffle entre chaque baiser. Ce serait une réelle histoire d'amour ! Tu me plaquerais contre la porte de la chambre pour reprendre où nous nous serions arrêtés. Je gémirais silencieusement tandis que je te déshabillerais , j'enlèverais ton t-shirt parfumé, et tu m'aurais enlevé tout ce qui aurait séparé nos corps nus.
Tu me déposerais délicatement contre le lit, et t'abaisserais à mon niveau tandis que je sentirais de mes mains une bosse se former dans ton boxer. Soudain, je sentirais entre mes jambes quelque chose qui n'aurait pas été ton pénis. Tu aurais mis en moi un doigt, puis deux. Tu sentirais mon vagin chaud et humide, alors tu en profiterais pour faire monter en moi le désir et l'envie.Ta tête entre mes cuisses et ta langue glisserait en moi, frottant les lèvres de mon abricot tu me lécherais et je fonderais longuement dans ta bouche en laissant échapper un lourd gémissement. Je reprendrais le contrôle de mon corps en me mettant entre tes cuisses, de mes mains je prendrais ton bijou et ferait de long vas et viens, de ton gland à la racine de ton membre, je te regarderais te tortiller de plaisir et étouffer tes gémissements.
Après quelques instants , je prendrais ton membre en pleine bouche ce qui provoquerait en toi une agréable surprise. Ton entrejambe dure et chaude trouverait sa place contre ma langue. Nous serions tous les deux à bout de souffle et nos envies à leur paroxysme.D'une main, je libérerais ton érection et t'enlacerais de mes cuisses. Ainsi, tu me pénétrerais lentement, en silence. Les seuls bruits dans la chambre auraient été nos souffles entrecoupés et le doux bruit de ton corps dans le mien.J'écarterais encore plus mes jambes pour que tu puisses en moi t'enfoncer lourdement . Tu ferais des vas et viens de plus en plus rapides et de plus en plus profonds. De tes mains tu me malaxerais la poitrine, et je crierais ton nom. Nous jouirons ensemble, à l'unisson dans un grognement presque animal et nous nous recoucherions l'un contre l'autre pour reprendre notre souffle.
Annotations