Elle s'appelle Candy, un avion de chasse, qui habitait dans l'appartement d'à côté. Son 1m73 la rendait imposante malgré son air innocent, ses longs cheveux noirs foncés lui donnait une touche gothique et plein de mystères, ses yeux verts brillaient d'une lueur pleine de malices et ses fins traits de visage m'attiraient encore plus que tout le reste.

Elle travaillait dans une boutique de prêt à porter sur les Champs Elysées d'après le badge qu'elle portait lorsqu'elle rentrait le soir. C'est à ce moment là précis que je sortais de mon appartement pour que nos chamailleries quotidiennes ne prennent pas fin. 

Il est tard, vers 23h, je sors dans mon balcon pour fumer une bonne cigarette  quand  tout à coup elle se mets à me crier dessus de son balcon,  quelques mètres à peine du mien. Elle hausse la voix et fait de grands gestes tandis que je la regarde amusé. 

Ce soir, elle est vêtue d'une simple nuisette blanche presque transparente. Je fixe son accoutrement, lorsqu'elle comprends où se dirigent mes yeux, elle essaye tant bien que mal de se cacher, sans arrêter de me hurler quelques insultes à la figure.

Je remarque que le rouge lui  monte aux joues dans cette nuit noire, en réponse, je lui cris de me laisser fumer tranquillement, et que malgré ses propos la fumée ne l'atteint pas. Nous sommes chacun dans son balcon à nous chamailler comme si la nuit nous appartenait, quels imbéciles nous faisons!

 Elle se retourne pour rentrer chez elle m'offrant un panorama magnifique, elle est d'une blancheur aveuglante dans une étincelante noirceur, finement dessinée , je la discerne facilement au loin. C'est sa petite culotte blanche à travers sa nuisette. Je sens une bosse commence à se former dans mon pantalon rien qu'à la regarder.

Pour la provoquer, je jette la cigarette dans son balcon. Elle me regarde et mime une scène où elle m'étrangle. Je ris à gorge déployée, elle me regarde abasourdie et prends le mégot et le balance sur ma figure.

Sur ce, je sors de mon appartement rapidement pour frapper sur la porte du sien. Elle ouvre la porte, étonnée de me voir elle dit:

- Qu'est ce que tu fiches ici ?

En poussant la porte de mes mains je la supplie de me laisser entrer.

Elle s'éxécute, sûrement  curieuse de connaître mes raisons. Je referme la porte derrière moi et la plaque contre le mur pour l'embrasser avec rage.

Elle répond à mon baiser, ses lèvres ont  un goût sucré, je m'agrippe à ses fesses lorsque je l'embrasse encore. Elle me  mord la lèvre et m'attire dans son lit, la pression monte, et le désir de lui faire l'amour est lisible dans mes gestes rapides. 

Je la déshabille, elle ne portait qu'une simple culotte sous sa nuisette. Ses seins nus sont magnifiques et m'excitent. Je me jette sur elle tel une bête affamée, je veux la dévorer, je ne veux faire qu'un avec son corps.

Je me débarrasse de mon jean et de mon t-shirt, mon érection est  clairement apparente derrière mon boxer. Je ne pense même pas aux préliminaires, je n'ai pas la patience d'attendre. 

Elle est allongée sur son dos, je m'approche d'elle en imitant un félin, lorsque mon torse arrive à sa poitrine, je l'embrasse avec passion. Je la dénude, elle est nue sur le lit, elle sort ma verge de mon boxer et se met à la caresser. Elle est déjà bien dure, je veux la pénétrer, sentir la chaleur de son intimité.

Je l'attrape par les hanches et la pénètre dans un coup sec et rapide, un petit cris s'échappe de sa bouche. Je sens à chaque coup de rein ses ongles me griffer le dos, preuve de la grande intensité de notre danse. Nous gémissons ensemble, tout le long de cet acte sauvage et passionné. Je la sens se contracter sur ma verge à chaque mouvement.

Ce n'est pas de l'amour, c'est de la passion et du plaisir physique. Je sens que je vais jouir, j'accélère le rythme la faisant hurler et gémir encore plus. Je ressors ma verge à temps pour éjaculer  sur son ventre, nous jouissons en même temps. La satisfaction que je ressens à ce moment me comble de bonheur. Comme pour la remercier, je l'embrasse dans le cou, elle se niche sur mon torse pour reprendre son souffle.