Ding- Dong !
Tu vas te fiancé ?!
Il faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas écrit sur Caleb, et la seule chose qui l'avais marqué était qu'il allait se fiancer. Fixant la lumière de la ville à travers la vitre, elle repensait à cette époque ou tout lui semblait si difficile.
Ce sentiment qu'elle avait pu ressentir pour Caleb c'était dissipé avec le temps, et elle avait pu guerrir ses bléssures en se plongeant dans ses études. Le destin semble tout de même bien cruel ! Car au moment même ou elle allait se reconstruire, il était réaparu tout aussi beau et attentionné qu'auparavant.
Je m'étais demandé si je te manquai parfois. Et l'idée même que j'étais passé à coté de quelque chose me hantait tellement, que j'ai réussi à te mettre dans un coin de mon coeur, qui fait maintenant partit du passé.
La sonnerie de son telephone la ramena à la réalité.
- Hallo !
- Tu as déjà mangé ?
- Caleb ? Comment as-tu eu mon numero ?
- J'ai vu que tu avait un abonnement au café, j'ai soudoyé la serveuse. Alors, tu veux manger quoi ?
- Je suis en pyjama, et je ne me sent pas la force de quitter mon appartement.
- envoie-moi ton adresse. J'arrive.
Caleb allait venir chez elle, dans son appartement. Elle s'empressa de ranger ce qui trainait.
Un "ding dong" L'empressa, et c'est essouflé qu'elle ouvrit la porte.
Il se tenait debout devant elle. Pourquoi lui faisait-il ça ? Pourquoi revenir ?
Son parfum delicatement musqué embaumait l'entrée. Il avait cet air si sérieux, celui là même qui lui avait chaviré le coeur il y a trois ans. Qu'attendait-il ?
- Je peux entrer ? Lui dit-il en lui montrant les sac qui lui remplissait les mains.
- Oh, oui biensur. Excuse moi, je n'ai pas eu le temps de ranger.
- Je ne suis pas là pour ça, tu sais ?!
- Pourquoi, alors ? Ses mots lui echappa. Elle rougis.
Il resta de marbre face à elle. Ses yeux scintillaient, et ses joues rougis par l'hiver l'émerveillaient. En fait, il n'avait pas pu l'enlever de ses pensées de la journée.
- Je ne veux plus que tu partes comme tu l'as fais il y a trois ans. Fini t-il par repondre.
- Il y a trois ans j'étais immature, et j'avais besoin de m'émenciper, de me trouver. Enfin ! Rien n'allait pour moi.
- C'était donc immature de me dire que tu m'aimais ? Chuchota t-il en s'approchant de sa nuque.
Ses yeux s'écarquilla. Elle avait l'impression de fondre.
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