Répit
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Une cascade de larmes,
A faire grimper les océans,
Déclencher les alarmes,
Qui s'écoule à cœur béant !
Une suffocation de plus,
A frôler une apnée tragique,
Dessiner ce dernier rictus,
Que la douleur revendique.
Puis un silence à peine voilé,
Battant la mesure des sentiments,
Ralentissant la course aveuglée,
De cet organe impotent.
Enfin la quiétude tant attendue,
Un portrait qui réapparait,
Une chimère révolue,
Dans ce miroir qui m'égarait.
Cessent de s'égrener les secondes,
Qui me comptaient l'abandon.
La saison des fantaisies fécondes
Me conte les intentions de Cupidon.
01/02/2017
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