Sa en fait beaucoup des aventures pour une ado n'est pas.

Et oui j'ai une vie assez mouvementé.

Et encore le lycée c'était vraiment la découverte, j’étais encore timide et anxieuse, mais comme je les remarquer en me fessant mon magnifique tatouage, me mettre a nue et plutôt excitant et comme je les vue avec Romain, baisé ses vraiment cool. Surtout quant ses juste pour se faire plaisir, on se permet tellement de chose quant on sait que se n'est que pour une seul fois, on se laisse aller, on dit des choses qu'on ne dirait pas d'habitude, on se laisse aller part l'improvisation de l'excitation.

Annabelle l'avais compris assez jeunes, et j'aimez beaucoup sa manière de voir la vie, et comme je vous l'avais dis je voulais avoir la même vision qu'elle. Juste m'amuser et kiffé.

Après ma séance de tatouage quel que peut coquine grâce a l'intervention d'Annabelle et sont coter spontané, la vie a repris sont coure, enfin même si il y a eu quel que changement. J’étais bien plus ouverte et entreprenante qu'avant, même Martin, étant toujours dans mon lycée, a était surpris de ma métamorphose, il avait même du mal à reconnaître la fille avec qui il était sorti.

Mais quant il ma dis sa je lui et répondu.

- La fille a fais place a la femme, comme toi, le garçon a fait place a l'homme que tu et maintenant, tu as décidé de ta vois, moi de la mienne, et c'est celle de la liberté et de l'éclate. Lui ai-je dis avec beaucoup de respect et un grand sourire.

Tout se que je voulais c'était sa. Et ses se que j'ai fait.

Je ne vais pas tout vous raconté mais... disons que j'ai fait concurrence a Annabelle pendant un temps.

Draguant les mecs a tout va, n'hésitant pas à leur faire du rentre dedans comme elle me l’avait appris.

Et mon dieu si j'avais compté le nombre de mec qui mon baisé...

Quoi ? Hooo je vois, donc une femme qui profite de la vie et de sont corps ses forcément une fille facile ou une salope ?

On dit pas au mec qui baise avec tout le monde que ses des connards ou des fils de pute, ses pareil pour les femmes, on a le droit d'aimer le sexe sans pour autant être une salope.

Enfin bref, ma dernière année de cour fini, mon Bac en poche de justesse, Annabelle et moi on a décidé de trouvé un petit boulot toute les deux et part la suite emménager dans le même appart.

- Ho j'ai trouvé des annonces dans des restaurants, ils cherchent des serveurs et serveuse. Me dis Annabelle en regardant sur sont portable assis sur mon canapé.

- Serveuse ? Au secours il n'y a pas plus cliché comme travaille sérieux, deux belle nana qui se dandine en tenant des plateau remplie de bière pour servir a des beauf de cinquante pige qui te reluque le cul et te manque de respect. Non merci... Oui j'avais une vue bien définie des serveuses, ne m'en veuillez pas c'était mon ancien point de vue, vous comprendrait plus tard.

- Ok j'ai compris, pas serveuse.

Alors qu'on chercher, mon père et arrivé du boulot et nous a vue en pleine réflexion.

- Houlala sa réfléchie beaucoup on dirait.

- On cherche du boulot. Lui ai-je répondu.

- Sa se vois comme le nez au milieu de la figure. Evidemment il était ironique.

Faut dire qu’à regarder on ne donner pas l'impression qu'on chercher vraiment.

Annabelle était avachie sur le canapé sur sont portable, et moi assise a la table sur mon ordinateur, on ressembler plus a des ados qui glandé plutôt qu'a autre chose.

- Tu connaîtrais pas quel qu'un qui embauche part hasard ? Lui ai-je demandé en commençant à en avoir marre de chercher.

- Bas oui, moi.

- Non mais papa...

- Non mais je suis sérieux.

Je fus surprise, depuis que je suis toute petite il se plaint car il ne pouvait pas embaucher quel qu'un d'autre dans la salle.

- Comment sa se fait ?

- Bas on a de plus en plus de client, beaucoup d'abonnement donc on va s'agrandir et j'aurai besoin d'une paire de bras supplémentaire.

- Une seule ? Demanda Annabelle.

- Oui part contre je peux en embauché qu'une seul, désolé.

- Non mais ses pas grave, Annabelle saisi l'occasion.

- Hein ? Pourquoi moi ? Ses plutôt a toi de prendre se poste.

- Bas pourquoi ?

- Bas... c’est ton père, et tu et en parti propriétaire.

- Justement, je n’ai aucune envie que mon père devienne en plus mon patron.

Sa la fait rire que je dise sa, puis la manière dont je les dis aussi surement.

- Bon je prends qui ?

Evidemment Annabelle et moi on a compris le second sence de sa question et on ses regarder d'un regard complice, dégueulasse d'accord, mais on avait pensé a la même chose.

- Bon bas d'accord, mais toi tu va faire quoi ? Me dis Annabelle en acceptant de bosser dans la sale de mon père.

- Pff... j'en sais rien...

Deux semaine plus tard Annabelle commença le travaille a la salle de sport.

Quant à moi...

- Bonjour, ses pour boire ou mangé ?

Et oui... serveuse... ses pour sa que je vous et demandez de ne pas m'en vouloir d'avoir était trot dur avec eux, car je me suis retrouvé le nez dedans...

Se fut pas le moment le plus fun de ma vie sa je vous le confirme, mais si je vous en parle ses qu'il ses passer quel que chose de spécial dans se resto, et oui.

Alors qu'un soir j’étais de fermeture, le patron finissait plus tard se soir la et avais décidé, au lieu de partir, de m'aider à fermer.

- Ses gentil de votre part de m'aider à fermer le restaurant Monsieur Ferdinand.

- Je t'en pris Mélissa, puis vue que sa fait qu'un mois que tu et la ses normal qu'on te donne des cous de mains.

Il nous rester encore plusieurs chose à faire quant il et soudainement venu jusqu'à moi et ma tendu une cigarette.

- Non merci, je ne fume pas, mais j'apprécie la proposition.

- Vient, on fait une petite pose.

On et donc sorti et on a parlé.

- J'ai vue que tu avais du mal avec le service, mais on ma rapporter que tu te débrouiller plutôt bien a la préparation des commandes pour les envoyé quant ils te demandent de l'aide.

- Oui, je sais pas pourquoi mais je me sens plus à l'aise pour sa, je sais pas pourquoi.

- Bas faut pas chercher. Dis il avant de tiré une latte sur sa clope.

Un petit silence s'installa.

- Dis-moi, tu aimerai passer exclusivement en envois de commande ?

- Pourquoi cette question ? Je le sentais mal.

- Répond moi, tu aimerai ?

- Oui j'aimerai bien. Je sentais le cou venir.

- Et si je te disais que je peux faire sa tu me croirais ?

Je ne pus m'empêcher de pousser un petit rire en entendant cela.

- Je crains avoir compris se que vous demandez en contre-parti Monsieur Ferdinand, et je vous préviens tout de suite je préfère démissionner que d'accepter cela.

- Je n'est absolument rien dis.

- Non mais j'ai compris donc je vous donnerai ma lettre de démission demain.

J'allais rentrer et finir le travail quant il m'attrapa le bras.

- Lâché moi !

- Et si je te paye le double de ton salaire ?

- Non mais vous m'avais pris pour quoi ?! Une pute ?!

J'ai enlevé mon bras de sont emprise et suis allé directement me changé, puis je suis parti en laissant tout en plan.

J’étais en colère et il y avait de quoi, non et puis quoi encore ? Que je devienne sa pute perso ?

N'arrivant pas à me calmer, et commençant à pleuvoir a grosse goutte, je me suis réfugier dans un bar.

Il était petit et convivial, avec une ambiance franchement agréable.

Je me suis poser contre le comptoir et le Barman et venu me voir.

Il était mignon, Brun, cheveux cour, de beaux yeux noisette cacher derrière une paire de lunettes.

- Qu'es que je vous sers ?

- Un mojito sil te plait. Sans même m'en rendre compte je l'avais tutoyé alors que c'était la première fois que je le voyais de ma vie.

- Ok.

Il me le prépara devant moi, puis il ma regarder en plissant les yeux.

- Mauvaise soirée ?

- Ouais, je viens de claqué la porte de mon boulot car mon patron... enfin mon ex parton était un enculé de pervers de merde et voulait me faire passer sous le bureau pour m'offrir un autre poste.

- Aie... Effectivement, pas cool comme soirée.

- Ouais.

- Tu bossé ou ? Me demanda t-il curieux.

- Tu ?

- Je penser qu'on se tutoyer, tu ma dis "sil Te plait" tout a l'heure. Me dis t’il timidement mais en souriant.

- Non j'ai fait sa ? N'arrivant pas à le croire.

- Bas ouais.

- Hoo merde j'chui désolé.

- Non le sois pas il y a aucun problème.

Je me sentais en parti conne mais bon, il m'avait rassuré.

- Alors ? Voulant savoir.

- Je bossé dans le resto au bout de la rue.

- Non sans rire ?

- Bas ouais, pourquoi ?

- Putain si j'aurai sue que le proprio était une crevure je n’irais pas manger la bas tout les midi.

Je me mis à rire du a la manière dont il l’avait dis.

On a ensuite parlé tout les deux et c'était plutôt cool, il s'appelé Théo et il avait 22 ans et il était barman dans se petit bar depuis 3 ans.

C'était super sympa de parler avec lui, et il était tellement gentil qu'il ma même offert un verre.

Puis se fut l'heure de sa fin de service. Il alla se changé et prendre ses affaires pendant que moi je finissais mon verre, puis il s'approcha de moi et il était comme hésitant.

- Sa... sa te dirait de venir boire un dernier verre cher moi ?

J'ai sourie et dis oui avec la tête.

- Ouais, ouais pourquoi pas.

Je les donc accompagniez jusqu'à chez lui. Il habité dans un petit appartement au dernier étage sans ascenseur, mais l'avantage ses qu'il était a même pas dix minute a pied de sont boulot.

On et monté et il ma ouvert la porte.

- Ho, jolie, plus jolie que se que tu ma dis. Lui ai-je dis en découvrant sont appartement.

- Tu trouve ?

- Hmm oui...

Je les regarder puis j'ai sourie.

- Bas après ses pas super beau non plus mais sa passe quoi. Lui ai-je dis en souriant et ricanant.

Il a sourie, puis un silence s'installa.

- Tu ne m’avais pas parlé d'alcool ?

- Ha si oui...

Il alla jusqu'à sont frigo et amena deux bière.

- J'espère que tu aime la Lefs car bas j'ai que sa.

- T'inquiète sa ferra l'affaire.

Il était très nerveux depuis qu'on était arrivé cher lui, alors qu'au bar il était décontracté et serein. Sa devait être le fait qu'il y et une femme qui trouvé séduisante chez lui.

Sont coter hésitant et timide était mignon.

Mais alors qu’on n’avait même pas encore décapsulé les bières, je me suis rapprocher de lui et j’allais me coller à lui.

- Le... le décapsuleur.

Il parti le chercher me laissant en plan, j'ai haussé les sourcils en voyant le vent que je venais de me prendre.

Et quant il et revenu avec il attrapa doucement ma bière qui était dans ma main pour la décapsulé, mais j'ai attrapé la sienne et les tiré vers moi pour le coller contre moi, compressant ma poitrine contre lui.

- Pourquoi tes si nerveux ? Ai-je dis en souriant.

- N...nerveux ? Moi ? Pas du tout qu'es que tu raconte ?

- Alors pourquoi tu esquive mes avances ?

- T'es avances ?

- Arrête, j'ai vue claire dans ton petit jeu, le petit barman très gentil qui offre des verres à la jolie fille, en espérant qu’elle reste jusqu'à sa fin de service pour qu'il puisse l’invité chez lui habitant non loin. De ma voix la plus suave et séductrice possible.

- Je...

- Sauf que jusqu'à aujourd'hui sa n'avais jamais marché je me trompe ?

Je lui et lâcher le bras et j'ai commencé à le frôler en remontant petit a petit vers sont visage.

- Mais je te trouve mignon et sympas et j'ai bien envie de passer cette nuit avec toi, dans ton lit.

Il était stresser, je venais de déballer un gros dossier sur lui en quel que seconde alors que personne ne le savais et sa l'avais perturbé, normal, puis j’étais de plus en plus entreprenante.

Sa respiration était rapide et forte, il trembler légèrement et je sentais son cœur battre fortement dans sa poitrine.

- Détend toi, ses toi qui ma fait venir ici, il n'y a aucune raison que tu ne gère pas la suite du programme.

Je pris sa bière de sa main et la posa avec la mienne sur la table, puis je les pousser doucement contre le mur juste accoté de la porte d'entré en gardant mon visage prés du sien.

Mais visiblement il était pétrifier part la peur ou l'appréhension et ne réagissais pas.

Je fus déçu et baissa la tête.

- Ok, dommage.

Je pris mon manteau et attrapa la poignet pour sortir, mais il claqua la porte pour m'empêcher de sortir. J'ai tourné la tête vers lui surprise.

Juste après il me regarda droit dans les yeux avec un regard déterminer et envieux, se regard me fit avoir un frisson.

L'instant d'après il ses coller a moi et ma embrassé sans hésitation et ma fait reculé jusqu'à l'autre coté de l'appartement contre le mur, m'attrapant les mains et les plaquant doucement contre le mur pour que je me laisse faire.

Se n'était pas comme Romain, lui c'était de la baise sauvage, Théo lui c'était de la délicatesse, du partage.

Sont baisé était langoureux et délicieux, malgré un légers manque de pratique et une impatience retenu qui se ressentez légèrement.

Il descendit ses lèvres sur mon cou et continua de descendre.

Me libérant une main j'ai pue ouvrir ma chemise pour qu'il puisse continuer de m'embrasser le corps de plus en plus bas.

Puis en arrivant juste au dessus de ma poitrine il remonta jusqu'à mes lèvres pour les embrassé de nouveau.

Il me tira jusqu'à sont lit ou il m'allongea dessus avant de retiré sont pull enlevant dans la précipitation également sont t-shirt se retrouvant torse nue dessus moi.

Quant a moi j'ai enlevé ma chemise et releva le débardeur que je porter en dessous pour lui montré ma poitrine.

Je senti une bosse se former contre ma cuisse, la ou sont entre jambe était poser, quant il a vue mes seins.

Puis il recommença a m'embrassé le corps allant cette fois jusqu’aux seins, les prenant dans ses mains et les léchant et suçant avec plaisir.

Je profité qu'il soit concentré sur ma poitrine pour enlevé complètement mon haut et ensuite lui caresser le corps, profitant du bien qu'il me procuré avec ses lèvres.

Il sembler être affamé car il continua de m'embrassé le corps en descendant petit à petit vers mon entre jambes.

Mais je l'arrêta et me releva.

- Attend mon grand, faut savoir prendre sont temps. De ma voix la plus coquine.

Je le poussa sur le lit et lui attrapa le haut du jeans.

- Et aussi savoir profiter.

Lui enlevant doucement le pantalon je vis la boss que lui fessait sa bite dans sont caleçon, elle était très excitante.

J'ai commencé part doucement lui caresser du bous des doigts en laissant mon visage juste accoté, laissant mon souffle chaud près de sont sexe.

Puis j'ai glissé une main dans sont boxer et je lui et attrapé le pénis et les ensuite sorti la mettant devant moi, a seulement quel que centimètre de mon visage.

- Hoo, belle bite, j'en n'est l'eau à la bouche.

Je tira la langue et la laissa se frotté contre sont sexe de bas en haut, le fessant gémir de plaisir a en laisser sa tête tomber en arrière sur le lit.

Commençant doucement à lui lécher du bout de la langue le bout du gland pour l'excité et lui donner encore plus envie en le regardant droit dans les yeux avec mon regard de tigresse assoiffé de sexe.

Mais le truc c’est que j'avais surement autant envie que lui de l'avoir dans la bouche que lui que je le suce, alors j'ai craqué et les enfoncé dans ma bouche jusqu'à l'entré de ma gorge d'un cou le fessant gémir et trembler tout le bassin, j'ai bien crus qu'il allait jouir tellement il était réactif a mes lèvres et ma langue.

Puis j'ai commencé a humidifier sa queue en la laissant dans ma bouche et utilisant ma langue pour qu'elle soit bien imbiber de ma salive et que je savoure le goût.

Pour enfin commencer à la sortir doucement en inspirant le fessant gémir de plus belle, puis je les renfoncer dans ma bouche en écartant du plus possible la bouche pour l'enfoncer le plus profondément possible.

Cette fellation était délicieuse, autant pour le gout de sa bite que part l'excitation qu'elle me provoquer.

Puis je le senti proche de l'orgasme et voulait tout avaler, alors j'ai continué jusqu'à se qu'il crache tout sont épais sperme dans le fond de ma gorge dans un océan de plaisir me noyant presque sous la quantité. Mais j'ai tout de même réussi à tout avalé.

Je les ensuite regardai droit dans les yeux en me redressant.

- Sa ta plus ?

- Ouais, Ho ouais... Etant essoufflé et rouge sous la chaleur.

- Et tu et près pour le deuxième rond ? Lui ai-je demandé en retirant mon pantalon et ma culotte le fessant bander a nouveau a vue d'œil.

- Quant tu veux.

Après lui avoir mis moi même la capote, je lui et monté dessus a califourchon et j'ai saisi sont sexe dans ma main pour le poser a l'entré du miens qui était humide et frétiller d'envie.

Quant j'ai posé sont gland a l'entré de mon vagin et qu'il et doucement rentré en moi se fut des plus savoureux, sentir se long pieu chaud et dur rentré doucement en toi écartant chaque partit petit a petit de mon vagin me fessant prendre du plaisir a chaque centimètre.

Une fois la moitié enfoncé en moi j'ai commencé a bougé les hanches et a le baisé, posant mes mains sur sont torse, chaque cou de bassin enfoncé de plus en plus sa queue en moi me fessant gémir de plus en plus a chaque pénétration.

Il n'était n'est en moins pas inactif, il bougé légèrement le bassin, et ses mains me peloté les seins et les tétons me rendant de plus en plus excité.

C'était tellement sensuelle comme rapport, deux inconnues se connaissant à peine, couchant ensemble sur un cou de tête juste parce que le mignon petit barman avait dragué la cliente coquine avec les bons mots et avais franchie le pas.

Il me retourna en me mis en missionnaire et commença a me pénétré doucement mais profondément, me léchant et suçant les seins me fessant gémir sous ses cous de langue et la sensation de sussions.

Puis il commença a accéléré, je sentais qu'il allait jouir, mais je ne voulais pas que sa se finisse tout de suite, je voulais avoir mon orgasme et pas a la main, j'ai donc bougé et me suis mise en position levrette.

Prenant un malin plaisir a me palpé les fesses, il me pénétra de nouveau et recommença en donnant des cous de rein rapide et rythmé.

Ses petit cou avais un effet excitant des plus efficace, a croire qu'il savait comment m'excité pour me faire jouir, ou sois c'était le hasard.

D'un coté je n'avais pas vraiment le temps d'y penser car je prenais tellement de plaisir que la seul chose qui me traversé l'esprit a cette instant c'était que de l'endorphine procuré part la bite me baisant.

- Je.. je vais jouir. Ma t'il dit.

Mais je n’allais pas tarder à jouir moi aussi.

- Retient toi encore un peut, je vais jouir aussi... haaa continue.

Il se retenait au maximum, moi je remué les hanches pour jouir avant lui, mais il éjacula avant moi et remplis la capote ne me permettant pas d'avoir mon orgasme.

J’étais frustré, j’étais si proche de l'avoir.

- Tu... tu veux qu'on continu pour que tu et aussi ton orgasme ? Me demanda-t-il essoufflé

- Tu... tu pense pouvoir ?

Il me redressa les fesses et remis sont sexe en moi en entier d'un cou.

- Hooo hoo oui... hoo putain... va si doucement et accélère en donnant de la puissance, ses mon point faible, sa me fait jouir a tout les cous.

Il fit exactement se que je lui avais dis.

- hoooohoohoooooo ouiiiiii, haaaaa continuuuuu, Haaaaaaa HAAAAAAA OOOOOO OOOUUIIIIIII HAAAAAAAA !!!

J'ai eu mon orgasme et il fut puissant a m'en retourné la cervelle et me fessant m’effondrait sur le lit

Ma respiration était forte et bruyante, j’étais crevé mais rassasier et heureuse.

Après sa il ma proposé de rester pour la nuit, se que j'ai accepté ne me sentant pas de rentré dans mon état de fatigue du a se délicieux moment.

On a donc dormie tout les deux, entièrement nue, ayant comme résultat inévitable de recommencer a baisé des notre réveille excité part le corps de l'autre.

Se fut aussi plaisant que le soir malgré l'absence d'orgasme de ma part, mais je ne lui en et pas voulu, c'était déjà courageux et généreux d'avoir continué pour que j'ai mon orgasme lors de notre premier rapport.

Après toute ses émotions je suis donc rentré cher moi, voyant sur le trajet du retour les appels manqué de mon boulot, et après avoir écouté les messages salé de mon ex patron m'insultant de tous les noms et m'annonçant que j’étais viré, je suis arrivé cher moi, sans emploie mais heureuse et combler.