L'espoir a le goût de la mort

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Tu pleures de désespoir


Quand la nuit est tombée.


Au soleil couchant,


Tu creuses ta tombe.


En silence, les flagellations


Te font si mal que tu pris pour ton âme.


Tu sombres comme un oiseau sans ailes


La mort te guette de près


Mais tu t’obstines à croire


Qu'il va te relâcher, t'épargner et dans l'oubli, tu péris

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