Marseille
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Les rues se ressemblent
Et semblent s'assembler
Les piétons se croisent
Jetant des regards illuminés
Inconnu qui passe
Coeur qui s'efface
Nos oreilles écoutent des musiques
Alors que les voitures nous esquivent
La main d'un mendiant vers le ciel
Implorant pour pouvoir s'acheter du fiel
La pollution remplit nos poumons
Nous nous étouffons
Les yeux d'enfants curieux vous observent
Ils ne voient que des rêves
Vous baissez les vôtres
Sachant qu'il n'y a que des cauchemars et rien d'autre
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