Chapitre 2

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Chapitre 2

« Cette saloperie de merde d’Elfe s’est encore déchiré en deux bien avant mes décharge !!! Bouge pas et ouvre grand tes cuisses que j’en finisse au plus vite !!! car :

Si tes décharges distances

Craint que ton foutre soit rance »

Et d’avancer tout plein de furieuse maladresse pressante vers le petit lit où gisait le dos humide de Fleurette. Celle-ci n’eut le loisir ni de reprendre son souffle ni de voir se dissiper les puissantes vapeurs de langueur libérées par ses précédent exercices, que le vigoureux dard de son ami, avec force détermination certes, mais tout de même animé d’attentions délicates, pénétra ce vagin bouillant d’écume fraîche aux embruns marins. Le généreux vit de l’Enchanteur, d’un diamètre proche de celui d’une pièce d’or et long de plus d’un pied de centaure, violacé en son extrémité tuméfiée et tout couvert des cicatrices de luttes passées et acharnées, écarta et tendit jusqu’à l’extrême les chairs de la jeune et savoureuse petite naine. Allant et venant ainsi, il raviva avant même qu’elles ne pussent faiblir les effluves des plaisirs convulsifs de cette dernière. Le gonflement exorbitant et délicieux de son vagin donna à Fleurette l’impression que son ventre se remplissait du plus plaisant et du plus doux des gaz, et, légère comme une plume elle se sentait devenir ballon, aérienne s’élevant dans les airs tiédis par la nouvelle saison et enveloppant comme des caresses. Plus haut, toujours plus haut, elle apercevait les petites maisons correctement rangées de son petit village de nains, et toujours plus minuscule à mesure de son éloignement, et il ne restait bientôt même plus dans ce lointain l’impression d’un petit jeu d’enfant que lui laissa les premiers instant de sa contemplation. Les tiraillements et gonflement de ses intérieurs s’amplifièrent encore et encore, elle poursuivait ainsi encore plus haut son ascension terrible et savoureuse si loin du sol que bientôt elle avoisinait les étoiles. Soudain, sentant bien que autant de soins portés en si peu de temps à son petit con ravi ne pourraient à eux seuls suffire à son élévation, elle pria prestement le Mage de bien vouloir l’enculer au plus vite. Elle adorait les soins de l’enculage et cet sensation de plénitude intérieur que cet exercice lui procurait la ravissait au plus haut point. Relevant les jambes de la naine bien au dessus de sa petite tête blonde frisée, Gourdin présenta son gland impétueux à l’étroite entré du cul de Fleurette. Que ce casque paraissait monstrueux aux abords de ce minuscule petit borgne. C’est pourtant avec assurance qu’il s’y introduisit d’un ample mouvement régulier et ferme du bassin. Jusqu’à la garde. Jusqu’aux confins confus et ravis du conduit. Jusqu’à ne plus rien éprouver d’autre que la vigueur des resserrements infernaux de cet anus impatient qui goulûment avalait ce pénis comme les trous noirs avalent les galaxies. Il se sentait si bien, tout entier en un refuge chéri et chérissant, bercé de tendresses infinis dans ce cocon tiède comme le ventre accueillant d’une mère. Il se transportait vers ce souvenir éteint d’un germe avant la vie, instant lumineux où l’œuf fut amoureusement fécondé, où la somme de deux amants fit naître cette étincelle de vie, haletante et impatiente de connaître les étranges et délicieuses arcanes de l’existence : les insondables mystères de l’Être… Puis ce ne fut qu’un éclair. Il lâcha tout dans un instant étiré de détente absolue et définitive. Fleurette hurlait au désespoir les puissantes langueurs de son si douloureux plaisir. Les décharges du magicien furent comme à leurs habitudes à la hauteur de ces lames de fond qui emportent et chavirent les navires et tout les équipages : majestueuses, violentes, abondantes. Le cul si étroit où ce miracle s’accomplissait débordait copieusement de tout ce sperme ainsi libéré, et se mêlant aux marées de Fleurette que nul écluse ne savait plus retenir, il se répandit luxuriant dans toute la chambré. La petite pièce ruisselait joyeuse des moussons de tant de jus varié et délicieux. Et le silence pu reprendre tranquillement mais laborieusement sa place parmi ces murs enfin apaisés.

Cherchant à reprendre l’un et l’autre une position plus appropriée à une prompt récupération, ils s’aperçurent interloqué qu’un Elfe hagard et penaud se tenait sur le pas de la porte, son stupide chapeau froissé d’angoisse entre ses doigts agités, babillant d’impossibles murmures et observant la scène ahuri et fébrile depuis ils ne savait combien de temps. « Entre petit. » marmonna Gourdin se voulant rassurant, « entre et vient t’asseoir. Dis nous le fond de tes tourment. » Et bousculant Fleurette hors du lit minuscule, il ménagea une étroite place pour l’étroit cul de l’Elfe qui s’assit timide sur le bord du lit. Puis, présentant au petit être débile son généreux anchois tout luisant et encore humide des précédents exploits, il articula langoureusement :

« Sache bien que tes caresses

mon ange

Feront qu’il se redresse

Étrange ? »

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